Le Tribal Dance a obtenu son trophée en catégorie ’’Breakdance 6 vs 6’’ tandis que Lil’Saint a gagné en catégorie ’’Danse debout 2 vs 2’’ devant un jury constitué de Baay Sooley, Ben J et Killah, ont annoncé les organisateurs.
La compétition avait réuni, au Centre culturel Blaise Senghor, une soixantaine de jeunes talents de la danse hip hop, venus de Thiès, Kaolack, Kaffrine, Louga, St Louis, Matam, Ziguinchor et Dakar.
Le championnat, parrainé par le rappeur Gaston, était placé aussi sous l’égide du ministère de la Culture. Elle portait sur le thème "Ku dul tukki… Retour à la base".
Gacira Diagne, directeur du festival ’’Kaay fecc’’, explique dans le communiqué que la manifestation avait pour but de ‘’faire connaître la culture hip-hop et ses différents piliers, éduquer les publics sur cet art urbain et encourager les jeunes qui évoluent dans le milieu à se professionnaliser’’.
Pour coller au thème de l’événement, les organisateurs ont cherché aussi à ‘’dépasser le stade de l’imitation pour créer de nouvelles références’’. Il s’agit d’un ‘’courant de danse hip-hop qui puise également son inspiration dans ses racines sénégalaises et africaines’’, selon Garcia Diagne.
SOURCE:APS
La compétition avait réuni, au Centre culturel Blaise Senghor, une soixantaine de jeunes talents de la danse hip hop, venus de Thiès, Kaolack, Kaffrine, Louga, St Louis, Matam, Ziguinchor et Dakar.
Le championnat, parrainé par le rappeur Gaston, était placé aussi sous l’égide du ministère de la Culture. Elle portait sur le thème "Ku dul tukki… Retour à la base".
Gacira Diagne, directeur du festival ’’Kaay fecc’’, explique dans le communiqué que la manifestation avait pour but de ‘’faire connaître la culture hip-hop et ses différents piliers, éduquer les publics sur cet art urbain et encourager les jeunes qui évoluent dans le milieu à se professionnaliser’’.
Pour coller au thème de l’événement, les organisateurs ont cherché aussi à ‘’dépasser le stade de l’imitation pour créer de nouvelles références’’. Il s’agit d’un ‘’courant de danse hip-hop qui puise également son inspiration dans ses racines sénégalaises et africaines’’, selon Garcia Diagne.
SOURCE:APS