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Lundi 21 Juin 2010

UNE NOTE INTERNE DEMENT OUSMANE SY ET CONFIRME L’APPEL D’OFFRES BIDON Wade choisit son vainqueur avant date


Une dizaine de jours avant l’ouverture des plis de l’appel d’offres pour l’adjudication de la troisième licence de téléphonie, Wade ne laissait aucun doute sur l’issue de la compétition. « Nous avons pris la décision à propos du vainqueur », confiait-il selon une note interne. Une preuve de plus qui confirme l’appel d’offres bidon et dément son conseiller en Tic qui qualifie nos informations de « mensongères » et menace de porter plainte contre La Gazette.



UNE NOTE INTERNE DEMENT OUSMANE SY ET CONFIRME L’APPEL D’OFFRES BIDON Wade choisit son vainqueur avant date
Suite à l’article publié par La Gazette dans son édition datée du 27 mai au 3 juin 2010 (numéro 60), Thierno Ousmane Sy, le conseiller technique du Président de la République en Tic (Technologie de l’information et de la communication) a réagi pour dire qu’il va porter plainte contre La Gazette. Dans l’émission « opinion » de Walfadjri, il qualifie les informations de la Gazette de « fausses et mensongères ». Nous laissons au conseiller technique le droit de contester, c’est le contraire qui aurait étonné. C’est heureux que quelqu’un, un officiel, daigne, enfin, prendre la parole pour tenter de fournir des explications sur le scandale Sudatel que nous avons révélé au public, depuis des semaines, sans jamais recevoir la moindre contestation de la part des autorités à qui ont été payées des commissions pour attribuer la troisième ou la deuxième licence de téléphonie au Sénégal. Son indignation ne vaut pas démenti. Au contraire. Dans nos précédentes éditions, nous soutenions que l’appel d’offres au terme duquel cette licence a été attribuée n’a été que la poudre jetée aux yeux des Sénégalais. Des documents confidentiels obtenus par notre rédaction confirment cette position qui a été également largement confortée par les décaissements faits par Sudatel pour le compte de tiers qui ont aidé à faire aboutir son dossier.

La Gazette est en effet en mesure de confirmer qu’une note interne au sein de Celtel envoyée par un haut responsable de Celtelglobe - soumissionnaire à l’appel à concurrence pour l’attribution de la troisième licence - confirme les informations selon lesquelles la décision d’attribuer la troisième licence a été prise bien avant l’ouverture de l’appel d’offres. Cette note fait le compte rendu sommaire d’une réunion au Congo entre le chef de l’Etat Abdoulaye Wade et Fady Kamar, chef de la planification stratégique et responsable des fusions acquisitions au sein de Celtelglobe. La note envoyée par Fady Amar à Keba Keinde, Pdg de Millenium Finance Corporation (Mfc) et Amadou Hott, Pdg de UBA Capital et ancien collaborateur de Keba Keinde au sein de Mfc. Selon nos informations cette note qui date de mi-août 2007 cite nommément le président de la République qui répond à l’interpellation de Fady Kamar au sujet de l’adjudication de la troisième licence en ces termes : « J’ai déjà donné la 3ème licence Nous avons pris la décision à propos du vainqueur. » Le chef de l’Etat ajoute, selon ces mêmes sources « nous avons envoyé des lettres à tous les acheteurs potentiels afin de confirmer leur offre. Le processus sera achevé avant le 31 août ».

A l’intention de son interlocuteur Fady Kamar, le Président dit : « j’ai reçu une offre d’une compagnie du Moyen-Orient. Ils ont proposé de payer 50% à l’avance et 50% après la vente d’une société 2 ans plus tard. J’ai décliné l’offre puisque nous avons besoin de financement maintenant ». Le président poursuit dans ses confidences : « J’ai un ami, le ministre des Télécoms au Soudan. Il est également très intéressé par la licence ». Ces déclarations du président de la République confirment que le processus d’appel d’offres n’a été qu’une formalité à laquelle, les autorités de l’Etat étaient obligées de se soumettre pour sauver les apparences. Ces propos du Président rapportés par la note interne ont été tenus une dizaine de jours avant la date de clôture, le dépouillement et l’évaluation de l’appel d’offres comme le corrobore la lettre de l’Agence de régulation des télécommunications (Artp) informant les soumissionnaires d’envoyer leurs offres sous plis fermés. On peut lire dans le rapport public relatif à l’adjudication d’une nouvelle licence globale de télécommunication : « la lettre de l’Artp portant règlement de l’appel à la concurrence, en date du 11 août 2007, a demandé à ces sociétés de lui faire parvenir leur offre ferme au plus tard le 31 août 2007 à 12 heures précises (heure de Dakar). » Officiellement la procédure de l’appel à concurrence comporte au minimum les étapes du lancement de l’appel d’offres, de la réception des soumissions, du dépouillement de l’évaluation des offres et enfin de l’adjudication de la licence. Les autorités de l’Etat en ont décidé autrement malgré les dénégations du Conseiller spécial du président de la République chargé des Tic, Thierno Ousmane Sy. Cette information infirme ses déclarations selon lesquelles la procédure d’attribution de la troisième licence de Sudatel a été conduite dans la transparence.

