Trois proches de Karim Benzema sont entendus par la police judiciaire depuis ce mardi matin. Il s’agit de deux hommes et une femme, placés en garde-à-vue dans le cadre d’une plainte pour tentative d’enlèvement et séquestration déposée le 8 octobre dernier par Léo D’Souza, présenté comme gravitant autour de l’attaquant français du Real Madrid.
Alors qu’une enquête préliminaire du chef de «tentative d’extorsion» a été ouverte dès le lendemain par le parquet de Paris, une confrontation entre ces trois individus et Léo D’Souza était prévue ce mardi après-midi. Ce dernier les accuse d’avoir voulu le faire monter de force dans un van près d’un bar à chicha dans le XIIIe arrondissement de Paris ,à la suite d’un litige autour de 50.000 euros.
Plutôt «une tentative d’intimidation» ?
Chargé en juillet dernier de récupérer au Maroc cette somme liée à un contrat de sponsoring du joueur et de la rapatrier en France, Léo D’Souza a en effet été arrêté par les douaniers à Marrakech et l’argent saisi. Depuis, le clan Benzema serait persuadé qu’il a conservé les 50.000 euros.
«Nous attendons de voir ce que va donner cette confrontation entre les personnes désignées comme ayant participé à ces faits et le plaignant, a indiqué une source proche de l'affaire à nos confrères du Point. Les premières investigations laissent entendre qu'il s'agirait plutôt d'une tentative d'intimidation que d'une réelle tentative d'enlèvement. La justice devra trancher sur les suites à donner à cette affaire.»
Selon Mediapart, qui avait révélé cette affaire le 18 octobre dernier, Karim Benzema se trouvait à Paris au moment des faits supposés pour assister au match PSG-OL (5-0). Logé au Royal Monceau, il avait ensuite été rejoint en fin de soirée par les personnes incriminées. A savoir Smaïne Tabennehas, un ami d’enfance, son chauffeur attitré quand il monte à Paris, et Yamna Aghrib, sa chargée de communication et marketing. Les trois proches de l'attaquant placés en garde-à-vue ce mardi.
Sport24
Alors qu’une enquête préliminaire du chef de «tentative d’extorsion» a été ouverte dès le lendemain par le parquet de Paris, une confrontation entre ces trois individus et Léo D’Souza était prévue ce mardi après-midi. Ce dernier les accuse d’avoir voulu le faire monter de force dans un van près d’un bar à chicha dans le XIIIe arrondissement de Paris ,à la suite d’un litige autour de 50.000 euros.
Plutôt «une tentative d’intimidation» ?
Chargé en juillet dernier de récupérer au Maroc cette somme liée à un contrat de sponsoring du joueur et de la rapatrier en France, Léo D’Souza a en effet été arrêté par les douaniers à Marrakech et l’argent saisi. Depuis, le clan Benzema serait persuadé qu’il a conservé les 50.000 euros.
«Nous attendons de voir ce que va donner cette confrontation entre les personnes désignées comme ayant participé à ces faits et le plaignant, a indiqué une source proche de l'affaire à nos confrères du Point. Les premières investigations laissent entendre qu'il s'agirait plutôt d'une tentative d'intimidation que d'une réelle tentative d'enlèvement. La justice devra trancher sur les suites à donner à cette affaire.»
Selon Mediapart, qui avait révélé cette affaire le 18 octobre dernier, Karim Benzema se trouvait à Paris au moment des faits supposés pour assister au match PSG-OL (5-0). Logé au Royal Monceau, il avait ensuite été rejoint en fin de soirée par les personnes incriminées. A savoir Smaïne Tabennehas, un ami d’enfance, son chauffeur attitré quand il monte à Paris, et Yamna Aghrib, sa chargée de communication et marketing. Les trois proches de l'attaquant placés en garde-à-vue ce mardi.
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