Depuis quelques temps, des rumeurs sur la reprise de la gestion de l’Aéroport International Blaise Diagne par l’Etat du Sénégal et son transfert vers AIBD SA, se font de plus en plus persistants, il y a même des voix syndicales qui se sont prononcées en faveur de cette possibilité.
Le SYNPAAS tient tout d’abord à faire savoir que ces voix issues d’une frange très minoritaire, ne reflètent en rien la position des travailleurs de LAS.
Les travailleurs de LAS réaffirment leur totale opposition à toute tentative de reprise de la gestion de l’aéroport par l’Etat du Sénégal et son transfert vers AIBD SA.
LAS SA, fruit de la coopération entre le Sénégal et la Turquie, a réussi à mettre en place une solide société, respectant les exigences d’une bonne gestion propres aux entreprises du secteur privé, tout en remplissant les demandes du service public que sont la mise à disposition d’un aéroport fonctionnel et performant. C’est pourquoi depuis 2017, l’Aéroport International Blaise Diagne va de succès en succès et constitue aujourd’hui une référence dans la sous-région et en Afrique. Ceci est le fruit des efforts des travailleurs, de leur professionnalisme et de leur sens du sacrifice, avec, bien entendu, le soutien du management.
Ce faisant, LAS SA a réussi à instaurer un équilibre entre la préservation des intérêts des travailleurs et une gestion efficace de la plateforme, tout en faisant de l’aéroport, une référence.
Pendant ce temps, AIBD SA est confrontée aux pires difficultés financières et organisationnelles, qui sont le fruit d’une gestion gabégique et qui menacent même sa survie.
C’est pourquoi remettre en cause le schéma actuel, c’est prendre le risque d’installer une grande instabilité dans le secteur, en menaçant d’ébranler un système qui fonctionne et s’engager dans une voie hasardeuse, source de danger pour les travailleurs de LAS et pour l’aéroport.
Les travailleurs de LAS rejette donc toute volonté des autorités de reprendre la gestion de l’Aéroport International Blaise Diagne, au profit de AIBD SA et feront front pour assurer la préservation de leurs intérêts et le bon fonctionnement de la plateforme de DIASS, qu’une telle volonté risquerait de mettre en mal.
Le Secrétaire général
Le SYNPAAS tient tout d’abord à faire savoir que ces voix issues d’une frange très minoritaire, ne reflètent en rien la position des travailleurs de LAS.
Les travailleurs de LAS réaffirment leur totale opposition à toute tentative de reprise de la gestion de l’aéroport par l’Etat du Sénégal et son transfert vers AIBD SA.
LAS SA, fruit de la coopération entre le Sénégal et la Turquie, a réussi à mettre en place une solide société, respectant les exigences d’une bonne gestion propres aux entreprises du secteur privé, tout en remplissant les demandes du service public que sont la mise à disposition d’un aéroport fonctionnel et performant. C’est pourquoi depuis 2017, l’Aéroport International Blaise Diagne va de succès en succès et constitue aujourd’hui une référence dans la sous-région et en Afrique. Ceci est le fruit des efforts des travailleurs, de leur professionnalisme et de leur sens du sacrifice, avec, bien entendu, le soutien du management.
Ce faisant, LAS SA a réussi à instaurer un équilibre entre la préservation des intérêts des travailleurs et une gestion efficace de la plateforme, tout en faisant de l’aéroport, une référence.
Pendant ce temps, AIBD SA est confrontée aux pires difficultés financières et organisationnelles, qui sont le fruit d’une gestion gabégique et qui menacent même sa survie.
C’est pourquoi remettre en cause le schéma actuel, c’est prendre le risque d’installer une grande instabilité dans le secteur, en menaçant d’ébranler un système qui fonctionne et s’engager dans une voie hasardeuse, source de danger pour les travailleurs de LAS et pour l’aéroport.
Les travailleurs de LAS rejette donc toute volonté des autorités de reprendre la gestion de l’Aéroport International Blaise Diagne, au profit de AIBD SA et feront front pour assurer la préservation de leurs intérêts et le bon fonctionnement de la plateforme de DIASS, qu’une telle volonté risquerait de mettre en mal.
Le Secrétaire général