Il est inacceptable, selon le collectif, que l’administration de la justice souffre de l’incapacité de l’Exécutif à nommer un juge. Il l’invite aussi à promouvoir les jeunes juges compétents plutôt que de nommer des magistrats déjà à la retraite comme c’est le cas du magistrat Badio Camara au Conseil constitutionnel, alors qu’il avait déjà pris sa retraite.
Par ailleurs, le collectif demande au chef de l’Etat de rétablir dans leurs droits, les étudiants exclus de la faculté des Sciences juridiques.
Le collectif Noo Lank invite aussi le Président Macky Sall à ne pas faire dans l’artifice, par le retour des «cleaning days».
Cette opération d’investissement humain doit commencer, à leurs yeux, par les multiples maux de la gangrène cancérigène, profondément ancrée dans l’Etat et qui ont pour noms trafic de faux billets, de drogue, de passeports diplomatiques, trafic d’influence politique, spoliations foncières, racket public des transporteurs, contournement des procédures de marchés publics, détournement de deniers publics, protection contre la justice de ses proches, violences politiques et économiques, etc.
Le collectif Noo Lank trouve que ces maux sont plus graves et infectieux que les débris et saletés dans les rues de nos quartiers.
L’As
Par ailleurs, le collectif demande au chef de l’Etat de rétablir dans leurs droits, les étudiants exclus de la faculté des Sciences juridiques.
Le collectif Noo Lank invite aussi le Président Macky Sall à ne pas faire dans l’artifice, par le retour des «cleaning days».
Cette opération d’investissement humain doit commencer, à leurs yeux, par les multiples maux de la gangrène cancérigène, profondément ancrée dans l’Etat et qui ont pour noms trafic de faux billets, de drogue, de passeports diplomatiques, trafic d’influence politique, spoliations foncières, racket public des transporteurs, contournement des procédures de marchés publics, détournement de deniers publics, protection contre la justice de ses proches, violences politiques et économiques, etc.
Le collectif Noo Lank trouve que ces maux sont plus graves et infectieux que les débris et saletés dans les rues de nos quartiers.
L’As