Les policiers du poste de Gouy-Mbinde ont déféré au parquet de Diourbel, vendredi dernier, un technicien de surface pour viol, attentat à la pudeur, détournement de mineure et pédophilie.
Y. Sarr avait séquestré une fille de 9 ans dans une école privée, avant d'abuser d'elle.
L'affaire s'est ébruitée lorsque la victime, N. S., a été vue en pleurs dans la cour de l'établissement scolaire. Acculée de questions, elle a fini par raconter le film de son agression sexuelle.
Mis devant le fait accompli, le technicien de surface de cet institut, situé à Touba, non loin de la corniche Daara Djolof, a reconnu les faits.
Suite à la plainte déposée, les enquêteurs du poste de Gouy-Mbinde ont réquisitionné les services d'un gynécologue. Après examen, le certificat médical atteste que l'hymen est resté intact sans lésions récentes.
Il ressort du dossier que la fille de 9 ans s'était rendue vers 16h, dans cette école privée, pour ramasser des morceaux de craie dans les salles de classe. Y. Sarr, employé comme technicien de surface dans cet établissement scolaire a promis de lui offrir des cahiers.
"Il m'a proposé de prendre un bain avec lui. J'ai répondu par la négative. Y. Sarr m'a déshabillé avant de frotter son sexe sur le mien jusqu'à éjaculer. Il m'a libéré par la suite", confesse la victime sur procès-verbal, selon des sources de "Seneweb".
Mis devant le fait accompli, le sieur Sarr a confirmé les propos de la fille. Il a néanmoins tenté de faire croire aux enquêteurs, avoir agi sous l'emprise d'êtres surnaturels.
Avec des taches de sperme, la robe de la victime a été mise sous scellés et transmise au procureur de Diourbel.
Y. Sarr avait séquestré une fille de 9 ans dans une école privée, avant d'abuser d'elle.
L'affaire s'est ébruitée lorsque la victime, N. S., a été vue en pleurs dans la cour de l'établissement scolaire. Acculée de questions, elle a fini par raconter le film de son agression sexuelle.
Mis devant le fait accompli, le technicien de surface de cet institut, situé à Touba, non loin de la corniche Daara Djolof, a reconnu les faits.
Suite à la plainte déposée, les enquêteurs du poste de Gouy-Mbinde ont réquisitionné les services d'un gynécologue. Après examen, le certificat médical atteste que l'hymen est resté intact sans lésions récentes.
Il ressort du dossier que la fille de 9 ans s'était rendue vers 16h, dans cette école privée, pour ramasser des morceaux de craie dans les salles de classe. Y. Sarr, employé comme technicien de surface dans cet établissement scolaire a promis de lui offrir des cahiers.
"Il m'a proposé de prendre un bain avec lui. J'ai répondu par la négative. Y. Sarr m'a déshabillé avant de frotter son sexe sur le mien jusqu'à éjaculer. Il m'a libéré par la suite", confesse la victime sur procès-verbal, selon des sources de "Seneweb".
Mis devant le fait accompli, le sieur Sarr a confirmé les propos de la fille. Il a néanmoins tenté de faire croire aux enquêteurs, avoir agi sous l'emprise d'êtres surnaturels.
Avec des taches de sperme, la robe de la victime a été mise sous scellés et transmise au procureur de Diourbel.