Aujourd'hui, une nouvelle vague de répression semble se dessiner sous le tandem Sonko-Diomaye. En effet, en moins d'une année de gestion, une dizaine de personnes ont été interpellées pour diffusion de fausses nouvelles, une accusation qui avait également été utilisée sous Macky Sall, pour incarcérer plusieurs figures de l'actuel pouvoir.
Plus récemment, Bougane Guèye Dany, chef du chef du mouvement Gueum Sa Bopp et candidat aux élections législatives, fait partie des derniers convoqués par la Division spéciale de Cybersécurité, accusé d'injures publiques et de diffamation, après des propos tenus lors d'une conférence.
D'autres figures médiatiques, telles que le journaliste Cheikh Yérim Seck, sont également ciblées. Accusé de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles, il a été placé en garde-à-vue, suite à une émission télévisée.
"Sud Quotidien" ajoute que d'autres journalistes comme Kader Dia, chroniqueur à D-média, se retrouvent également dans le collimateur des autorités. Ayant accusé les forces de l'ordre de corruption, dans l'affaire du naufrage d'une pirogue au large de Dakar, Kader Dia attend toujours la décision du juge.
D'anciens responsables sécuritaires, comme le commissaire à la retraite Cheikhouna Keïta, sont également touchés par ces poursuites. Connu pour ses critiques acerbes contre le Premier ministre Ousmane Sonko, il a été arrêté et incarcéré pour diffusion de fausses nouvelles en septembre dernier. Le directeur de publication du journal "La Tribune", Pape Moussa Traoré, a lui aussi été retenu détenu, après un article sur la nomination d'un général sénégalais en Inde.
Cette vague de répressions rappelle également les premiers cas de Bah Diakhaté et de l'imam Cheikh Tidiane Ndao, tous deux condamnés en juin dernier, pour avoir exprimé leur sentiment, quant aux "positions" du Premier ministre Ousmane Sonko sur l'homosexualité, lors d'une visite de Jean-Luc Mélenchon à Dakar.
Plus récemment, Bougane Guèye Dany, chef du chef du mouvement Gueum Sa Bopp et candidat aux élections législatives, fait partie des derniers convoqués par la Division spéciale de Cybersécurité, accusé d'injures publiques et de diffamation, après des propos tenus lors d'une conférence.
D'autres figures médiatiques, telles que le journaliste Cheikh Yérim Seck, sont également ciblées. Accusé de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles, il a été placé en garde-à-vue, suite à une émission télévisée.
"Sud Quotidien" ajoute que d'autres journalistes comme Kader Dia, chroniqueur à D-média, se retrouvent également dans le collimateur des autorités. Ayant accusé les forces de l'ordre de corruption, dans l'affaire du naufrage d'une pirogue au large de Dakar, Kader Dia attend toujours la décision du juge.
D'anciens responsables sécuritaires, comme le commissaire à la retraite Cheikhouna Keïta, sont également touchés par ces poursuites. Connu pour ses critiques acerbes contre le Premier ministre Ousmane Sonko, il a été arrêté et incarcéré pour diffusion de fausses nouvelles en septembre dernier. Le directeur de publication du journal "La Tribune", Pape Moussa Traoré, a lui aussi été retenu détenu, après un article sur la nomination d'un général sénégalais en Inde.
Cette vague de répressions rappelle également les premiers cas de Bah Diakhaté et de l'imam Cheikh Tidiane Ndao, tous deux condamnés en juin dernier, pour avoir exprimé leur sentiment, quant aux "positions" du Premier ministre Ousmane Sonko sur l'homosexualité, lors d'une visite de Jean-Luc Mélenchon à Dakar.