Avant la présentation d'un montage vidéo reprenant toutes les étapes de l'aventure, Christine Barrière a salué « le comportement exemplaire des jeunes Hippolytains ainsi que de ceux du Soler qui faisaient partie du voyage ». Les Catalans ont été pris en charge dès leur arrivée par l'association Atlantic dont les membres les ont accompagnés pendant tout le séjour. Elle a cependant regretté l'impossibilité de réaliser une grande partie de ce projet humanitaire, qui consistait à poser des panneaux solaires sur la toiture de la pouponnière par les adolescents. « En effet, a précisé l'élue, le container transportant le matériel est resté bloqué sur le quai du port à l'initiative d'un fonctionnaire trop zélé ».
Mais, tous ont vécu une expérience hors du commun avec les adolescents de ce pays africain en respectant leurs coutumes, en participant ensemble à plusieurs manifestations et sorties prévues en leur honneur. Ce que les jeunes ont confirmé en lisant le compte rendu qu'ils avaient préparé.
C'est ainsi qu'Olivier a relaté le voyage en avion de Barcelone à Dakar qui a engendré plusieurs d'heures d'attente : « Pour nous ce n'était rien, car au final nous savions que nous allions passer une semaine pour aider des personnes dans le besoin ».
Une vraie leçon de vie
Anthony s'est souvenu de leur arrivée à la mairie de M'Bour : « Pour nous souhaiter la bienvenue, nous avons même eu droit à un spectacle. Tout le monde a été très accueillant avec beaucoup de générosité, malgré le peu de moyens dont ils disposent, ils ont toujours du bonheur à revendre. ».
Zohra a évoqué leur séjour agréable à l'hôtel.
Manu a présenté leur sortie à l'île de Joal, appelée l'île aux coquillages, et les activités sportives auxquelles ils ont participé ou assisté, regrettant que le rugby n'ait pas reçu l'adhésion des jeunes africains.
Olivier a décrit comment ils prenaient leurs repas dans les familles le midi, sans couvert avec la main droite, assis sur un tapis tissé. Il a insisté : « Les Sénégalais ont une chose que nous n'avons plus ici, c'est le respect de l'adulte, le respect de chacun. En raison de ces différences, nous avons appris une vraie leçon de vie ».
Laly s'est longuement étendue sur leur passage à la pouponnière où les filles se sont dévouées pour donner le biberon aux bébés et s'occuper d'eux, tandis que les garçons ont fait des travaux de nettoyage à l'extérieur.
Et c'est avec tristesse, que le dernier jour chacun est monté dans l'avion pour le retour.
La fin de la réunion a consisté en un échange entre les adultes et les jeunes où ils ont fait comprendre qu'ils étaient prêts à repartir dans ce pays.
Rudy Marciniak http://www.lindependant.com/
Mais, tous ont vécu une expérience hors du commun avec les adolescents de ce pays africain en respectant leurs coutumes, en participant ensemble à plusieurs manifestations et sorties prévues en leur honneur. Ce que les jeunes ont confirmé en lisant le compte rendu qu'ils avaient préparé.
C'est ainsi qu'Olivier a relaté le voyage en avion de Barcelone à Dakar qui a engendré plusieurs d'heures d'attente : « Pour nous ce n'était rien, car au final nous savions que nous allions passer une semaine pour aider des personnes dans le besoin ».
Une vraie leçon de vie
Anthony s'est souvenu de leur arrivée à la mairie de M'Bour : « Pour nous souhaiter la bienvenue, nous avons même eu droit à un spectacle. Tout le monde a été très accueillant avec beaucoup de générosité, malgré le peu de moyens dont ils disposent, ils ont toujours du bonheur à revendre. ».
Zohra a évoqué leur séjour agréable à l'hôtel.
Manu a présenté leur sortie à l'île de Joal, appelée l'île aux coquillages, et les activités sportives auxquelles ils ont participé ou assisté, regrettant que le rugby n'ait pas reçu l'adhésion des jeunes africains.
Olivier a décrit comment ils prenaient leurs repas dans les familles le midi, sans couvert avec la main droite, assis sur un tapis tissé. Il a insisté : « Les Sénégalais ont une chose que nous n'avons plus ici, c'est le respect de l'adulte, le respect de chacun. En raison de ces différences, nous avons appris une vraie leçon de vie ».
Laly s'est longuement étendue sur leur passage à la pouponnière où les filles se sont dévouées pour donner le biberon aux bébés et s'occuper d'eux, tandis que les garçons ont fait des travaux de nettoyage à l'extérieur.
Et c'est avec tristesse, que le dernier jour chacun est monté dans l'avion pour le retour.
La fin de la réunion a consisté en un échange entre les adultes et les jeunes où ils ont fait comprendre qu'ils étaient prêts à repartir dans ce pays.
Rudy Marciniak http://www.lindependant.com/