Dans l’émission « opinion » de Walfadjri du 30 mai dernier Thierno Ousmane Sy dénonce ce qu’il appelle « une campagne de dénigrement des institutions et de sa personne. » Dans un premier temps, M. Sy dit : « le but c’est que Ousmane devait être cité et tout cela fait partie d’un grand morceau de musique que joue la Gazette pour l’atteindre », confie-t-il à l’animateur de l’émission. Il a également pris la défense de Sudatel en paraphrasant son communiqué de mise au point qui dit en substance qu’il n y a jamais eu d’intermédiaires encore moins de commissions et que l’appel d’offres a été le seul élément qui a présidé au choix porté sur l’opérateur. Il dément les informations de la Gazette faisant état de rencontres avec le management de Sudatel à New York et à Dubaï. Cela dit, il reconnaît avoir rencontré dans le cadre de « la communication formelle » de l’Etat tous les autres concurrents qui ont fait des offres excepté Sudatel. Il ajoute que, « à supposer que des rencontres avec le groupe Sudatel aient eu lieu ce serait dans le cadre normal ». M. Sy n’a pas dit pourquoi ils ont rencontrés tous les soumissionnaires en dehors de Sudatel. La réalité est que ces rencontres ont eu lieu plusieurs fois au point qu’il en a oublié certaines.

Le conseiller en Tic du président dit par ailleurs que l’Etat n’a rien à voir avec les relations qui lient PCG à Sudatel. M. Sy reconnaît tout de même avoir été le destinataire du mail de Kéba Keinde que nous avons publié en fac simile l’informant de la clôture du projet d’adjudication de la troisième licence de téléphonie. Il dit qu’il n’a joué qu’un rôle de médiation sur demande de Kéba Keinde pour régler le différend qui a opposé le cabinet d’expert PCG (Palm Capital Group) et Sudatel à la suite du refus de ce dernier de payer ce que M. Sy appelle des « émoluments pour services rendus à PCG ». Il s’est retiré de cette mission après avoir été prié par Sudatel de ne pas se mêler de cette affaire qui ne le concerne pas. « C’est une affaire entre deux société et ça n’a rien à voir avec l’Etat du Sénégal », dit il. Sa responsabilité s’est limitée là, se défend-il.

La réalité est tout autre. La société Pcg est une entité dont la mise sur pied et la gestion constituent une véritable nébuleuse. Nous pouvons certifier qu’il y a de fausses indications sur les adresses et le siège social de la société qui a signé le contrat avec Sudatel. Cette dissimulaton laisse apparaître une réelle volonté de fraude. Nos enquêtes à ce sujet continuent pour établir la nature des relations entre cette société et le pays (Usa) dont elle est supposée porter la nationalité. Interrogé sur les rapports qui lient Kéba Keinde à l’Etat du Sénégal et à lui-même, il répond « Kéba Keinde n’a aucun rapport avec le gouvernement du Sénégal ». Selon M. Sy « Kéba Keinde est apparemment celui qui a recommandé PCG à Sudatel ».

Il dit qu’il n’en sait pas plus que ça. M. Sy déclare qu’il ne sait pas pourquoi Sudatel s’est attachée les services des « consultants » de PCG qui dit-il « n’ont jamais mis les pieds au Sénégal ». Et d’ajouter : « je ne comprends pas je ne suis pas opérateur de télécommunications » Pour rappel dans le contrat qui lie les deux parties il y est expressément mentionné que PCG doit aider Sudatel dans les négociations avec le vendeur, en l’occurrence l’Etat du Sénégal, dans le cadre du processus d’acquisition de la licence de téléphonie. Dans les clauses du contrat, on peut lire que PCG a, pour entre autres missions de « conseiller le client quant à la stratégie et la tactique de négociation avec le vendeur et ses conseillers financiers et l’aider, sur demande, dans les négociations ». Le document ajoute que « au cas où un accord de principe est obtenu pour l’acquisition, aider le client à négocier un accord d’acquisition définitif ». On le voit, le contrat parle de manière explicite de « négociations avec le vendeur », « d’accord de principe » et « d’accord d’acquisition définitif » et ne laisse pas d’équivoque sur la mission de lobbying assignée au PCG.

