« Complot contre le Dg Cheikh Thiam ». Selon "Walf Grand place", « les journalistes du « Soleil » qui ont perdu leurs postes de responsabilités suites aux changements opérés par le directeur général, en veulent à Cheikh Thiam ».
« Walf Grand-Place » informe que « le 1e septembre dernier, Cheikh Thiam a procédé à des changements au « Soleil ». Des changements qui, naturellement, n’ont pas fait que des heureux. Des nominations qui n’agrée pas un groupe de journalistes qui « en plus de tenir des réunions secrètes, s’échangent des mails dans lesquels ils tracent la voie à suivre pour obtenir le limogeage du Dg du « Soleil ». Quant'à « Walfadjri » il révèle que « l’ex-directeur des rédactions et un ancien du journal impliqués ».
« D’après certaines sources, Habib Demba Fall, devenu « chargé des Editions » serait mécontent de sa « promotion ». D’où le « complot » visant à faire parler le Dg. Si l’on se fie au mail qui porte sa signature, il n’exclut pas de recourir à des pressions politiques pour arriver à ses fins. Il écrit : « je suis avec le sénateur Sidy Dieng que je sensibilise. Il me demande un memo. Il rencontre le président de la République dès son retour de New York ». Les lignes suivantes démontrent que la bataille pour débarquer Thiam se mène aussi à l’interne : « Mamadou Kassé, je l’ai travaillé au corps pour le déconnecter des Bachir Sow et Amadou Fall. Je l’ai mis sur une fausse piste en lui demandant de tourner le dos à cette équipe. Il est ok. Il ne comprendra rien à notre stratégie. Tout coup est ok pour affaiblir ce Dg incompétent. Kassé portera aussi la lutte politique », rapporte « Walfadji ». De même, d'aucuns ont qualifié ce scénario "digne d'un roman policier qui est en train de se dérouler dans les locaux dudit journal. Un plan de déstabilisation contre l'actuel directeur général.
Leral.net
« Walf Grand-Place » informe que « le 1e septembre dernier, Cheikh Thiam a procédé à des changements au « Soleil ». Des changements qui, naturellement, n’ont pas fait que des heureux. Des nominations qui n’agrée pas un groupe de journalistes qui « en plus de tenir des réunions secrètes, s’échangent des mails dans lesquels ils tracent la voie à suivre pour obtenir le limogeage du Dg du « Soleil ». Quant'à « Walfadjri » il révèle que « l’ex-directeur des rédactions et un ancien du journal impliqués ».
« D’après certaines sources, Habib Demba Fall, devenu « chargé des Editions » serait mécontent de sa « promotion ». D’où le « complot » visant à faire parler le Dg. Si l’on se fie au mail qui porte sa signature, il n’exclut pas de recourir à des pressions politiques pour arriver à ses fins. Il écrit : « je suis avec le sénateur Sidy Dieng que je sensibilise. Il me demande un memo. Il rencontre le président de la République dès son retour de New York ». Les lignes suivantes démontrent que la bataille pour débarquer Thiam se mène aussi à l’interne : « Mamadou Kassé, je l’ai travaillé au corps pour le déconnecter des Bachir Sow et Amadou Fall. Je l’ai mis sur une fausse piste en lui demandant de tourner le dos à cette équipe. Il est ok. Il ne comprendra rien à notre stratégie. Tout coup est ok pour affaiblir ce Dg incompétent. Kassé portera aussi la lutte politique », rapporte « Walfadji ». De même, d'aucuns ont qualifié ce scénario "digne d'un roman policier qui est en train de se dérouler dans les locaux dudit journal. Un plan de déstabilisation contre l'actuel directeur général.
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VASTE CABALE POUR FAIRE SAUTER LE DIRECTEUR GENERAL DU « SOLEIL » Un complot pour étouffer un rapport de la Cour des comptes éventé
Un vaste complot, ourdi à l’interne, vise le directeur général du « Soleil ». Deux mails, qui renseignent sur l’ampleur de l’opération « faire partir Cheikh Thiam », et sur la détermination des encagoulés. Lundi dernier déjà, le ton a été donné lors de la rencontre du conseil d’administration. Sans informer la section Synpics, Mbaye Dramé du collège des délégués, a formulé de graves accusations contre Cheikh Thiam. Une démarche bien cavalière et pour cause.
