Créé en janvier 2003, Stades, le premier quotidien sportif de l'histoire de la presse sénégalaise, s'était imposé comme le leader de la presse sportive, atteignant régulièrement le premier ou deuxième tirage de l'ensemble de la presse quotidienne nationale.
Et selon la note de son Directeur de publication des quotidiens Stades et Sunu Lamb, Administrateur général , en 21 ans et demi d'existence, Stades a publié six mille deux cent vingt-huit numéros, pour un tirage global de plus de deux cents millions d'exemplaires.
Quant à Sunu Lamb, lancé en décembre 2004 et unique quotidien de lutte au monde, il a établi des records de tirage de la presse quotidienne nationale, avec des pics de 150 mille exemplaires. En près de 20 ans, il a distribué plus de 160 millions d'exemplaires, ajoute . Mamadou Ibra Kane,
« Cette réussite n'aurait pas été possible sans le soutien indéfectible de plusieurs milliers de lecteurs fidèles, ni sans les efforts de centaines de journalistes et techniciens formés à l'« école Stades ». Malheureusement, avec la fermeture de ces quotidiens, 20 journalistes et techniciens ont perdu leurs emplois dès le 31 juillet 2024, et une seconde vague de licenciements touchera prochainement le personnel technique et administratif. » Telle est l’alarmante nouvelle partagée
Plus explicitement, le Directeur de publication des quotidiens explique que « depuis deux ans, AFRICOME traverse une grave crise financière, marquée par des exercices déficitaires, des dettes colossales envers ses fournisseurs, des retards de paiement des salaires, ainsi que l'arrêt des cotisations sociales et de la couverture maladie. Cette situation économique et sociale difficile affecte de nombreuses entreprises sénégalaises du secteur des médias ».
La presse sénégalaise fait face à une crise sans précédent depuis une décennie, exacerbée par la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine. Mais depuis plusieurs mois, les médias sénégalais évoluent dans un environnement très hostile, marqué par une pression fiscale élevée, l'absence de loi sur la publicité, des financements à des taux prohibitifs et l'inexistence de fonds pour la digitalisation des médias nationaux.
Cependant AFRICOME espère que la suspension de Stades et Sunu Lamb permettra de créer un environnement plus favorable au développement des médias au Sénégal, afin de continuer à assurer leur mission de service public dans le domaine du sport.
Et selon la note de son Directeur de publication des quotidiens Stades et Sunu Lamb, Administrateur général , en 21 ans et demi d'existence, Stades a publié six mille deux cent vingt-huit numéros, pour un tirage global de plus de deux cents millions d'exemplaires.
Quant à Sunu Lamb, lancé en décembre 2004 et unique quotidien de lutte au monde, il a établi des records de tirage de la presse quotidienne nationale, avec des pics de 150 mille exemplaires. En près de 20 ans, il a distribué plus de 160 millions d'exemplaires, ajoute . Mamadou Ibra Kane,
« Cette réussite n'aurait pas été possible sans le soutien indéfectible de plusieurs milliers de lecteurs fidèles, ni sans les efforts de centaines de journalistes et techniciens formés à l'« école Stades ». Malheureusement, avec la fermeture de ces quotidiens, 20 journalistes et techniciens ont perdu leurs emplois dès le 31 juillet 2024, et une seconde vague de licenciements touchera prochainement le personnel technique et administratif. » Telle est l’alarmante nouvelle partagée
Plus explicitement, le Directeur de publication des quotidiens explique que « depuis deux ans, AFRICOME traverse une grave crise financière, marquée par des exercices déficitaires, des dettes colossales envers ses fournisseurs, des retards de paiement des salaires, ainsi que l'arrêt des cotisations sociales et de la couverture maladie. Cette situation économique et sociale difficile affecte de nombreuses entreprises sénégalaises du secteur des médias ».
La presse sénégalaise fait face à une crise sans précédent depuis une décennie, exacerbée par la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine. Mais depuis plusieurs mois, les médias sénégalais évoluent dans un environnement très hostile, marqué par une pression fiscale élevée, l'absence de loi sur la publicité, des financements à des taux prohibitifs et l'inexistence de fonds pour la digitalisation des médias nationaux.
Cependant AFRICOME espère que la suspension de Stades et Sunu Lamb permettra de créer un environnement plus favorable au développement des médias au Sénégal, afin de continuer à assurer leur mission de service public dans le domaine du sport.