Makébé Sarr la gazette
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1.Posté par Affaire de Mafia le 22/06/2010 01:05 | Alerter
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Dommage c'est en anglais
http://wikileaks.org/wiki/Dubai_based_Millennium_Finance_Corporation_investment_bank:_the_inside_story,_Oct_2009.
Reste que Keba est brillant

2.Posté par Diogomaye le 22/06/2010 01:14 | Alerter
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Salut Grand Latif,tu ferais mieux d'amener tes preuves,si tu en disposes ,au tribunal,ou tu esattrait aulieu de faire du porter presse. Laisses tomber le masque,et vas prendre ta place dans Benno. Qui est fou?

3.Posté par Gass le 22/06/2010 02:36 | Alerter
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Diogomaye, boul niou fonton. Tes minables n'attendent rien pour payer.

4.Posté par kader le 22/06/2010 02:52 | Alerter
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Keba était le leader du groupe Saf (gorguééééé gorgui sonou naaa rey mou dé reayal mou dé) un tube dans les années 90.

Président-directeur général de Millennium Finance Corporation qu’il a fondée en 2005, ce Sénégalais de 42 ans est à la tête de la principale banque d’affaires du Golfe.





Dans les familles d’ingénieurs, le métier est un attribut qui se transmet de génération en génération. Fils du premier ingénieur sénégalais diplômé d’une grande école française, Keba Keinde le sait bien. Mais il a finalement dévié de cette voie toute tracée. Banquier d’affaires, spécialiste des introductions en Bourse et des fusions-acquisitions, il a fondé et dirige aujourd’hui l’une des banques d’affaires les plus actives du Golfe, Millennium Finance Corporation. Dans le petit monde de la finance internationale, cette institution est un ovni d’un nouveau genre : basée à Dubaï et principalement tournée vers le Sud quand ses consœurs de Londres ou de New York ne s’intéressent que de manière opportuniste aux pays émergents.

« Il est l’un des meilleurs, si ce n’est le meilleur banquier d’affaires que l’Afrique a produit », souligne l’Ivoirien Koné Dossongui, qui considère que les financiers africains de sa trempe se comptent sur les doigts d’une main. « Il a un carnet d’adresses extrêmement fourni et travaille aux Émirats, le centre financier du monde actuel », poursuit le patron du groupe Atlantique. À la tête d’une équipe d’une cinquantaine de banquiers venus du monde entier et d’une vingtaine d’employés, Keba Keinde a déjà conseillé quelques grands noms du capitalisme moyen-oriental et asiatique. Les géants des télécommunications Etisalat et Zain, le holding d’État Dubai Investment Corporation, l’opérateur portuaire DP World, le leader mondial de l’acier Arcelor Mittal ou le premier groupe privé du Maroc, l’ONA, font partie de ses clients. Depuis son bureau situé dans l’une des nombreuses tours que compte la capitale financière du Golfe, il rayonne dans la région et au-delà, voyageant 60 % de son temps, en Arabie saoudite, au Qatar ou au Koweït, bien entendu, mais aussi à Londres, New York ou Bombay.

À 42 ans seulement, Keba Keinde est habitué aux succès précoces. Élève brillant, il quitte son lycée de Dakar dès 14 ans, remarqué pour ses qualités. Sélectionné au Royaume-Uni par le très élitiste Atlantic College, il prend pourtant la direction du prestigieux lycée parisien Louis-le-Grand. Son père, attaché au système éducatif français, souhaite qu’il en soit ainsi. Éloigné de sa famille, en pension chez les jésuites, il découvre alors la féroce concurrence que se livrent, dès le plus jeune âge, les meilleurs étudiants français. À 16 ans, il décroche son bac scientifique et poursuit, dans le même lycée, ses études dans les classes préparatoires aux grandes écoles. Entré à Télécoms Paris, l’une des toutes premières écoles françaises, il en sort ingénieur en 1989. Comme papa. Et comme ses deux grands frères et sa sœur aînée. Là s’arrête la comparaison. Rompant avec la tradition familiale, il quitte le monde des ingénieurs après trois ans chez IBM, lassé d’un métier dont il sent qu’il n’est pas fait pour lui. « En 1992, j’ai opté pour un MBA à Boston, au MIT, explique-t-il. Cela m’a permis de prendre un virage dans ma carrière professionnelle. »



