Selon la coordination Saes de Thiès, « le dialogue ne saurait être possible qu’en période de paix ». Son secrétaire général, Tandian Diaw, rappelle que « depuis le 25 septembre 2020, la coordination Saes de Thiès est en mouvement de grève avec une suspension qui a été observée, sur la demande de Madame la Présidente du Haut Conseil du Dialogue Social (HCDS), pour lui permettre d’organiser la rencontre d’arbitrage sur la gestion des projets ».
C’était l’occasion pour le SAES, souligne-t-il, de « permettre aux camarades de finir l’année académique 2019-2020 », mais aussi d’« apprécier le respect des engagements de l’autorité sur les autres points d’accord ».
Depuis, regrette Pr. Diaw, « c’est le silence total, avec une gestion autoritaire, solitaire et maintenant diffamatoire. Sur la plupart des questions fondamentales comme l’audit du personnel, l’audit des salaires, la révision du manuel de procédures de la prise en charge médicale, l’échange des 03 ha de la ZAC, etc., nous avons noté une ‘’politique de l’autruche’’. Le rectorat n’en parle même plus ».
Sur d’autres questions comme les textes de gouvernance, le secrétaire général de la coordination du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur du Campus de Thiès, Tandian Diaw, se désole du fait qu’« il y a beaucoup de retard et nous sommes à ce jour, la seule université à ne pas encore avoir terminé l’élaboration de ses textes de gouvernance ».
À en croire Tandian Diaw, « notre priorité reste la pacification de l’espace universitaire avec la mise en oeuvre des engagements sur les points d’accord de la plateforme revendicative ».
Malheureusement, estime-t-il, « nous n’avons pas les mêmes préoccupations que le rectorat qui reste dans le «paraître», avec «sa» direction de la communication qui a diffusé une information qu’elle sait fausse, dans le seul but de manipuler l’opinion ».
« Quelle honte ! », s’exclame-t-il, avant de prévenir : « cela ne passera pas ».
Et de poursuivre : « les comités ‘’CDS’’ existent déjà dans certaines universités (UGB et UASZ), mais ne constituent pas une fin en soi. La coordination Saes de Thiès rappelle que « des cadres d’échanges et de concertations avaient été mis en place par les précédents Recteurs pour pacifier l’espace et avaient toujours permis d’identifier à temps les difficultés et ensemble de trouver des solutions ».
Et de souligner : « nul doute que ces cadres peuvent ne pas convenir à certains ; mais en les supprimant, madame le Recteur doit prendre ses responsabilités pour répondre aux problèmes posés, car le Saes veillera, comme toujours, sur la bonne marche de cette université ».
Tandian Diaw et ses camarades tiennent à informer l’opinion qu’ils attendent « toujours la satisfaction de notre plateforme revendicative » et se réservent « le droit d’user, dans un avenir proche, des voies que nous jugerons utiles pour rappeler aux autorités leurs engagements ».
Le Témoin
C’était l’occasion pour le SAES, souligne-t-il, de « permettre aux camarades de finir l’année académique 2019-2020 », mais aussi d’« apprécier le respect des engagements de l’autorité sur les autres points d’accord ».
Depuis, regrette Pr. Diaw, « c’est le silence total, avec une gestion autoritaire, solitaire et maintenant diffamatoire. Sur la plupart des questions fondamentales comme l’audit du personnel, l’audit des salaires, la révision du manuel de procédures de la prise en charge médicale, l’échange des 03 ha de la ZAC, etc., nous avons noté une ‘’politique de l’autruche’’. Le rectorat n’en parle même plus ».
Sur d’autres questions comme les textes de gouvernance, le secrétaire général de la coordination du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur du Campus de Thiès, Tandian Diaw, se désole du fait qu’« il y a beaucoup de retard et nous sommes à ce jour, la seule université à ne pas encore avoir terminé l’élaboration de ses textes de gouvernance ».
À en croire Tandian Diaw, « notre priorité reste la pacification de l’espace universitaire avec la mise en oeuvre des engagements sur les points d’accord de la plateforme revendicative ».
Malheureusement, estime-t-il, « nous n’avons pas les mêmes préoccupations que le rectorat qui reste dans le «paraître», avec «sa» direction de la communication qui a diffusé une information qu’elle sait fausse, dans le seul but de manipuler l’opinion ».
« Quelle honte ! », s’exclame-t-il, avant de prévenir : « cela ne passera pas ».
Et de poursuivre : « les comités ‘’CDS’’ existent déjà dans certaines universités (UGB et UASZ), mais ne constituent pas une fin en soi. La coordination Saes de Thiès rappelle que « des cadres d’échanges et de concertations avaient été mis en place par les précédents Recteurs pour pacifier l’espace et avaient toujours permis d’identifier à temps les difficultés et ensemble de trouver des solutions ».
Et de souligner : « nul doute que ces cadres peuvent ne pas convenir à certains ; mais en les supprimant, madame le Recteur doit prendre ses responsabilités pour répondre aux problèmes posés, car le Saes veillera, comme toujours, sur la bonne marche de cette université ».
Tandian Diaw et ses camarades tiennent à informer l’opinion qu’ils attendent « toujours la satisfaction de notre plateforme revendicative » et se réservent « le droit d’user, dans un avenir proche, des voies que nous jugerons utiles pour rappeler aux autorités leurs engagements ».
Le Témoin