Depuis quelques jours, un climat particulier règne à la direction générale du « Soleil ». A l’origine, une série de manœuvres ne visant ni plus ni moins qu’à débarquer de son fauteuil le directeur général, Cheikh Thiam. L’affaire a pris une autre tournure lorsqu’un mail perdu a atterri entre les mains de certains responsables du « Soleil », qui n’ont pas manqué de le communiquer au Dg. En vérité, par inadvertance, l’un des manœuvriers à l’étranger a oublié de fermer sa boîte mail à la suite d’un échange qu’il avait eu avec un de ses correspondants, qui rêve lui-même de succéder à Cheikh Thiam. Un Sénégalais tombé sur les mails et qui a un ami au sein de l’astre national n’a pas hésité à lui renvoyer le mail après avoir lu le contenu et idenfié les deux correspondants. Dans le mail, un des responsables du « Soleil », récemment démis de ses fonctions affirme à son interlocuteur que « Cheikh (Ndlr : Thiam) s’accorde une intelligence qu’il n’a pas. Mbaye (Ndlr : Dramé, syndicaliste) est à féliciter et encadrer. Point de compromis possible. Grand, je t’en conjure. Si Doudou (ndlr : Sarr Niang, ancien du Soleil en service à la Primature) n’en veut pas, c’est une mission sacrée que de prendre ce Soleil. Sinon devant l’Histoire, nous pourrons le regretter. Nous ne pouvons plus faire machine arrière. Il a choisi des vipères, lui le boa en chef (…). Je suis avec le sénateur Sidy Dieng. Il me demande un mémo. Il rencontre le PR dès le retour de celui-ci de NY. Tu peux m’aider sur la question politique ? (…). Surtout, il ne faut pas que Mbaye tourne le dos à l’administration. Qu’il le dise tout haut et fort à l’AG. Ce sont nos alliés subjectifs du plan de démantèlement de cette bande de rapaces. Donnez-moi des nouvelles, SVP ! ».
Un vaste complot, ourdi à l’interne, vise le directeur général du « Soleil ». Deux mails, qui renseignent sur l’ampleur de l’opération « faire partir Cheikh Thiam », et sur la détermination des encagoulés. Lundi dernier déjà, le ton a été donné lors de la rencontre du conseil d’administration. Sans informer la section Synpics, Mbaye Dramé du collège des délégués, a formulé de graves accusations contre Cheikh Thiam. Une démarche bien cavalière et pour cause.
Depuis quelques jours, un climat particulier règne à la direction générale du « Soleil ». A l’origine, une série de manœuvres ne visant ni plus ni moins qu’à débarquer de son fauteuil le directeur général, Cheikh Thiam. L’affaire a pris une autre tournure lorsqu’un mail perdu a atterri entre les mains de certains responsables du « Soleil », qui n’ont pas manqué de le communiquer au Dg. En vérité, par inadvertance, l’un des manœuvriers à l’étranger a oublié de fermer sa boîte mail à la suite d’un échange qu’il avait eu avec un de ses correspondants, qui rêve lui-même de succéder à Cheikh Thiam. Un Sénégalais tombé sur les mails et qui a un ami au sein de l’astre national n’a pas hésité à lui renvoyer le mail après avoir lu le contenu et idenfié les deux correspondants. Dans le mail, un des responsables du « Soleil », récemment démis de ses fonctions affirme à son interlocuteur que « Cheikh (Ndlr : Thiam) s’accorde une intelligence qu’il n’a pas. Mbaye (Ndlr : Dramé, syndicaliste) est à féliciter et encadrer. Point de compromis possible. Grand, je t’en conjure. Si Doudou (ndlr : Sarr Niang, ancien du Soleil en service à la Primature) n’en veut pas, c’est une mission sacrée que de prendre ce Soleil. Sinon devant l’Histoire, nous pourrons le regretter. Nous ne pouvons plus faire machine arrière. Il a choisi des vipères, lui le boa en chef (…). Je suis avec le sénateur Sidy Dieng. Il me demande un mémo. Il rencontre le PR dès le retour de celui-ci de NY. Tu peux m’aider sur la question politique ? (…). Surtout, il ne faut pas que Mbaye tourne le dos à l’administration. Qu’il le dise tout haut et fort à l’AG. Ce sont nos alliés subjectifs du plan de démantèlement de cette bande de rapaces. Donnez-moi des nouvelles, SVP ! ».
