Le jeune gardien Pape Guèye est condamné à une peine ferme de 2 ans. Attrait à la barre du tribunal des flagrants délits pour les infractions de viol sur une mineure de 14 ans et pédophilie.
Il a été reconnu coupable du premier délit cité et a bénéficié d’une relaxe pour l’autre. Pour assurer sa défense, le prévenu a servi que la victime ne lui a pas dit la vérité lui a dit qu’elle était âgée de 18 ans. Pape Guèye a aussi dit avoir agi avec le consentement de M.F. « J’ai payé 1 000 FCfa d’un commun accord avec elle avant de passer à l’acte », a confié le gardien, non sans ajouter que la veille, il a surpris la fille en train de faire l’amour avec un autre gars.
Très sûr de ses déclarations, Pape Guèye est revenu à la charge pour mieux assurer sa défense en révélant que c’est la fille qui est venue à la maison en construction dont il assurait la garde pour lui proposer de faire l’amour avec elle moyennant une somme. « Et nous sommes tombés d’accord sur 1 000 FCfa », insiste-t-il. Sa version est corrigée par la victime.
Cette dernière raconte que le jour des faits, elle était chargée de faire revenir les chèvres à la maison. À hauteur de la maison gardée par le prévenu, celui-ci la somme de venir le rejoindre à la terrasse, prétextant qu’il a une commission pour elle. Accompagnée de sa jeune sœur, elle emprunte l’escalier et c’est là que, dit-elle, Pape Guèye est venu demander à sa sœur de ne pas aller plus loin. « Quand j’ai atteint la terrasse, il m’a fait tomber avant d’abuser de moi. Vu la situation, ma sœur a détalé », a objecté M.F. Sur la paie annoncée par le prévenue, elle a fait savoir qu’il a cherché à acheter son silence avec cette somme, ce que j’ai refusé », conteste-t-elle.
Le conseil de la partie civile a réclamé la somme d’un million de FCfa. Me Assane Dioma Ndiaye trouve qu’il n’y a pas de problème de matérialité des faits, vu que le prévenu est passé aux aveux, même s’il essaie de se défendre en chargeant la fille. Il a, par ailleurs, fait part que la fille est d’autant plus vulnérable qu’elle ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Le représentant du ministère public a requis une condamnation ferme de 2 ans.
Demande à laquelle le tribunal a répondu favorablement. Il a motivé sa demande sur le fait qu’il y a contrainte, violence et surprise pour entretenir des relations sexuelles avec une mineure.
Le prévenu qui ne s’est pas fait représenté par un avocat a sollicité la clémence du tribunal tout en maintenant ses déclarations.
www.sen24heures.com
Il a été reconnu coupable du premier délit cité et a bénéficié d’une relaxe pour l’autre. Pour assurer sa défense, le prévenu a servi que la victime ne lui a pas dit la vérité lui a dit qu’elle était âgée de 18 ans. Pape Guèye a aussi dit avoir agi avec le consentement de M.F. « J’ai payé 1 000 FCfa d’un commun accord avec elle avant de passer à l’acte », a confié le gardien, non sans ajouter que la veille, il a surpris la fille en train de faire l’amour avec un autre gars.
Très sûr de ses déclarations, Pape Guèye est revenu à la charge pour mieux assurer sa défense en révélant que c’est la fille qui est venue à la maison en construction dont il assurait la garde pour lui proposer de faire l’amour avec elle moyennant une somme. « Et nous sommes tombés d’accord sur 1 000 FCfa », insiste-t-il. Sa version est corrigée par la victime.
Cette dernière raconte que le jour des faits, elle était chargée de faire revenir les chèvres à la maison. À hauteur de la maison gardée par le prévenu, celui-ci la somme de venir le rejoindre à la terrasse, prétextant qu’il a une commission pour elle. Accompagnée de sa jeune sœur, elle emprunte l’escalier et c’est là que, dit-elle, Pape Guèye est venu demander à sa sœur de ne pas aller plus loin. « Quand j’ai atteint la terrasse, il m’a fait tomber avant d’abuser de moi. Vu la situation, ma sœur a détalé », a objecté M.F. Sur la paie annoncée par le prévenue, elle a fait savoir qu’il a cherché à acheter son silence avec cette somme, ce que j’ai refusé », conteste-t-elle.
Le conseil de la partie civile a réclamé la somme d’un million de FCfa. Me Assane Dioma Ndiaye trouve qu’il n’y a pas de problème de matérialité des faits, vu que le prévenu est passé aux aveux, même s’il essaie de se défendre en chargeant la fille. Il a, par ailleurs, fait part que la fille est d’autant plus vulnérable qu’elle ne jouit pas de toutes ses facultés mentales. Le représentant du ministère public a requis une condamnation ferme de 2 ans.
Demande à laquelle le tribunal a répondu favorablement. Il a motivé sa demande sur le fait qu’il y a contrainte, violence et surprise pour entretenir des relations sexuelles avec une mineure.
Le prévenu qui ne s’est pas fait représenté par un avocat a sollicité la clémence du tribunal tout en maintenant ses déclarations.
www.sen24heures.com
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
