« Nous n’avons pas d’offre officielle. Je verrai Hugo jeudi à mon arrivée à New York et nous prendrons une décision définitive au lendemain du Trophée des Champions. » Fixée à dimanche par le président de l’Olympique Lyonnais, la deadline concernant le dossier Lloris va obliger le principal courtisan du portier tricolore, Tottenham, à dévoiler ses cartes. Également intéressés par le gardien brésilien Julio Cesar, les Spurs privilégieront-ils l’aspect économique ou miseront-ils sur un joueur d’avenir ?
Selon L’Équipe, les Londoniens auraient finalement opté pour l’option Lloris. Mieux, ils auraient déjà préparé une dernière offre qui sera transmise par fax. Et c’est un chèque de 12 M€ qui sera proposé aux dirigeants rhodaniens. Une somme qui est bien sûr très loin des 20 M€ réclamés par Jean-Michel Aulas, mais l’OL sait que la dure réalité d’un marché où les clubs comptent plus que jamais leurs sous l’oblige à considérer cette proposition.
Recruté en 2008 contre 8,5 M€, Lloris permettrait donc aux Gones de réaliser une plus-value de 3,5 M€. Un bonus qui parait bien faible au vu des performances de l’international français sous les couleurs lyonnaises. Mais l’obligation qu’a JMA de dégraisser pousse le patron de l’OL à céder. D’autant que certains cadres pourtant annoncés partants (Bastos, Cris, Cissokho) voient les choses se compliquer et sont toujours là.
Matthieu Margueritte
Selon L’Équipe, les Londoniens auraient finalement opté pour l’option Lloris. Mieux, ils auraient déjà préparé une dernière offre qui sera transmise par fax. Et c’est un chèque de 12 M€ qui sera proposé aux dirigeants rhodaniens. Une somme qui est bien sûr très loin des 20 M€ réclamés par Jean-Michel Aulas, mais l’OL sait que la dure réalité d’un marché où les clubs comptent plus que jamais leurs sous l’oblige à considérer cette proposition.
Recruté en 2008 contre 8,5 M€, Lloris permettrait donc aux Gones de réaliser une plus-value de 3,5 M€. Un bonus qui parait bien faible au vu des performances de l’international français sous les couleurs lyonnaises. Mais l’obligation qu’a JMA de dégraisser pousse le patron de l’OL à céder. D’autant que certains cadres pourtant annoncés partants (Bastos, Cris, Cissokho) voient les choses se compliquer et sont toujours là.
Matthieu Margueritte