Dénommé « TFM : Youssou Ndour », le mouvement a été initié par un informaticien natif de la Médina « aujourd’hui à la retraite », Pape Gallo Niang, indique Kotch. « Nous ne comprenons pas pourquoi ça bloque. Pourquoi refuse-t-on d’accorder à Youssou Ndour sa fréquence ? », s’est interrogé M. Niang, dans le journal vieux d’une semaine.
Pour le retraité, « un patriote comme Youssou Ndour, qui a tout fait pour son pays ne mérite pas un tel sort. Cette situation est anormale. Tout le peuple y gagne, il va de notre intérêt national ».
En vue de rallier les Sénégalais à sa cause, le mouvement de soutien a distribué dix registres de deux cent pas pages, chacun, au porteurs de voix de la Médina, soit les « artistes, comédiens, jeunes des ASC (associations sportives et culturelles) les femmes qui tiennent les tontines, dit Kotch.
L’objectif du mouvement, qui a lancé le mot d’ordre « Le peuple réclame TFM », est de recueillir 40 000 signatures et de « faire porter le combat par tout le pays ».
Selon toujours le journal, le mouvement ne « compte pas s’arrêter en si bon chemin », il « envisage de créer une base de données à internet, pour montrer à la face du monde ce qu’il qualifie d’injustice grandissante qui règne au Sénégal ».
Le coordonnateur général du mouvement a fait savoir que Youssou Ndour n’est pas au fait de son initiative. « Nous comptons l’en informer quand tout sera prêt », a-t-il expliqué.
Mardi, une source digne de confiance, révélait à ASI24, sous le couvert de l’anonymat, que Youssou Ndour a « bel et bien reçu des autorités sénégalaises l’autorisation d’investir dans la télévision au Sénégal et de mettre en place sa chaîne Télévision Futur Média (TFM) ».
Néanmoins, le démarrage de TFM prévu en mai dernier est toujours en attente. Selon le chanteur, la télévision est bloquée par les autorités publiques.
Un banquier, s’entretenant de la question à ASI24, avait soutenu que « l’inaction de TFM aura un coût ». « Pire l’action bancaire continue alors qu’il n’y a aucune entrée d’argent », avait-il dit.
« Les banques ne vont pas attendre que la télévision marche pour entrer dans leurs fonds. Le non démarrage des programmes entraîne une inertie au niveau des entrées. Certes, il n’y a pas de charges en termes de salaires, sauf pour les gardiens et autres personnes en place pour l’entretien et maintien du matériel, mais il y a quand même des dépenses liées à l’électricité, à l’eau, et à la nature du prêt, s’il existe. L’entreprise n’étant pas productive, les caisses étant à zéro, il va s’en dire que l’investissement réalisé avec un concours bancaire, s’il en est, peut devenir lourd de conséquence », expliquait-il.
« L’entreprise n’aura pas de coussin d’air pour amortir les coûts, elle devra non seulement faire face aux banques pour le paiement de la dette, mais aussi aller auprès d’elles pour faire face aux charges. Le gain de temps est perdu, les possibilités de souffler dépassées, les réalités bancaires vont se poser », avait poursuivi le banquier.
Selon lui, « l’investissement est déjà un risque, vivre la situation actuelle de TFM doit être extrêmement pénible ». Le banquier, qui avait également requis l’anonymat, avait prévenu : « Si le blocage est réel, c’est non seulement difficile pour l’initiateur du projet, mais également déconcertant pour tout ce qui concerne l’investissement au Sénégal ».
Le 1er octobre, à l’occasion de son anniversaire, le chanteur et star internationale, avait déclaré à la radio privée, RFM, également sa propriété, qu’il avait investi près d’un milliard de francs CFA, à la suite d’une autorisation accordée par les autorités. Dépité, Youssou Ndour avait invité ses fans de ne plus demander « à quand le démarrage de TFM, mais d’aller poser la question aux autorités ».
CF/ASI24 (Source Kotch)
Pour le retraité, « un patriote comme Youssou Ndour, qui a tout fait pour son pays ne mérite pas un tel sort. Cette situation est anormale. Tout le peuple y gagne, il va de notre intérêt national ».
En vue de rallier les Sénégalais à sa cause, le mouvement de soutien a distribué dix registres de deux cent pas pages, chacun, au porteurs de voix de la Médina, soit les « artistes, comédiens, jeunes des ASC (associations sportives et culturelles) les femmes qui tiennent les tontines, dit Kotch.
L’objectif du mouvement, qui a lancé le mot d’ordre « Le peuple réclame TFM », est de recueillir 40 000 signatures et de « faire porter le combat par tout le pays ».
Selon toujours le journal, le mouvement ne « compte pas s’arrêter en si bon chemin », il « envisage de créer une base de données à internet, pour montrer à la face du monde ce qu’il qualifie d’injustice grandissante qui règne au Sénégal ».
Le coordonnateur général du mouvement a fait savoir que Youssou Ndour n’est pas au fait de son initiative. « Nous comptons l’en informer quand tout sera prêt », a-t-il expliqué.
Mardi, une source digne de confiance, révélait à ASI24, sous le couvert de l’anonymat, que Youssou Ndour a « bel et bien reçu des autorités sénégalaises l’autorisation d’investir dans la télévision au Sénégal et de mettre en place sa chaîne Télévision Futur Média (TFM) ».
Néanmoins, le démarrage de TFM prévu en mai dernier est toujours en attente. Selon le chanteur, la télévision est bloquée par les autorités publiques.
Un banquier, s’entretenant de la question à ASI24, avait soutenu que « l’inaction de TFM aura un coût ». « Pire l’action bancaire continue alors qu’il n’y a aucune entrée d’argent », avait-il dit.
« Les banques ne vont pas attendre que la télévision marche pour entrer dans leurs fonds. Le non démarrage des programmes entraîne une inertie au niveau des entrées. Certes, il n’y a pas de charges en termes de salaires, sauf pour les gardiens et autres personnes en place pour l’entretien et maintien du matériel, mais il y a quand même des dépenses liées à l’électricité, à l’eau, et à la nature du prêt, s’il existe. L’entreprise n’étant pas productive, les caisses étant à zéro, il va s’en dire que l’investissement réalisé avec un concours bancaire, s’il en est, peut devenir lourd de conséquence », expliquait-il.
« L’entreprise n’aura pas de coussin d’air pour amortir les coûts, elle devra non seulement faire face aux banques pour le paiement de la dette, mais aussi aller auprès d’elles pour faire face aux charges. Le gain de temps est perdu, les possibilités de souffler dépassées, les réalités bancaires vont se poser », avait poursuivi le banquier.
Selon lui, « l’investissement est déjà un risque, vivre la situation actuelle de TFM doit être extrêmement pénible ». Le banquier, qui avait également requis l’anonymat, avait prévenu : « Si le blocage est réel, c’est non seulement difficile pour l’initiateur du projet, mais également déconcertant pour tout ce qui concerne l’investissement au Sénégal ».
Le 1er octobre, à l’occasion de son anniversaire, le chanteur et star internationale, avait déclaré à la radio privée, RFM, également sa propriété, qu’il avait investi près d’un milliard de francs CFA, à la suite d’une autorisation accordée par les autorités. Dépité, Youssou Ndour avait invité ses fans de ne plus demander « à quand le démarrage de TFM, mais d’aller poser la question aux autorités ».
CF/ASI24 (Source Kotch)