Le numéro de Jeune Afrique qui m’a le plus marqué est celui qui est sorti après la libération de Nelson Mandela, en 1990. C’est un grand monsieur. Un combattant de la liberté qui doit servir d’exemple à tous les Africains.
Moi je suis un artiste, un happy man [« homme heureux »], mais j’ai investi dans les médias car, s’il est important de distraire les populations, il est également nécessaire de les informer : pour évoluer, il faut comprendre le monde d’aujourd’hui. Je ne suis pas journaliste, mais je fais confiance à mes équipes, la confiance est à la base de tout progrès.
Les médias sont aussi une façon de participer au développement du continent, parce qu’ils donnent une chance à des jeunes de trouver un emploi. Environ 150 personnes travaillent dans le groupe Futurs Médias. La presse crée des vocations, et J.A. en a créé beaucoup. Pour un patron de presse, il reste une référence par sa qualité et sa longévité. J’en souhaite autant à mon groupe.
Moi je suis un artiste, un happy man [« homme heureux »], mais j’ai investi dans les médias car, s’il est important de distraire les populations, il est également nécessaire de les informer : pour évoluer, il faut comprendre le monde d’aujourd’hui. Je ne suis pas journaliste, mais je fais confiance à mes équipes, la confiance est à la base de tout progrès.
Les médias sont aussi une façon de participer au développement du continent, parce qu’ils donnent une chance à des jeunes de trouver un emploi. Environ 150 personnes travaillent dans le groupe Futurs Médias. La presse crée des vocations, et J.A. en a créé beaucoup. Pour un patron de presse, il reste une référence par sa qualité et sa longévité. J’en souhaite autant à mon groupe.