A l’en croire, ce dernier l’accuse d’avoir divulgué l'information dans la presse. Gabrielle Kane soutient que la presse en avait déjà parlé. Toutefois, elle avoue l’avoir traîté de lâche : " J'estime qu'on ne répudie pas une femme parce qu'elle n'est pas vierge, et publiquement, comme il l'a fait ", a-t-elle dit.
Elle insiste que M. Ciss a violé la fille et exercé des violences sur elle puisqu'il l'a contraint à des rapports sexuels. Elle dit avoir été contactée par le père de la fille et qu’elle a accompagné la fille chez la gynécologue. C'est sur la base de ce certificat médical qu’elle dit qu’il y a viol.
Mais le juge lui rétorque que le certificat n'établit pas de viol. Il lui dit qu'on ne peut pas se permettre d'insulter les gens. "Vous pensez que vous êtes protégée ?", lui dit le magistrat.
Elle répond : «Je ne suis pas protégée parce je suis condamnée en première instance».
Souleymane Ciss rapporte que Gabrielle Kane avait dit qu’il avait besoin du sang de la fille à des fins mystique, puisqu’il est investi candidat lors des élections locales. Il précise qu’il n’y a jamais eu de certificat médical qui l'incrimine.
Le procureur général a constaté que Gabrielle Kane n'a pas regretté son acte, mais souhaite l'infirmation partielle du jugement rendu sur la diffamation et de la renvoyer sans peines ni dépens et apprécier en ce qui concerne les injures.
Le délibéré est prévu pour le 7 octobre prochain.
Elle insiste que M. Ciss a violé la fille et exercé des violences sur elle puisqu'il l'a contraint à des rapports sexuels. Elle dit avoir été contactée par le père de la fille et qu’elle a accompagné la fille chez la gynécologue. C'est sur la base de ce certificat médical qu’elle dit qu’il y a viol.
Mais le juge lui rétorque que le certificat n'établit pas de viol. Il lui dit qu'on ne peut pas se permettre d'insulter les gens. "Vous pensez que vous êtes protégée ?", lui dit le magistrat.
Elle répond : «Je ne suis pas protégée parce je suis condamnée en première instance».
Souleymane Ciss rapporte que Gabrielle Kane avait dit qu’il avait besoin du sang de la fille à des fins mystique, puisqu’il est investi candidat lors des élections locales. Il précise qu’il n’y a jamais eu de certificat médical qui l'incrimine.
Le procureur général a constaté que Gabrielle Kane n'a pas regretté son acte, mais souhaite l'infirmation partielle du jugement rendu sur la diffamation et de la renvoyer sans peines ni dépens et apprécier en ce qui concerne les injures.
Le délibéré est prévu pour le 7 octobre prochain.