Les auteurs de ces critiques ne vont pas pour le moment s’afficher. Ils se cachent lorsqu’ils disent ce qu’ils pensent de Wade. Et pourtant, ils voient le Chef de l’Etat quand ils le désirent. C’est lorsqu’ils se retrouvent dans les restaurants et les salons privés qu’ils plantent leur couteau dans le dos de Wade. Ces comploteurs ne se sont jamais rebellés depuis 2000. Et pourtant, ils ont toujours été qualifiés de fidèles compagnons de Wade. Maintenant, ils ont baissé leurs bras. Ils font profil bas, attendant le moment venu pour tourner le dos à Wade. Le président lui-même ne peut pas imaginer pour le moment qu’il est lâché par ses proches qui ne croient plus réellement à l’avenir de son régime. Leur discours en face du Président Wade, est diamétralement opposé de ce qu’ils disent en toute intimité. Véritablement, les plus grands opposants du régime du Chef de l’Etat sont au sein même du Pds.
Son parti est inexistant. Celui qui annonçait, il y a deux ans la «mort programmée du Pds» a tout fait raison. Jamais, le parti du Président Wade n’a été aussi affaibli et désorganisé. Aujourd’hui, même en cas d’invalidation de la candidature de Wade, le Pds aura du mal à choisir un candidat démocratiquement. Parce que les structures du Pds ont été toutes supprimées par Wade qui a une immense part de responsabilité dans cette situation difficile que traverse son parti.
Les Jeunes de l’Ujtl font semblant de bouger. Le Parti n’est plus administré faute de Numéro2. Les hauts responsables qui se sont enrichis, croisent les bras attendant la chute de Wade. Ils ont laissé le Chef de l’Etat seul, dans cette situation d’incertitude totale, face à des adversaires capables de tout. Seuls le premier Ministre, le Ministre porte parole du Chef de l’Etat et quelques Ministre vont au charbon. Tout le reste se prépare à une conversion politique après la chute de Wade. Ils sont déjà dans «l’après Wade». Cela rappelle, le régime de Gbagbo lorsque de ce dernier a été arrêté par les hommes de Ouattara. Dans les minutes qui ont suivi cette arrestation, les plus proches collaborateurs de Laurent l’ont lâché. Certains sont même partis avant.
Cessez de leurrer le président Wade, vous l’avez tous abandonné ! C’est cela la vérité. Selon un parlementaire libéral, de hauts responsables libéraux : Ministres, députés, Maires, Sénateurs et Conseillers économique et social envoient des «sms» à Idrissa Seck ou Macky Sall pour se positionner dans «l’après Wade». Mêmes ceux qui criaient sur tous les toits qu’ils sont membres de la «Génération du concret» font profil bas. Ils ont même oublié que Wade a un fils qui s’appelle Karim Wade. Concrétistes où êtes-vous ?
Pour ces gens là, prompts à la trahison, il ne faut pas que le Président se mette à dos sa jeunesse, son opposition et son peuple. Ces comploteurs qui ont trahi Wade à 11 ans de règne, méritent-ils que ce dernier se batte pour que le Pds reste au pouvoir 50 ans ?
Le Pds est tombé et ne se relèvera jamais. Le brave Farba Senghor chargé de la propagande a failli être assassiné le 23 juin dernier chez lui. Du côté des femmes, on n’entend plus Awa Gueye Kébé qui a failli être Vice premier Ministre, Mme Awa Ndiaye, Awa Diop et les autres. Le Président du Sénat, Pape Diop symboliquement deuxième personnage du Pds semble avoir pris sa retraite politique. Et pourtant, c’est lui qui contrôlait les 19 Communes d’arrondissement de Dakar de 2000 à 2009. Le Président du Conseil Economique et Social Ousmane Masseck Ndiaye a lui presque démissionné de toutes ses fonctions politiques. En plus, ce qui est curieux dans ce parti, c’est que tous les hauts responsables au sommet se haïssent.
Les Cadres du Pds peinent à occuper le terrain politique qu’ils ont laissé à l’Opposition. Aujourd’hui, Wade ne compte que sur les religieux et les bonnes volontés pour, d’abord calmer la situation et dialoguer avec son opposition. Depuis quelque temps, l’opinion nationale et internationale sont préparées à une défaite du Président Wade en 2012. C’est une prouesse réussie par les opposants qui a mené une bataille de longue haleine. C’est ce qui explique les inquiétudes des Usa et de l’Union Européenne quant à l’issue de la présidentielle de 2012. L’impression qui se dégage aujourd’hui au sein des masses, c’est que le pouvoir de Wade est fini. Et du côté du pouvoir aucune action n’a été menée pour renverser cette tendance. Est-il même possible de le faire.
