Le Conseil national de sécurité alimentaire (CNSA) a déclaré la région de Tambacounda (est) ‘’zone d’insécurité alimentaire chronique’, pour y avoir dénombré 17 000 ménages confrontés à une ‘’crise nutritionnelle’’.
Impossible, voyons, dans un pays ‘’émergent’’ au taux de croissance exceptionnelle de 7,2%, 11% des populations de cette région sont dans les départements de Tambacounda et Goudiry, confie Sokhna Guissé, membre du secrétariat exécutif du CNSA, citant une enquête menée en mars dernier. L’étude en question fait été d’une "consommation alimentaire dégradée" et d’une "malnutrition persistante" dans cette région, a-t-elle dit lors d’une réunion dirigée par le gouverneur de Tambacounda.
Le déficit pluviométrique de l’hivernage 2016 est l’une des causes de cette "crise alimentaire". Le rapport du CNSA identifie aussi les régions de Kédougou (sud-est), Kolda, Sédhiou, Ziguinchor (sud), Matam et Saint-Louis (nord) comme étant "les zones les plus vulnérables à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition" au Sénégal.
Le secrétariat exécutif du CNSA a entamé "une opération de ciblage", dans le but de fournir "une assistance alimentaire" aux régions concernées par cette "crise alimentaire", selon Mme Guissé.
"Des familles touchées vont recevoir de l’argent liquide, par transfert. D’autres recevront des bons d’achat alimentaires auprès des partenaires de l’État", a-t-elle assuré.
Si l’on croit Mme Guissé, le Conseil national de la sécurité alimentaire va remettre environ 45.000 francs CFA à chacun des ménages affectés par la "crise alimentaire".
Le Témoin
Impossible, voyons, dans un pays ‘’émergent’’ au taux de croissance exceptionnelle de 7,2%, 11% des populations de cette région sont dans les départements de Tambacounda et Goudiry, confie Sokhna Guissé, membre du secrétariat exécutif du CNSA, citant une enquête menée en mars dernier. L’étude en question fait été d’une "consommation alimentaire dégradée" et d’une "malnutrition persistante" dans cette région, a-t-elle dit lors d’une réunion dirigée par le gouverneur de Tambacounda.
Le déficit pluviométrique de l’hivernage 2016 est l’une des causes de cette "crise alimentaire". Le rapport du CNSA identifie aussi les régions de Kédougou (sud-est), Kolda, Sédhiou, Ziguinchor (sud), Matam et Saint-Louis (nord) comme étant "les zones les plus vulnérables à l’insécurité alimentaire et à la malnutrition" au Sénégal.
Le secrétariat exécutif du CNSA a entamé "une opération de ciblage", dans le but de fournir "une assistance alimentaire" aux régions concernées par cette "crise alimentaire", selon Mme Guissé.
"Des familles touchées vont recevoir de l’argent liquide, par transfert. D’autres recevront des bons d’achat alimentaires auprès des partenaires de l’État", a-t-elle assuré.
Si l’on croit Mme Guissé, le Conseil national de la sécurité alimentaire va remettre environ 45.000 francs CFA à chacun des ménages affectés par la "crise alimentaire".
Le Témoin