En réalité, j'ai révélé deux informations qui démontrent à tel point comment ce Aliou Sow est un manipulateur et un faussaire. J'ai dit devant les caméras de Walf TV que le jeune Sow n'est pas né en 1975 comme il le prétend, mais en 1969. Et qu'il a deux extraits de naissance après avoir fait un jugement supplétif. Mieux, j'ai souligné qu'il n'est pas le garçon brillant qu'il prétend être car ayant passé trois fois le Baccalauréat avant de le réussir et je l'ai défié publiquement de prouver le contraire. J'ai aussi détaillé avec force notre relation et je l'ai traité de bonimenteur qui passe son temps à raconter des histoires. Bref, j'ai dressé un réquisitoire sans appel contre ce menteur et usurpateur de ministre en annonçant que je le poursuivrai jusqu'à ces derniers retranchements devant la justice sénégalaise pour diffamation et injures publiques.
Ceci dit, j'avais promis de revenir sur les confidences secrètes de Aliou Sow et ce qu'il pense réellement de ses pairs ministres. Cette fois-ci, je vais montrer comment ce jeune homme se prend pour le nombril du monde. Un jour, au détour d'un discussion, il me signale : "Tu sais, Malick, moi et Cheikh Diallo, on va étonner les sénégalais. Ensemble, nous formons tous les deux une équipe et nous allons manipuler l'opinion pour que PDS garde le pouvoir, mais surtout porter Karim au pouvoir. Cheikh réfléchi et me donne les idées pour que je les porte publiquement et politiquement". J'étais abasourdi.
Un autre jour, sans surprise, il n'a pas été tendre avec Diagne Fada. "Ce gars-là, il pensait qu'il avait mon destin en main. Je lui ai montré que ce n'était pas le cas. Moi ce qui m'intéresse ce sont mes intérêts personnels. Il n'est ni plus intelligent que moi, ni plus politicien que moi". Il fera la même remarque sur Macky Sall ou Idrissa Seck. "Ce qu'ils savent pas ces deux-là, c'est que moi Aliou Sow, je porte chance, dès que je suis aux côtés de quelqu'un, il réussit tout ce qu'il entreprend. Dommage pour eux. En plus je suis plus brillant que ces messieurs".
Parfois on a parlé des opposants : "Vous savez, ce que Talla Sylla ou Abdoulaye Bathily font à Bamako, moi je le sais. Dès qu'ils débarquent là bas, je suis informé de leurs compagnies, mais comme c'est une histoire de femmes, ils sont libres, mais si je voulais les détruire, je sais les armes que je vais employer". Un autre soir, toujours dans notre café sur la VDN, il se prend soudain comme le fils de Wade. "Si je le voulais demain, le président me nomme directeur de cabinet à ses côtés. Il me l'a déjà proposé. Il me prend comme son fils. J'ai refusé. Cependant, je voudrais bien être son directeur de campagne en 2012. Karim va m'aider à accéder à ce poste" . Quand je lui demandais jusqu'où il était prêt à aller avec Rimka, il se laisse aller. "Ce gars je l'ai longtemps critiqué et insulté, mais aujourd'hui je découvre qu'il est homme plein de qualité. Je vais l'aider à accéder au pouvoir et après il fera de moi tout ce que je lui demande". Plus tard, j'ai compris que ce garçon est un opportuniste né.
El Malick SECK
Ceci dit, j'avais promis de revenir sur les confidences secrètes de Aliou Sow et ce qu'il pense réellement de ses pairs ministres. Cette fois-ci, je vais montrer comment ce jeune homme se prend pour le nombril du monde. Un jour, au détour d'un discussion, il me signale : "Tu sais, Malick, moi et Cheikh Diallo, on va étonner les sénégalais. Ensemble, nous formons tous les deux une équipe et nous allons manipuler l'opinion pour que PDS garde le pouvoir, mais surtout porter Karim au pouvoir. Cheikh réfléchi et me donne les idées pour que je les porte publiquement et politiquement". J'étais abasourdi.
Un autre jour, sans surprise, il n'a pas été tendre avec Diagne Fada. "Ce gars-là, il pensait qu'il avait mon destin en main. Je lui ai montré que ce n'était pas le cas. Moi ce qui m'intéresse ce sont mes intérêts personnels. Il n'est ni plus intelligent que moi, ni plus politicien que moi". Il fera la même remarque sur Macky Sall ou Idrissa Seck. "Ce qu'ils savent pas ces deux-là, c'est que moi Aliou Sow, je porte chance, dès que je suis aux côtés de quelqu'un, il réussit tout ce qu'il entreprend. Dommage pour eux. En plus je suis plus brillant que ces messieurs".
Parfois on a parlé des opposants : "Vous savez, ce que Talla Sylla ou Abdoulaye Bathily font à Bamako, moi je le sais. Dès qu'ils débarquent là bas, je suis informé de leurs compagnies, mais comme c'est une histoire de femmes, ils sont libres, mais si je voulais les détruire, je sais les armes que je vais employer". Un autre soir, toujours dans notre café sur la VDN, il se prend soudain comme le fils de Wade. "Si je le voulais demain, le président me nomme directeur de cabinet à ses côtés. Il me l'a déjà proposé. Il me prend comme son fils. J'ai refusé. Cependant, je voudrais bien être son directeur de campagne en 2012. Karim va m'aider à accéder à ce poste" . Quand je lui demandais jusqu'où il était prêt à aller avec Rimka, il se laisse aller. "Ce gars je l'ai longtemps critiqué et insulté, mais aujourd'hui je découvre qu'il est homme plein de qualité. Je vais l'aider à accéder au pouvoir et après il fera de moi tout ce que je lui demande". Plus tard, j'ai compris que ce garçon est un opportuniste né.
El Malick SECK