La Commission européenne perfectionne le système d’information sur les visas. Dans un communiqué, l’UE explique qu’il s’agit d’une mesure visant à mieux sécuriser les frontières extérieures. «Les modifications proposées permettront de vérifier de manière plus approfondie les antécédents des demandeurs de visa; de combler les lacunes en matière d'informations liées à la sécurité grâce à un meilleur échange d'informations entre les États membres; et de garantir une pleine interopérabilité avec d'autres bases de données à l'échelle de l'UE» peut-on lire dans le communiqué.
Dimitris Avramopoulos, commissaire pour la Migration, les affaires intérieures et la citoyenneté, a déclaré dans ce sens: «Chaque année, des millions de ressortissants de pays tiers entrent sur le territoire de l'Union européenne avec un visa, que ce soit pour un court séjour ou pour une période plus longue. Grâce à la modernisation du système d'information sur les visas, nous allons remédier aux lacunes de nos systèmes d'information et nous procurerons aux autorités chargées des visas et aux garde-frontières les renseignements dont ils ont besoin pour accomplir leur travail correctement.
Les criminels et les terroristes potentiels ne doivent pas pouvoir entrer en Europe sans être inquiétés. L'Europe n'est certes pas une forteresse, mais nous devons savoir qui franchit nos frontières. Il nous incombe de garantir la sécurité des citoyens européens et de construire une Europe qui protège tout en veillant à ne pas entraver la mobilité des voyageurs qui se rendent dans l'UE en toute bonne foi.»
Le système d'information sur les visas (VIS) est une base de données de l'UE qui relie les garde-frontières postés aux frontières extérieures de l'UE aux consulats des États membres partout dans le monde. Il fournit des informations essentielles aux autorités chargées de délivrer les visas aux demandeurs de visas «Schengen» de court séjour, tout en permettant aux garde-frontières de détecter les voyageurs susceptibles de représenter une menace pour la sécurité.
La proposition présentée étend le champ d'application du VIS -en y ajoutant entre autres les visas de long séjour et les titres de séjour- dans le plein respect des règles en matière de protection des données, afin de veiller à ce que ces autorités disposent des informations au moment où elles en ont besoin.
La proposition constitue la deuxième étape de la réforme de la politique commune européenne en matière de visas et fait suite à la modification du code des visas présentée par la Commission en mars 2018.
Dimitris Avramopoulos, commissaire pour la Migration, les affaires intérieures et la citoyenneté, a déclaré dans ce sens: «Chaque année, des millions de ressortissants de pays tiers entrent sur le territoire de l'Union européenne avec un visa, que ce soit pour un court séjour ou pour une période plus longue. Grâce à la modernisation du système d'information sur les visas, nous allons remédier aux lacunes de nos systèmes d'information et nous procurerons aux autorités chargées des visas et aux garde-frontières les renseignements dont ils ont besoin pour accomplir leur travail correctement.
Les criminels et les terroristes potentiels ne doivent pas pouvoir entrer en Europe sans être inquiétés. L'Europe n'est certes pas une forteresse, mais nous devons savoir qui franchit nos frontières. Il nous incombe de garantir la sécurité des citoyens européens et de construire une Europe qui protège tout en veillant à ne pas entraver la mobilité des voyageurs qui se rendent dans l'UE en toute bonne foi.»
Le système d'information sur les visas (VIS) est une base de données de l'UE qui relie les garde-frontières postés aux frontières extérieures de l'UE aux consulats des États membres partout dans le monde. Il fournit des informations essentielles aux autorités chargées de délivrer les visas aux demandeurs de visas «Schengen» de court séjour, tout en permettant aux garde-frontières de détecter les voyageurs susceptibles de représenter une menace pour la sécurité.
La proposition présentée étend le champ d'application du VIS -en y ajoutant entre autres les visas de long séjour et les titres de séjour- dans le plein respect des règles en matière de protection des données, afin de veiller à ce que ces autorités disposent des informations au moment où elles en ont besoin.
La proposition constitue la deuxième étape de la réforme de la politique commune européenne en matière de visas et fait suite à la modification du code des visas présentée par la Commission en mars 2018.