Celle-ci, après avoir été admise aux services de réanimation du centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguen, a finalement été libérée, mercredi après-midi, avant de rejoindre son domicile. Sa famille et les syndicats d’enseignants de Thiès exigent toute la lumière sur cette affaire et réclament justice. Déjà, ils auraient saisi le parquet pour «tentative de meurtre».
L’assaillant, un ancien militaire né en 1997, n’en serait pas à son premier forfait. Selon les témoignages de la famille de la dame, il aurait, par le passé, incendié le véhicule de sa tante, sans compter les menaces de mort. Les motivations restent, pour le moment, inconnues. La fuite du mis en cause, jusqu’ici introuvable, reste, aux yeux de la famille de l’enseignante, une thèse qui ne convainc personne. Cette dernière soupçonne le père de l’agresseur de chercher à protéger son fils..
Ses collègues décrètent 48 heures de grève
Un mot d’ordre de grève de 48 heures, le mercredi et le jeudi, a été décrété par le corps enseignant pour protester contre l’agression sauvage de Mme Coumba Dembélé. Selon la section syndicale académique du Saemss de Thiès, l’agression barbare de Mme Dembélé, professeur au CEM Hersent 2, met une fois de plus en lumière l’insécurité grandissante qui règne dans les établissements scolaires.
Ses membres considèrent que ce fait, choquant et inacceptable, rappelle de façon brutale les dangers auxquels sont confrontés les enseignants, les élèves et le personnel éducatif au quotidien. Ces enseignants trouvent inadmissible que dans une ville réputée pour être un pôle de formation et d’éducation, les lieux d’apprentissage se transforment en espaces d’insécurité.
L’assaillant, un ancien militaire né en 1997, n’en serait pas à son premier forfait. Selon les témoignages de la famille de la dame, il aurait, par le passé, incendié le véhicule de sa tante, sans compter les menaces de mort. Les motivations restent, pour le moment, inconnues. La fuite du mis en cause, jusqu’ici introuvable, reste, aux yeux de la famille de l’enseignante, une thèse qui ne convainc personne. Cette dernière soupçonne le père de l’agresseur de chercher à protéger son fils..
Ses collègues décrètent 48 heures de grève
Un mot d’ordre de grève de 48 heures, le mercredi et le jeudi, a été décrété par le corps enseignant pour protester contre l’agression sauvage de Mme Coumba Dembélé. Selon la section syndicale académique du Saemss de Thiès, l’agression barbare de Mme Dembélé, professeur au CEM Hersent 2, met une fois de plus en lumière l’insécurité grandissante qui règne dans les établissements scolaires.
Ses membres considèrent que ce fait, choquant et inacceptable, rappelle de façon brutale les dangers auxquels sont confrontés les enseignants, les élèves et le personnel éducatif au quotidien. Ces enseignants trouvent inadmissible que dans une ville réputée pour être un pôle de formation et d’éducation, les lieux d’apprentissage se transforment en espaces d’insécurité.