Le candidat Wade est catégorique là-dessus : il n’est pas question que l’élection soit reportée. Seules les urnes doivent, selon lui, départager les candidats. ‘Et je viens de dire à mes collaborateurs que celui qui viendra me parler de report de l’élection sera sanctionné. Qu’on me parle plus tôt de l’après-élection. Que l’on me dise comment faire pour qu’il y ait la paix afin de proclamer les élections ou encore comment on peut être ensemble pour travailler quand je gagnerai’, articule Me Wade. Venu en hélicoptère à Sébikhotane, il s’est rendu dans le village où il a promis de moderniser la nouvelle commune pour la rendre plus attrayante. Devant une foule qui l’attendait sur la route nationale, le président Wade s’est aussi rappelé des bons moments passés à l’école William Ponty, qu’il espère d’ailleurs ressusciter.
Puis, le candidat des Fal 2012 s’est dirigé vers Djender. Et c’est dans le village de Keur Moussa qu’il s’est le plus attardé. Le président Wade est allé présenter ses condoléances à la famille de feu Mamadou Ndiaye. Me Wade s’est lancé dans un long procès de l’opposition qui, selon lui, est responsable de la mort des jeunes. ‘Cela me fait très mal de voir que des jeunes sont morts dans des manifestations. Il faut voir l’origine de la mort du jeune’, lance le candidat Wade. Pour lui, il n’y a aucun doute, ce sont les opposants qui poussent les jeunes dans des situations qui aboutissent au drame. ‘Ceux qui envoient les enfants doivent être devant pour les guider. Mais que non, ils se couchent dans leurs salons climatisés et poussent les jeunes dans les rues. Où sont leurs fils ? Un général doit être devant son bataillon’, clame Me Wade.
‘Je demande aux parents de parler à leurs fils afin qu’ils ne soient pas abusés par ses gens. L’élection, c’est dans quelques jours. Ces gens doivent attendre la voie des urnes pour manifester. Combien de fois j’ai gagné et qu’ils ont refusé de me donner ma victoire. En ce moment nous étions devant une armée mexicaine où chacun est son propre patron. Même en 2000, ils ont voulu voler ma victoire et c’est Abdou Diouf qui s’y est opposé en alertant la presse’, persiste-t-il. Abdoulaye Wade n’a pas fini de narguer l’opposition. Un peu plus loin dans son discours, le président Wade a soutenu que la stratégie de l’opposition n’a pas payé. ‘Il paraît qu’ils se préparent à voler mes bulletins dans les urnes afin que je ne sois pas représenté. Ils se trompent s’ils croient que nous allons les laisser faire. Il faut qu’ils sachent qu’ils ont en face d’eux un adversaire de taille’, avertit-il.
Le président sortant s’est largement appesanti sur la stratégie adoptée par l’opposition. Selon lui, les adversaires ont péché dans la tactique. ‘Ils étaient partis de l’idée que je ne me présenterai pas. C’est pourquoi ils n’ont pas fait de campagne électorale. Ils sont victimes de leur mauvaise stratégie. Eh bien, temps pis pour eux. Ils ne vont pas en campagne et veulent gagner. Ils courent derrière moi pour me demander de reporter les élections, c’est de la folie’, poursuit le candidat des Fal 2012. Si le candidat des Fal 2012 a présenté ses condoléances à Keur Moussa, ce n’est pas le cas à Sangalkam où Me Wade a royalement ignoré la famille de feu Malick Bâ.
walf
Puis, le candidat des Fal 2012 s’est dirigé vers Djender. Et c’est dans le village de Keur Moussa qu’il s’est le plus attardé. Le président Wade est allé présenter ses condoléances à la famille de feu Mamadou Ndiaye. Me Wade s’est lancé dans un long procès de l’opposition qui, selon lui, est responsable de la mort des jeunes. ‘Cela me fait très mal de voir que des jeunes sont morts dans des manifestations. Il faut voir l’origine de la mort du jeune’, lance le candidat Wade. Pour lui, il n’y a aucun doute, ce sont les opposants qui poussent les jeunes dans des situations qui aboutissent au drame. ‘Ceux qui envoient les enfants doivent être devant pour les guider. Mais que non, ils se couchent dans leurs salons climatisés et poussent les jeunes dans les rues. Où sont leurs fils ? Un général doit être devant son bataillon’, clame Me Wade.
‘Je demande aux parents de parler à leurs fils afin qu’ils ne soient pas abusés par ses gens. L’élection, c’est dans quelques jours. Ces gens doivent attendre la voie des urnes pour manifester. Combien de fois j’ai gagné et qu’ils ont refusé de me donner ma victoire. En ce moment nous étions devant une armée mexicaine où chacun est son propre patron. Même en 2000, ils ont voulu voler ma victoire et c’est Abdou Diouf qui s’y est opposé en alertant la presse’, persiste-t-il. Abdoulaye Wade n’a pas fini de narguer l’opposition. Un peu plus loin dans son discours, le président Wade a soutenu que la stratégie de l’opposition n’a pas payé. ‘Il paraît qu’ils se préparent à voler mes bulletins dans les urnes afin que je ne sois pas représenté. Ils se trompent s’ils croient que nous allons les laisser faire. Il faut qu’ils sachent qu’ils ont en face d’eux un adversaire de taille’, avertit-il.
Le président sortant s’est largement appesanti sur la stratégie adoptée par l’opposition. Selon lui, les adversaires ont péché dans la tactique. ‘Ils étaient partis de l’idée que je ne me présenterai pas. C’est pourquoi ils n’ont pas fait de campagne électorale. Ils sont victimes de leur mauvaise stratégie. Eh bien, temps pis pour eux. Ils ne vont pas en campagne et veulent gagner. Ils courent derrière moi pour me demander de reporter les élections, c’est de la folie’, poursuit le candidat des Fal 2012. Si le candidat des Fal 2012 a présenté ses condoléances à Keur Moussa, ce n’est pas le cas à Sangalkam où Me Wade a royalement ignoré la famille de feu Malick Bâ.
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