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Une mère affame et torture sa fille jusqu'à la mort!

Après avoir tué sa propre adolescente de 15 ans, Angela McAnulty a tenté d’obtenir la clémence du juge en avouant « Ne pas avoir voulu que ma petite fille meurt » même si elle l’a battue, torturée puis finalement affamée à répétition durant plusieurs années et ce jusqu’à sa mort.


Rédigé par leral.net le Vendredi 1 Juin 2012 à 09:20 | | 0 commentaire(s)|

Une mère affame et torture sa fille jusqu'à la mort!
Jeanette Maples a vécu un vrai cauchemar aux côtés de sa mère. Lorsque les autorités ont découvert son cadavre après avoir subi une crise cardiaque, il était si ravagé par les souffrances qu’il ne pesait que 50 livres. Des amis ainsi que du personnel de l’école Cascade Middle School ont souvent vu la jeune adolescente se présenter avec des vêtements déchirés et des blessures apparentes.

Cette histoire est d’autant plus fâchante en sachant que la belle-mère d’Angela McAnulty a tenté plusieurs fois de protéger l’adolescente en contactant la protection de la jeunesse, mais une enquête officielle n’a jamais été ouverte malgré la sévérité de cette situation. Richard McAnulty, le beau-père de la victime, participait également à la torture tandis que leurs deux autres enfants étaient épargnés d’un pareil traitement.

L’autopsie prouva que Jeanette Maples est morte d’une crise cardiaque, en plus de révéler une hémorragie au cerveau provoquée par un coup surpuissant. Des centaines d’autres blessures ont ainsi été découvertes, certaines infectées et aussi profondes que l’ossature de la jeune fille. Face à cette abomination, le jury a condamné Angela McAnulty à mort. Son mari, Richard, devra lui aussi se présenter en cour plus tard cette année. Selon lui, il savait que les abus avaient lieu, mais n’a jamais bronché. À la barre des témoins, il avoua comment Angela privait sa fille de nourriture et d’eau, jusqu’à compter les aliments dans le réfrigérateur et placer des cadenas sur les armoires. À au moins une reprise, Maples a été forcée de boire l’eau des toilettes afin de survivre à son calvaire.