Au vu de tout ce qu’il a fait pour le Sénégal et l’Afrique, pour la démocratie, pour l’expression des libertés, pour sa jeunesse, pour les travailleurs, pour les paysans, pour les personnes âgées, pour les religions, pour les femmes etc… Wade ne mérite pas ce sort.
Son parti est inexistant. Celui qui annonçait, il y a deux ans la «mort programmée du Pds» a tout fait raison. Jamais, le parti du Président Wade n’a été aussi affaibli et désorganisé. Aujourd’hui, même en cas d’invalidation de la candidature de Wade, le Pds aura du mal à choisir un candidat démocratiquement. Parce que les structures du Pds ont été toutes supprimées par Wade qui a une immense part de responsabilité dans cette situation difficile que traverse son parti.
Les Jeunes de l’Ujtl font semblant de bouger. Le Parti n’est plus administré faute de Numéro2. Les hauts responsables qui se sont enrichis, croisent les bras attendant la chute de Wade. Ils ont laissé le Chef de l’Etat seul, dans cette situation d’incertitude totale, face à des adversaires capables de tout. Seuls le premier Ministre, le Ministre porte parole du Chef de l’Etat et quelques Ministre vont au charbon. Tout le reste se prépare à une conversion politique après la chute de Wade. Ils sont déjà dans «l’après Wade». Cela rappelle, le régime de Gbagbo lorsque de ce dernier a été arrêté par les hommes de Ouattara. Dans les minutes qui ont suivi cette arrestation, les plus proches collaborateurs de Laurent l’ont lâché. Certains sont même partis avant.
Cessez de leurrer le président Wade, vous l’avez tous abandonné ! C’est cela la vérité. Selon un parlementaire libéral, de hauts responsables libéraux : Ministres, députés, Maires, Sénateurs et Conseillers économique et social envoient des «sms» à Idrissa Seck ou Macky Sall pour se positionner dans «l’après Wade». Mêmes ceux qui criaient sur tous les toits qu’ils sont membres de la «Génération du concret» font profil bas. Ils ont même oublié que Wade a un fils qui s’appelle Karim Wade. Concrétistes où êtes-vous ?
Pour ces gens là, prompts à la trahison, il ne faut pas que le Président se mette à dos sa jeunesse, son opposition et son peuple. Ces comploteurs qui ont trahi Wade à 11 ans de règne, méritent-ils que ce dernier se batte pour que le Pds reste au pouvoir 50 ans ?
Le Pds est tombé et ne se relèvera jamais. Le brave Farba Senghor chargé de la propagande a failli être assassiné le 23 juin dernier chez lui. Du côté des femmes, on n’entend plus Awa Gueye Kébé qui a failli être Vice premier Ministre, Mme Awa Ndiaye, Awa Diop et les autres. Le Président du Sénat, Pape Diop symboliquement deuxième personnage du Pds semble avoir pris sa retraite politique. Et pourtant, c’est lui qui contrôlait les 19 Communes d’arrondissement de Dakar de 2000 à 2009. Le Président du Conseil Economique et Social Ousmane Masseck Ndiaye a lui presque démissionné de toutes ses fonctions politiques. En plus, ce qui est curieux dans ce parti, c’est que tous les hauts responsables au sommet se haïssent.
Les Cadres du Pds peinent à occuper le terrain politique qu’ils ont laissé à l’Opposition. Aujourd’hui, Wade ne compte que sur les religieux et les bonnes volontés pour, d’abord calmer la situation et dialoguer avec son opposition. Depuis quelque temps, l’opinion nationale et internationale sont préparées à une défaite du Président Wade en 2012. C’est une prouesse réussie par les opposants qui a mené une bataille de longue haleine. C’est ce qui explique les inquiétudes des Usa et de l’Union Européenne quant à l’issue de la présidentielle de 2012. L’impression qui se dégage aujourd’hui au sein des masses, c’est que le pouvoir de Wade est fini. Et du côté du pouvoir aucune action n’a été menée pour renverser cette tendance. Est-il même possible de le faire.
Au vu de tout ce qu’il a fait pour le Sénégal et l’Afrique, pour la démocratie, pour l’expression des libertés, pour sa jeunesse, pour les travailleurs, pour les paysans, pour les personnes âgées, pour les religions, pour les femmes etc… Wade ne mérite pas ce sort.