Réponse de son interlocuteur : « Mbaye a lu et distribué le texte solennellement après avoir apporté la contradiction dès le départ à Cheikh Thiam. Il a bloqué les orientations du Dg et réitéré les actes de mal gestion que ce dernier est en train de commettre (…). Une commission composée du personnel (représentant) et d’autres membres sera réunie pour statuer sur les coupes salariales. Au niveau de l’administration, le conseil lui a demandé de surseoir à ses recrutements bidons (…). Mbaye a convoqué une AG pour le mercredi à midi, pour rendre compte et demander au personnel de lui donner carte blanche pour un plan d’action ».
Ces échanges ne sont que le résumé de la vaste opération en cours pour débarquer Cheikh Thiam puisque, dans les mêmes mails, on apprend qu’une task force a été mise en place pour se réunir chaque après-midi, afin de « mariner » le plan d’action. Effectivement, lors de la rencontre du conseil d’administration de lundi dernier, Mbaye Dramé, coordonnateur du collège des délégués a pris la parole pour s’attaquer aux réformes initiées par le directeur général, mais aussi à sa gestion, l’accusant de tous les maux. Les accusations ont été démenties par Cheikh Thiam qui a d’ailleurs promis de porter plainte, à moins que son accusateur ne formule des excuses publiques.
Mais le plus renversant c’est que le document qui contient ces accusations n’a pas été cautionné par la Section Synpics. Cette dernière a d’ailleurs convoqué hier Mbaye Dramé pour s’insurger contre sa démarche cavalière. Comme toute réponse, ce dernier a affirmé que ses accusations n’ont pas été contredites par Cheikh Thiam. « Ce qui est faux », confient des sources proches de la Direction générale.
Lors du même conseil d’administration, le même Mbaye Dramé ne s’est pas gêné de taxer le Directeur administratif et financier (Daf) de repris de justice. C’est vrai que ce dernier avait été écroué lors de la chute de l’ex-directeur général, Ibrahima Gaye, mais il n’a jamais fait l’objet d’une condamnation. En vérité, les mails établissent formellement l’implication de responsables démis récemment de leur poste. Il n’en demeure pas moins que l’origine de cette cabale est surtout à chercher dans la panique installée par la transmission au Directeur général d’un rapport de la Cour des comptes qui passe au peigne fin les gestions 2004-2007. Des sources affirment que le rapport met en cause certains parmi les « dirigeants » de cette opération ou leur « parrain ». Dommage que cette cabale vise un directeur général qui aura quand même réussi à donner au « Soleil » sa crédibilité financière et aussi éditoriale.
Ces échanges ne sont que le résumé de la vaste opération en cours pour débarquer Cheikh Thiam puisque, dans les mêmes mails, on apprend qu’une task force a été mise en place pour se réunir chaque après-midi, afin de « mariner » le plan d’action. Effectivement, lors de la rencontre du conseil d’administration de lundi dernier, Mbaye Dramé, coordonnateur du collège des délégués a pris la parole pour s’attaquer aux réformes initiées par le directeur général, mais aussi à sa gestion, l’accusant de tous les maux. Les accusations ont été démenties par Cheikh Thiam qui a d’ailleurs promis de porter plainte, à moins que son accusateur ne formule des excuses publiques.
