De même, le FRN qui semble dire à Ousmane Sonko de déférer à la convocation qui lui a été servie, demande à tous les membres et sympathisants du PASTEF et à l’Opposition toute entière, de rester mobilisés pour une instruction équitable et transparente de l’affaire dans le respect des droits des parties.
Il en appelle, sur ces entrefaites, à toutes les parties afin de créer les conditions d’une décrispation de l’espace politique et de ramener un climat serein pour ne pas donner d’autres prétextes de violences dirigées contre les populations par le régime.
Auparavant, le FRN a relevé « une exaspération populaire et la peur du lendemain ». « Le pays, le Sénégal , va mal ! La justice, la sécurité et la cohésion sociale sont au plus mal », a indiqué le Front dénonçant ainsi cette crise politique nationale, qui est le résultat direct de « la politique autocratique de Macky Sall et de son Gouvernement ».
De même, le FRN exige de Macky Sall qu’il fasse cesser les rafles et intimidations et qu’il libère immédiatement les personnes arrêtées sous de fallacieux prétextes et à titre préventif. Le Front saisit l’occasion pour dénoncer cette énième précipitation de la Justice, qui refuse d’observer, tel que le stipule la Constitution, les 6 jours francs entre le vote de la levée de l’immunité parlementaire de Ousmane Sonko et sa convocation.
Emedia
Il en appelle, sur ces entrefaites, à toutes les parties afin de créer les conditions d’une décrispation de l’espace politique et de ramener un climat serein pour ne pas donner d’autres prétextes de violences dirigées contre les populations par le régime.
Auparavant, le FRN a relevé « une exaspération populaire et la peur du lendemain ». « Le pays, le Sénégal , va mal ! La justice, la sécurité et la cohésion sociale sont au plus mal », a indiqué le Front dénonçant ainsi cette crise politique nationale, qui est le résultat direct de « la politique autocratique de Macky Sall et de son Gouvernement ».
De même, le FRN exige de Macky Sall qu’il fasse cesser les rafles et intimidations et qu’il libère immédiatement les personnes arrêtées sous de fallacieux prétextes et à titre préventif. Le Front saisit l’occasion pour dénoncer cette énième précipitation de la Justice, qui refuse d’observer, tel que le stipule la Constitution, les 6 jours francs entre le vote de la levée de l’immunité parlementaire de Ousmane Sonko et sa convocation.
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