
D’abord, le refus de cette dernière de divulguer les noms des sociétés et autres partenaires financiers de l’Etat qui ont transigé pour éviter des poursuites judiciaires. « Une grave entorse judiciaire », selon le journal.
Deuxième faute, la nébuleuse qui entoure les tractations avec les sociétés incriminées.
Le manque de coordination au sein de l’équipe opération judiciaire de l’Etat. Des sources proches des services de l’agent judiciaire fustigent la démarche de Mimi Toué qui, selon eux, agit en solo.
Enfin, l’utilisation de ce milliard. Le ministre de la Justice avait annoncé que la somme servira « exclusivement à opérationnaliser l’Agence nationale de sécurité de proximité. Il va contribuer à la création d’emplois tout en améliorant les conditions de sécurité des populations ». Une grossièreté ministérielle, comme un pied de nez aux procédures étatiques d’affectation de fonds, écrit L’Observateur.
Deuxième faute, la nébuleuse qui entoure les tractations avec les sociétés incriminées.
Le manque de coordination au sein de l’équipe opération judiciaire de l’Etat. Des sources proches des services de l’agent judiciaire fustigent la démarche de Mimi Toué qui, selon eux, agit en solo.
Enfin, l’utilisation de ce milliard. Le ministre de la Justice avait annoncé que la somme servira « exclusivement à opérationnaliser l’Agence nationale de sécurité de proximité. Il va contribuer à la création d’emplois tout en améliorant les conditions de sécurité des populations ». Une grossièreté ministérielle, comme un pied de nez aux procédures étatiques d’affectation de fonds, écrit L’Observateur.