Mais le plus renversant c’est que le document qui contient ces accusations n’a pas été cautionné par la Section Synpics. Cette dernière a d’ailleurs convoqué hier Mbaye Dramé pour s’insurger contre sa démarche cavalière. Comme toute réponse, ce dernier a affirmé que ses accusations n’ont pas été contredites par Cheikh Thiam. « Ce qui est faux », confient des sources proches de la Direction générale.
Lors du même conseil d’administration, le même Mbaye Dramé ne s’est pas gêné de taxer le Directeur administratif et financier (Daf) de repris de justice. C’est vrai que ce dernier avait été écroué lors de la chute de l’ex-directeur général, Ibrahima Gaye, mais il n’a jamais fait l’objet d’une condamnation. En vérité, les mails établissent formellement l’implication de responsables démis récemment de leur poste. Il n’en demeure pas moins que l’origine de cette cabale est surtout à chercher dans la panique installée par la transmission au Directeur général d’un rapport de la Cour des comptes qui passe au peigne fin les gestions 2004-2007. Des sources affirment que le rapport met en cause certains parmi les « dirigeants » de cette opération ou leur « parrain ». Dommage que cette cabale vise un directeur général qui aura quand même réussi à donner au « Soleil » sa crédibilité financière et aussi éditoriale.
CHEIKH THIAM, DG DU SOLEIL
« C’est une tentative de déstabilisation très bien orchestrée »
Quand Cheikh Thiam arrivait au « Soleil », le personnel courait derrière quatre à cinq mois d’arriérés de salaire. Aujourd’hui, tous ces arriérés ont été soldés, en plus de la dette de 300 millions de F Cfa épongée sur fonds propres. Et chaque fin de mois, la direction paye 25 millions de F Cfa à son imprimeur et les banques lui ont refait confiance. 250 millions de F Cfa de dépôts à terme sont dans deux banques de la place et sur les 14 comptes qu’avait ouverts l’entreprise, seuls cinq fonctionnent aujourd’hui. Bref, « le Soleil » a presque fini de retrouver son sourire, même si l’imprimerie ne fonctionne toujours pas. Joint hier au téléphone, Cheikh Thiam ne mâche pas ses mots : « C’est une tentative déstabilisation très bien orchestrée avec un document conçu entre quatre murs, sans l’aval des syndicats. C’est un scandale, vous n’avez qu’à interpeller les syndicats qui n’étaient même pas au courant. C’est ce qu’on appelle faire du faux et user aussi de faux pour tenter d’induire en erreur le conseil. Si ce que nous avons fait jusque-là c’est de la mauvaise gestion, alors tout le monde rêve d’être mauvais gestionnaire. J’ai rendu compte à l’autorité et cette affaire connaîtra une suite ».
C.M.G
Lasquotidien.Info
« C’est une tentative de déstabilisation très bien orchestrée »
Quand Cheikh Thiam arrivait au « Soleil », le personnel courait derrière quatre à cinq mois d’arriérés de salaire. Aujourd’hui, tous ces arriérés ont été soldés, en plus de la dette de 300 millions de F Cfa épongée sur fonds propres. Et chaque fin de mois, la direction paye 25 millions de F Cfa à son imprimeur et les banques lui ont refait confiance. 250 millions de F Cfa de dépôts à terme sont dans deux banques de la place et sur les 14 comptes qu’avait ouverts l’entreprise, seuls cinq fonctionnent aujourd’hui. Bref, « le Soleil » a presque fini de retrouver son sourire, même si l’imprimerie ne fonctionne toujours pas. Joint hier au téléphone, Cheikh Thiam ne mâche pas ses mots : « C’est une tentative déstabilisation très bien orchestrée avec un document conçu entre quatre murs, sans l’aval des syndicats. C’est un scandale, vous n’avez qu’à interpeller les syndicats qui n’étaient même pas au courant. C’est ce qu’on appelle faire du faux et user aussi de faux pour tenter d’induire en erreur le conseil. Si ce que nous avons fait jusque-là c’est de la mauvaise gestion, alors tout le monde rêve d’être mauvais gestionnaire. J’ai rendu compte à l’autorité et cette affaire connaîtra une suite ».
C.M.G
Lasquotidien.Info