Et pour partager ce bonheur de revenir ensemble avec la ville de Thiès, le Palais des arts, chantre du groupe Waflah de Thiès, niché dans l’ancien quartier « -10e », a accueilli le groupe Xalam II au grand complet.
Joie de vivre. Toujours égal à lui-même. Souleymane Faye, un des chanteurs du Xalam II qui vient d’opérer un retour sur la scène musicale sénégalaise après « 20 ans de pause », est sorti de sa coquille.
Au cours de leur rencontre avec la presse, Souleymane Faye soutient qu’il est le produit type d’une société sénégalaise où le vécu au quotidien lui permet de confectionner ses chansons. « La chanson me permet, au quotidien, de vider mon sac » lance-t-il. Pour lui, il suffit de cocher sur papier toutes les idées qui lui viennent à l’esprit pendant une journée puis essayer d’y mettre de l’ordre pour déboucher sur un texte extraordinaire et plein de sens.
« Alors, c’est vous dire qu’on n’a pas besoin de chercher loin pour s’inspirer ; en tout cas, moi, je ne fais qu’aspirer ce qui est autour de moi et le tour est joué » explique-t-il. Et Koundoul d’ajouter « ainsi, la souffrance des gens, les acteurs politiques, bref, tout le bouillonnement de la vie à la sénégalaise nous permet de faire nos textes dans les tubes du Xalam II ».
La séparation de plusieurs années ne leur a pas empêché de maintenir le contact fraternel. Selon Henry Guillabert, cela explique qu’ils aient pu se retrouver quand ils ont senti le besoin de le faire.
Et Cheikh Tidiane Tall d’asséner « le Xalam II, c’est toute une philosophie de vie et de musique. Nous sommes heureux d’avoir inspiré des groupes de jeunes comme le Waflash, le Sénémali... ».
Joie de vivre. Toujours égal à lui-même. Souleymane Faye, un des chanteurs du Xalam II qui vient d’opérer un retour sur la scène musicale sénégalaise après « 20 ans de pause », est sorti de sa coquille.
Au cours de leur rencontre avec la presse, Souleymane Faye soutient qu’il est le produit type d’une société sénégalaise où le vécu au quotidien lui permet de confectionner ses chansons. « La chanson me permet, au quotidien, de vider mon sac » lance-t-il. Pour lui, il suffit de cocher sur papier toutes les idées qui lui viennent à l’esprit pendant une journée puis essayer d’y mettre de l’ordre pour déboucher sur un texte extraordinaire et plein de sens.
« Alors, c’est vous dire qu’on n’a pas besoin de chercher loin pour s’inspirer ; en tout cas, moi, je ne fais qu’aspirer ce qui est autour de moi et le tour est joué » explique-t-il. Et Koundoul d’ajouter « ainsi, la souffrance des gens, les acteurs politiques, bref, tout le bouillonnement de la vie à la sénégalaise nous permet de faire nos textes dans les tubes du Xalam II ».
La séparation de plusieurs années ne leur a pas empêché de maintenir le contact fraternel. Selon Henry Guillabert, cela explique qu’ils aient pu se retrouver quand ils ont senti le besoin de le faire.
Et Cheikh Tidiane Tall d’asséner « le Xalam II, c’est toute une philosophie de vie et de musique. Nous sommes heureux d’avoir inspiré des groupes de jeunes comme le Waflash, le Sénémali... ».