« Nous menons des études très avancées et nous pensons que dans un avenir proche, en cas d'aggravation de l’épidémie, il sera possible, avec l’aide de nos partenaires, de rendre un vaccin disponible pour les pays les plus exposés », a déclaré Dr Abdourahmane Sarr lors de sa participation à l'atelier régional sur le diagnostic moléculaire de la variole du singe.
L'atelier, qui se déroule à Dakar du 26 au 30 août, réunit 17 pays. Le Dr Sarr a précisé que « la question de la vaccination est à l’étude, avec plusieurs variants en circulation, notamment les clades 1, 2 et 1B ». Il a ajouté que « les vaccins seront destinés aux zones où le risque est le plus élevé ».
L’objectif, selon lui, est de « mettre à disposition des vaccins pour renforcer la protection des populations et contrôler la propagation de l’épidémie ». Cet atelier de Dakar réunit les pays de la CEDEAO, ainsi que le Rwanda et la Mauritanie, pour leur fournir les outils nécessaires à la détection précoce, au diagnostic et au traitement de la maladie afin de prévenir sa propagation et mieux la contrôler.
L'agence de presse ajoute que le Directeur de la Prévention, El Hadj Mamadou Ndiaye, qui a présidé l'ouverture de l’atelier, a rassuré qu’aucun cas de variole du singe (Mpox) n’a été détecté au Sénégal à ce jour, mais que le pays reste vigilant.
« Nous comptons sur l’Institut Pasteur pour nous soutenir dans la détection et le diagnostic, et les agents de santé seront formés pour une prise en charge adéquate des éventuels cas. Toutes les régions, districts ainsi que les points d’entrée terrestres et maritimes du pays sont en alerte », a-t-il précisé.
Il a rappelé que la maladie a une expression clinique dont le diagnostic est virologique, soulignant ainsi l’importance de former les experts pour assurer le diagnostic moléculaire de la variole du singe.
Thierno Baldé, coordonnateur du hub régional des urgences de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a souligné que 95 % des cas rapportés proviennent de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale. Il a mis en garde contre les risques de propagation liés aux mouvements de population, ajoutant que l'épidémie, initialement endémique dans certaines régions, présente maintenant des mutations inquiétantes, notamment le clade 1B, qui pose de sérieux défis pour endiguer la pandémie.
L'atelier, qui se déroule à Dakar du 26 au 30 août, réunit 17 pays. Le Dr Sarr a précisé que « la question de la vaccination est à l’étude, avec plusieurs variants en circulation, notamment les clades 1, 2 et 1B ». Il a ajouté que « les vaccins seront destinés aux zones où le risque est le plus élevé ».
L’objectif, selon lui, est de « mettre à disposition des vaccins pour renforcer la protection des populations et contrôler la propagation de l’épidémie ». Cet atelier de Dakar réunit les pays de la CEDEAO, ainsi que le Rwanda et la Mauritanie, pour leur fournir les outils nécessaires à la détection précoce, au diagnostic et au traitement de la maladie afin de prévenir sa propagation et mieux la contrôler.
L'agence de presse ajoute que le Directeur de la Prévention, El Hadj Mamadou Ndiaye, qui a présidé l'ouverture de l’atelier, a rassuré qu’aucun cas de variole du singe (Mpox) n’a été détecté au Sénégal à ce jour, mais que le pays reste vigilant.
« Nous comptons sur l’Institut Pasteur pour nous soutenir dans la détection et le diagnostic, et les agents de santé seront formés pour une prise en charge adéquate des éventuels cas. Toutes les régions, districts ainsi que les points d’entrée terrestres et maritimes du pays sont en alerte », a-t-il précisé.
Il a rappelé que la maladie a une expression clinique dont le diagnostic est virologique, soulignant ainsi l’importance de former les experts pour assurer le diagnostic moléculaire de la variole du singe.
Thierno Baldé, coordonnateur du hub régional des urgences de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a souligné que 95 % des cas rapportés proviennent de l’Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale. Il a mis en garde contre les risques de propagation liés aux mouvements de population, ajoutant que l'épidémie, initialement endémique dans certaines régions, présente maintenant des mutations inquiétantes, notamment le clade 1B, qui pose de sérieux défis pour endiguer la pandémie.