Après un tour au petit séminaire Saint-Joseph de Ngazobil, où a séjourné le président-poète Léopold Sédar Senghor, le premier chef de l’Etat sénégalais, ainsi qu’à son domicile de Joal, transformé en musée, Amadou Bâ est allé se recueillir au mausolée d’Ousmane Tanor Dieng, dans son village natal de Nguéniène.
Chantre de la Négritude et apôtre de la civilisation de l’universel, Léopold Sédar Senghor qui était le premier noir à intégrer l’Académie française, a bâti l’Etat sénégalais et jeté les bases du multipartisme, a-t-il dit.
Ousmane Tanor Dieng, un patriote, un grand commis de l’Etat et un « acteur politique de dimension exceptionnelle », a poursuivi son œuvre, a dit Amadou Bâ.
Pour lui, Ousmane Tanor Dieng avec qui il avait des « relations personnelles particulières », était un « patrimoine » pour le Sénégal, voire l’Afrique, « quelqu’un dont le Sénégal a besoin en ces moments », a-t-il dit.
Il a affiché sa volonté de soutenir le Petit séminaire de Ngazobil, une structure de 132 pensionnaires qui compte intégrer l’enseignement des sciences en plus de l’éducation religieuse qui y est dispensée, selon l’abbé Théodore Diouf, directeur de l’établissement.
Le chef du gouvernement s’est aussi montré disposé à aider la commune de Nguéniène, à laquelle Ousmane Tanor Dieng était très attaché.
Chantre de la Négritude et apôtre de la civilisation de l’universel, Léopold Sédar Senghor qui était le premier noir à intégrer l’Académie française, a bâti l’Etat sénégalais et jeté les bases du multipartisme, a-t-il dit.
Ousmane Tanor Dieng, un patriote, un grand commis de l’Etat et un « acteur politique de dimension exceptionnelle », a poursuivi son œuvre, a dit Amadou Bâ.
Pour lui, Ousmane Tanor Dieng avec qui il avait des « relations personnelles particulières », était un « patrimoine » pour le Sénégal, voire l’Afrique, « quelqu’un dont le Sénégal a besoin en ces moments », a-t-il dit.
Il a affiché sa volonté de soutenir le Petit séminaire de Ngazobil, une structure de 132 pensionnaires qui compte intégrer l’enseignement des sciences en plus de l’éducation religieuse qui y est dispensée, selon l’abbé Théodore Diouf, directeur de l’établissement.
Le chef du gouvernement s’est aussi montré disposé à aider la commune de Nguéniène, à laquelle Ousmane Tanor Dieng était très attaché.