Selon nos sources, "il faut alerter l'opinion et les instances telles que la Commission Bancaire, les organes de régulation et l'inspection du Travail, pour qu'ils se penchent de plus près sur ce qui se passe à UBA afin de préserver les milliers de clients.
Cette banque vit sur le dos du Gouvernement du Sénégal, en surfacturant des sociétés comme la Société Africaine de Raffinage, sans donner de considération ni respect aux employés sénégalais qui abattent tout le travail pour des miettes".
A en croire ces sources, "le Directeur général, M Bode, qui a pu décrocher son agrément en dépit de deux exceptions cumulatives, est non ressortissant de la zone Uemoa d'une part et n'a aucune maîtrise de la langue officielle de travail, d'autre part".
Démissions en cascade de cadres
La source de Leral affirme que des "démissions en cascade de plus d'une dizaine de cadres supérieurs, dont six (6) Chargés d'affaires, des Chefs d'agences et trois (3) directeurs, ont été notées. Ils ont quitté le navire, fragilisant l'activité courante de la banque et impactant négativement les chiffres de cette institution. Sans oublier la défection de certains administrateurs au sein du Conseil d'Administration. Le PCA qui a été renvoyé manu militari, tarde à être remplacé depuis six (6) mois. En l'absence de Syndicat, la banque enregistre le plus de contentieux sociaux au niveau de l'inspection du Travail. Le cas récent des informaticiens licenciés ou le dossier de la plainte de l'ex DG sont pendants au niveau du tribunal du Travail".
Avec ce lot de désagréments, il y a les déploiements arbitraires comme celui du Directeur Digital, transformé en chargé d'Affaires.
Le Directeur des Ressources à la solde de Lagos, n'hésite pas à aller à l'encontre des textes, notamment en matière d'intérim. Les intérimaires sont remplacés par des expatriés, payés trois fois plus sans aucune valeur ajoutée comparative. Les résultats sont difficilement justifiés et justifiables auprès des Commissaires aux comptes. La provision de près de cinq (5) milliards enregistrée en 2019, est passée inaperçue et inexpliquée au yeux des clients.
Cette banque vit sur le dos du Gouvernement du Sénégal, en surfacturant des sociétés comme la Société Africaine de Raffinage, sans donner de considération ni respect aux employés sénégalais qui abattent tout le travail pour des miettes".
A en croire ces sources, "le Directeur général, M Bode, qui a pu décrocher son agrément en dépit de deux exceptions cumulatives, est non ressortissant de la zone Uemoa d'une part et n'a aucune maîtrise de la langue officielle de travail, d'autre part".
Démissions en cascade de cadres
La source de Leral affirme que des "démissions en cascade de plus d'une dizaine de cadres supérieurs, dont six (6) Chargés d'affaires, des Chefs d'agences et trois (3) directeurs, ont été notées. Ils ont quitté le navire, fragilisant l'activité courante de la banque et impactant négativement les chiffres de cette institution. Sans oublier la défection de certains administrateurs au sein du Conseil d'Administration. Le PCA qui a été renvoyé manu militari, tarde à être remplacé depuis six (6) mois. En l'absence de Syndicat, la banque enregistre le plus de contentieux sociaux au niveau de l'inspection du Travail. Le cas récent des informaticiens licenciés ou le dossier de la plainte de l'ex DG sont pendants au niveau du tribunal du Travail".
Avec ce lot de désagréments, il y a les déploiements arbitraires comme celui du Directeur Digital, transformé en chargé d'Affaires.
Le Directeur des Ressources à la solde de Lagos, n'hésite pas à aller à l'encontre des textes, notamment en matière d'intérim. Les intérimaires sont remplacés par des expatriés, payés trois fois plus sans aucune valeur ajoutée comparative. Les résultats sont difficilement justifiés et justifiables auprès des Commissaires aux comptes. La provision de près de cinq (5) milliards enregistrée en 2019, est passée inaperçue et inexpliquée au yeux des clients.