
Le président du Réseau des parlementaires pour la protection de l’environnement au Sénégal (REPES), Samba Dang, a affirmé que les députés sénégalais doivent être à l’avant-garde sur le débat sur la transition énergétique au Sénégal.
‘’Si on parle aujourd’hui de transition énergétique, ce sont les députés qui doivent être aux avant-postes, parce que nous portons la voix des populations, qui sont les principales destinataires des politiques publiques’’, a-t-il justifié.
Il intervenait, mercredi, lors d’un atelier national d’échanges et de sensibilisation des parlementaires sur les enjeux du financement de l’adaptation au changement climatique et des transitions justes au Sénégal.
La rencontre, qui s’est ouverte à Dakar, est organisée par Enda énergie et le REPES.
Samba Dang considère que pour tout ce qui touche les questions de financements, les députés ‘’doivent avoir les outils nécessaires pour pouvoir les apprécier’’.
Il estime qu’avec ‘’l’accompagnement d’un partenaire comme Enda énergie, les députés membres du REPES seront mieux outillés pour faire les propositions nécessaires, apprécier les budgets alloués à la transition énergétique et suivre leur mise en œuvre, jusqu’au niveau des territoires’’.
De son point de vue, ‘’la problématique des énergies est telle au Sénégal, que les parlementaires doivent s’armer pour pouvoir jouer leur véritable rôle dans les choix actuels de développement’’.
L’atelier national d’échanges et de sensibilisation des parlementaires offre une plateforme unique pour analyser les défis majeurs liés au changement climatique au Sénégal et discuter des solutions adaptées, afin d’y faire face.
Selon Samba Dang, ‘’les échanges entre parlementaires, élus locaux, experts et acteurs de développement, portent notamment sur les mécanismes de financement de l’adaptation et des transitions justes, avec la participation d’acteurs clés issus des secteurs public et privé’’.
‘’Si, aujourd’hui, Enda vient accompagner le Réseau des parlementaires pour la protection de l’environnement au Sénégal (REPES), pour outiller les parlementaires afin qu’ils puissent jouer le rôle qui est attendu d’eux par les populations, nous ne pouvons que saluer une telle initiative’’, a-t-il indiqué.
Il s’est félicité de cette initiative de Enda et de la présence de l’ensemble des parlementaires. ‘’On avait voté, l’année dernière, un budget vert de 400 milliards FCfa et le Sénégal a un besoin de 2,5 millions d’euros, chaque année, pour accompagner la transition énergétique’’, a-t-il rappelé.
D’après lui, en termes de besoins de financement, non seulement les 400 milliards FCfa déjà votés ne suffisent pas, mais il faudrait aussi que cet argent puisse atteindre ses destinataires.
Aps
‘’Si on parle aujourd’hui de transition énergétique, ce sont les députés qui doivent être aux avant-postes, parce que nous portons la voix des populations, qui sont les principales destinataires des politiques publiques’’, a-t-il justifié.
Il intervenait, mercredi, lors d’un atelier national d’échanges et de sensibilisation des parlementaires sur les enjeux du financement de l’adaptation au changement climatique et des transitions justes au Sénégal.
La rencontre, qui s’est ouverte à Dakar, est organisée par Enda énergie et le REPES.
Samba Dang considère que pour tout ce qui touche les questions de financements, les députés ‘’doivent avoir les outils nécessaires pour pouvoir les apprécier’’.
Il estime qu’avec ‘’l’accompagnement d’un partenaire comme Enda énergie, les députés membres du REPES seront mieux outillés pour faire les propositions nécessaires, apprécier les budgets alloués à la transition énergétique et suivre leur mise en œuvre, jusqu’au niveau des territoires’’.
De son point de vue, ‘’la problématique des énergies est telle au Sénégal, que les parlementaires doivent s’armer pour pouvoir jouer leur véritable rôle dans les choix actuels de développement’’.
L’atelier national d’échanges et de sensibilisation des parlementaires offre une plateforme unique pour analyser les défis majeurs liés au changement climatique au Sénégal et discuter des solutions adaptées, afin d’y faire face.
Selon Samba Dang, ‘’les échanges entre parlementaires, élus locaux, experts et acteurs de développement, portent notamment sur les mécanismes de financement de l’adaptation et des transitions justes, avec la participation d’acteurs clés issus des secteurs public et privé’’.
‘’Si, aujourd’hui, Enda vient accompagner le Réseau des parlementaires pour la protection de l’environnement au Sénégal (REPES), pour outiller les parlementaires afin qu’ils puissent jouer le rôle qui est attendu d’eux par les populations, nous ne pouvons que saluer une telle initiative’’, a-t-il indiqué.
Il s’est félicité de cette initiative de Enda et de la présence de l’ensemble des parlementaires. ‘’On avait voté, l’année dernière, un budget vert de 400 milliards FCfa et le Sénégal a un besoin de 2,5 millions d’euros, chaque année, pour accompagner la transition énergétique’’, a-t-il rappelé.
D’après lui, en termes de besoins de financement, non seulement les 400 milliards FCfa déjà votés ne suffisent pas, mais il faudrait aussi que cet argent puisse atteindre ses destinataires.
Aps