BNP Paribas ne répond pas

À l’époque, Keba Keinde rêve d’entrer à la Banque mondiale pour travailler sur des problématiques de développement. Il y fait un court passage avant de rejoindre Wall Street, le temple de la finance mondiale. Embauché par Lehman Brothers, à l’époque l’une des banques d’affaires les plus réputées au monde, il passe quatre ans à New York. Il retourne ensuite à la Banque mondiale, où il s’occupe des privatisations en Afrique. En 2001, la banque française BNP Paribas le remarque et le nomme directeur général en charge du Moyen-Orient, de l’Afrique, de la Turquie et de l’Iran. Il est alors en pleine ascension, conseille l’opérateur de télécoms Etisalat pour l’obtention de sa licence saoudienne (3 milliards de dollars), participe à la privatisation de Türk Telekom (1,9 milliard de dollars), vendu au saoudien Oger, assiste le gouvernement iranien pour la vente de sa deuxième licence de téléphonie mobile…

Aux premières loges pour vivre le boom du Moyen-Orient, Keba Keinde constate l’aspiration des entreprises du Golfe à devenir des opérateurs de classe mondiale. « À l’époque, il n’y avait pas de banque d’affaires spécialisée sur la région, qui soit capable d’accompagner réellement et dans la durée les groupes locaux, se rappelle-t-il. J’ai proposé à BNP Paribas de développer une structure spéciale, je n’ai jamais eu de réponse. » En toute logique, il cherche à réaliser son projet ailleurs. « Le président du conseil d’administration d’Etisalat était aussi ministre des Finances de Dubaï et avait également des responsabilités à Dubai Islamic Bank (DIB) », explique-t-il. DIB sera le premier soutien de Millennium Finance Corporation, en devenant son actionnaire historique aux côtés de tous les banquiers qui, en 2005, participent à sa création et sont largement associés au capital. Depuis, Millennium Finance a ouvert son capital au holding de la famille royale du Koweït (Kipco).

À travailler sur des opérations de plusieurs milliards, à fréquenter quelques-uns des plus puissants patrons du capitalisme émergent, nombre d’hommes d’affaires auraient pu être gagnés par la folie des grandeurs. Pas Keba Keinde. Avec sa femme, sénégalaise comme lui, et leurs trois enfants, dont les deux derniers sont nés aux Émirats, il vit à Palm Jumeirah, cette île en forme de palmier mondialement célèbre, entièrement construite sur la mer et qui offre à quelques privilégiés des villas de rêve, les pieds dans l’eau. Pour autant, son comportement n’en laisse rien paraître. « Il est modeste et accessible malgré l’importance de ses fonctions », se rappelle l’un de ses clients. « Il se tient au courant de tous les dossiers mais il n’intervient qu’au moment où il sait que son expérience et ses relations peuvent les faire avancer », se souvient Amadou Hott, PDG d’UBA Capital, au Nigeria, qui a travaillé pendant près de trois ans avec lui.



Un drôle de mélange

S’il a quitté le Sénégal depuis vingt-huit ans, le pays reste naturellement dans son cœur. « Ma famille est là-bas et mes frères et sœurs y travaillent tous dans le BTP. J’y retourne au moins deux fois par an et j’y vais parfois pour mon travail. » Au pays de la Teranga, le banquier d’affaires est connu, mais sans plus. Il porte le prénom de Keba Mbaye, célèbre magistrat, grand ami de son père. La famille Mbaye, dont Tidiane, le patron de la Sonatel, fait partie de ses amis. Certains se souviennent de Keba Keinde du temps où il était à la Banque mondiale puis chez BNP Paribas. Il a été impliqué dans quelques privatisations qui n’ont pas laissé que des bons souvenirs, comme celle de la Senelec. Quelques-uns admirent la réussite de celui qui accompagnait il y a peu l’homme d’affaires indien Lakshmi Mittal pour ses investissements au Sénégal. Ou qui conseille de grands noms du capitalisme africain, comme l’Ivoirien Koné Dossongui, patron du groupe Atlantique, ou le milliardaire nigérian Ali Dangote. Ils sont plus nombreux à se souvenir de ses prouesses musicales. En plus des sports automobiles, qu’il pratique dès qu’il peut sur les circuits de Dubaï, Keba Keinde est musicien. Amateur aujourd’hui, il fut hier chanteur professionnel. Le groupe de pop africaine qu’il avait formé alors avec d’autres étudiants de Télécoms Paris eut un vrai succès, réalisant deux albums qui furent très en vogue à Dakar. « Nous avions appelé le groupe Saf, ce qui signifie « épicé » en wolof, parce que nous étions un drôle de mélange, avec des membres venus de partout. »

5.Posté par meissa le 22/06/2010 07:57 | Alerter
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Pauvre Amadou Hott et Keinde, des intermediaires uniquement mus par leurs interets individuels au detriment de leur patrie.

