Les terres du département de Rufisque sont de plus en plus convoitées. Ce sont des hectares de terres appartenant à des particuliers, jadis réservées à l’agriculture, qui suscitent aujourd’hui l’appât de promoteurs véreux et de responsables des domaines peu enclin à la déontologie. Parmi les noms de personnes citées auteurs de ces escroqueries foncières figurent Ousmane Ndiaye, Allé Sène, tous deux repris de justice ainsi que le chef de village de Niakhirate.
Récemment, des fonctionnaires de l’administration des domaines de connivence avec de repris de justice ont été indexées de vouloir s’approprier des terres d’autrui, si on se réfère au journal Echo du Consommateur dans son nu 422 du jeudi 18 décembre 2014. Ce, en tentant de camoufler des documents administratifs ou en faisant fi des délibérations votées. En effet, leur modus operendi consiste à fouler aux pieds le principe de précaution domaniale. Ils passent outres les services techniques du cadastre et de l’urbanisme, en effectuant des demandes de régularisation de terrains sur des titres d’occupation appartenant à des personnes ou associations bien identifiées.
Ces escrocs parviennent à se procurer de numéros de titres fonciers fictifs ainsi que de délibérations de la Commission de contrôle des opérations domaniales. Mais, lorsqu’il s’est agi pour eux de présenter les originaux, après qu’une enquête a été diligentée, ils ont disparu. Où se sont-ils procurer ces numéros de titres fictifs ? D'autant que les terrains convoités par les escrocs à col blanc disposent déjà, en sus des permis d’occuper, des numéros d’identification cadastrale au nom du tutélaire, communément appelé NICAD. Ce numéro est semblable à celui du Ninea pour les entreprises, il ne peut y avoir de doublure.
Coutumiers des faits, Allé Sène et Ousmane Ndiaye ont été arrêtés et condamnés à des peines fermes pour des faits similaires avec des terrains appartenant au personnel de l’Université Cheikh Anta Diop récemment.
Multi récidiviste, dans leur jeu favori de tentative d’extorsion de terres appartenant à autrui avec la complicité des fonctionnaires des domaines, leur manœuvre a soulevé l’ire des ayants droits et des pratiquants du droit foncier.
L’Etat garant des libertés, droits de ses concitoyens est ainsi appelé à se pencher sur ce phénomène impliquant surtout les services des domaines qui provoque beaucoup de remous surtout dans la zone des Niayes convoitée aussi bien par l’Etat, les agriculteurs que les promoteurs immobiliers.
Récemment, des fonctionnaires de l’administration des domaines de connivence avec de repris de justice ont été indexées de vouloir s’approprier des terres d’autrui, si on se réfère au journal Echo du Consommateur dans son nu 422 du jeudi 18 décembre 2014. Ce, en tentant de camoufler des documents administratifs ou en faisant fi des délibérations votées. En effet, leur modus operendi consiste à fouler aux pieds le principe de précaution domaniale. Ils passent outres les services techniques du cadastre et de l’urbanisme, en effectuant des demandes de régularisation de terrains sur des titres d’occupation appartenant à des personnes ou associations bien identifiées.
Ces escrocs parviennent à se procurer de numéros de titres fonciers fictifs ainsi que de délibérations de la Commission de contrôle des opérations domaniales. Mais, lorsqu’il s’est agi pour eux de présenter les originaux, après qu’une enquête a été diligentée, ils ont disparu. Où se sont-ils procurer ces numéros de titres fictifs ? D'autant que les terrains convoités par les escrocs à col blanc disposent déjà, en sus des permis d’occuper, des numéros d’identification cadastrale au nom du tutélaire, communément appelé NICAD. Ce numéro est semblable à celui du Ninea pour les entreprises, il ne peut y avoir de doublure.
Coutumiers des faits, Allé Sène et Ousmane Ndiaye ont été arrêtés et condamnés à des peines fermes pour des faits similaires avec des terrains appartenant au personnel de l’Université Cheikh Anta Diop récemment.
Multi récidiviste, dans leur jeu favori de tentative d’extorsion de terres appartenant à autrui avec la complicité des fonctionnaires des domaines, leur manœuvre a soulevé l’ire des ayants droits et des pratiquants du droit foncier.
L’Etat garant des libertés, droits de ses concitoyens est ainsi appelé à se pencher sur ce phénomène impliquant surtout les services des domaines qui provoque beaucoup de remous surtout dans la zone des Niayes convoitée aussi bien par l’Etat, les agriculteurs que les promoteurs immobiliers.