Changeant de banque comme ils changent de slip, coulant des boites les unes a la suite des autres et courant derriere des titres de peaux d'ane et des mirifques BONUS qu'ils ne recevront jamais. La preuve : citee en tant que criminels financiers a col blanc pour avoir vole leur peuple.


6.Posté par Doudou thiam sall le 22/06/2010 15:48 | Alerter
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très artificiel personnage!

7.Posté par papis le 22/06/2010 17:59 | Alerter
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Ces documents bancaires confidentielles de la banque d'investissement MFC (Millennium Finance Corporation), suggèrent que la société est de liquidités, entre autres. Les documents donnent un équilibre exact par division. Cette collection et les informations sous forme de suivi de notre fuite antérieures sur la MFC.

Selon notre source:

1.As du 10 août, MFC n'était pas conforme à l'exigence de capital réglementaire (comme indiqué sur le document ci-joint interne). Toutefois, la DFSA n'a pas supprimé les permis de la compagnie car il serait le bras de sa réputation actionnaires (Dubai Islamic Bank et KIPCO) qui sont liés à la famille régnante de l'émirat de Dubaï.

2.Sajid Barkat, chef de l'administration, est revenu en service en Septembre, malgré sa suspension par le Comité provisoire de gestion de mai 2009 en raison du rôle qu'il a joué dans la fraude letsbuyit.com.

3.Following sa reprise en août, Keba Keinde a tiré une douzaine de supplémentaires du personnel de 25 personnes restantes. Le personnel a été signalé à plus de 60 en Janvier 2009.

4.In plus, plusieurs employés ont été suspendus en ce qui concerne une enquête sur la fuite en ligne Wikileaks.

5.In attendant chaque membre de l'équipe de direction est toujours payé plus de 250.000 par an du salaire de base (+ bonus), le support de salaire le plus élevé de l'entreprise USD si l'on exclut le poste de PDG. À côté de cela, la plupart des mesures de rationalisation des coûts, ils ont consisté à bas salaires du personnel de soutien mises à pied, avec indemnité de départ minime. Voir «la rémunération par salarié" fichier.

6.Zana Masle le chef des RH a été tiré par les MFC au T1-09 suite à une enquête interne concernant une fraude de visa DIFC (elle a délivré un visa à une personne non autorisée sous le parrainage de l'entreprise). Ni les actionnaires, le régulateur (DFSA) ou son nouvel employeur ont été informés par le chef de la direction de ces résultats.

7.In Mars 2009, la direction a entamé une tournée de promotion, dont les coûts ont été engagés pour la société, de lever des fonds frais pour sortir, Dubai Islamic Bank, l'un des trois principaux actionnaires (voir ci-joint des documents montrant scénarios de sortie) et de résoudre de la situation de trésorerie. Cette action a été prise sans en informer les actionnaires.

8.An enquête est menée par le Gouvernement de la République islamique d'Iran VEVAK Agence en ce qui concerne le mandat de conseil donné à MFC pour la délivrance de la 3ème licence mobile. plusieurs candidats (y compris Etisalat et Zain) se sont plaints d'irrégularités au cours du processus par le biais de leurs gouvernements respectifs. La redevance due à MFC est estimé à plus de 30 millions de dollars, ce qui est loin au-dessus des normes du secteur. Il a été signalé que MFC est responsable de l'échec du processus, en raison de ses problèmes internes et la volonté de préserver les intérêts personnels du chef de la direction et ses partenaires AFA. La licence a finalement été attribué à un consortium local tandis que 5 soumissionnaires internationaux étaient sur la bonne voie il ya un an (lien ci-dessous).

9.Le Bureau du contrôle des avoirs étrangers (OFAC) du Département du Trésor américain a été impliqué dans l'enquête du gouvernement des Émirats arabes unis.

US Securities & Exchange Commission affaire contre KIPCO:

8.Posté par Bécaye le 22/06/2010 18:58 | Alerter
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Et la direction de Sudatel qui affirmait qu'il ont eu la licence pour pas un fr?

9.Posté par KARLA le 22/06/2010 19:41 | Alerter
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Sa sent la blanchisserie et le blanchisseur de nos Kopoor

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