En mai 2007, Youssou Ndour chanta devant les deux présidents français (le sortant Jacques Chirac
et le nouveau Nicolas Sarkozy) pour la deuxième cérémonie de commémoration de l´abolition
de l´esclavage, dans les jardins du Luxembourg à Paris. Cliquer sur l´image pour voir la vidéo.
Dans la lancée de ses précédentes implications principalement dans des causes humanitaires, le mois d’août dernier n’aura pas été de tout repos pour Youssou Ndour. « Ne regardons pas la Somalie mourir à petit feu. Ne laissons pas nos frères de cette partie de notre continent disparaitre parce qu’ils ne mangent plus, parce qu’ils ne boivent plus », déclarait-il dans un communiqué. Et d’ajouter que « si la tragédie menace, elle n’est pas inéluctable ». C’est donc parce qu’il croit que tout est encore possible qu’il a lancé un appel durant le même mois aux africains et aux chefs d’État et de gouvernement du Continent pour qu’ils ne ferment pas les yeux sur la famine en Somalie et globalement dans la corne de l’Afrique en butte à une sécheresse qui menace des millions de personnes.
Lors d’une conférence de l’Union africaine (Ua) consacrée à cette crise humanitaire, le chanteur sénégalais s’insurgeait contre le fait que « les chefs d’État africains pensent toujours pour des problèmes en Afrique, que c’est l’Occident qui doit décider. Or c’est tout à fait le contraire. C´est ça que je voudrais voir changer ». Avec Bono le musicien irlandais, Ndour organisera au Kenya en 2012 un concert afin de mobiliser et d’informer l’opinion publique sur les problèmes de faim dans la région. Il s’agit surtout pour ces deux chanteurs, déjà associés pour d’autres causes pour le Continent, de constituer une sorte d’avant-garde face à d’autres crises humanitaires dans les prochaines années. Baptisée « New Africa », cette opération s’inspirera selon ses initiateurs des idées de la jeunesse et associera les pays d’Afrique ainsi que les amis du Continent.Moussfa
et le nouveau Nicolas Sarkozy) pour la deuxième cérémonie de commémoration de l´abolition
de l´esclavage, dans les jardins du Luxembourg à Paris. Cliquer sur l´image pour voir la vidéo.
Dans la lancée de ses précédentes implications principalement dans des causes humanitaires, le mois d’août dernier n’aura pas été de tout repos pour Youssou Ndour. « Ne regardons pas la Somalie mourir à petit feu. Ne laissons pas nos frères de cette partie de notre continent disparaitre parce qu’ils ne mangent plus, parce qu’ils ne boivent plus », déclarait-il dans un communiqué. Et d’ajouter que « si la tragédie menace, elle n’est pas inéluctable ». C’est donc parce qu’il croit que tout est encore possible qu’il a lancé un appel durant le même mois aux africains et aux chefs d’État et de gouvernement du Continent pour qu’ils ne ferment pas les yeux sur la famine en Somalie et globalement dans la corne de l’Afrique en butte à une sécheresse qui menace des millions de personnes.
Lors d’une conférence de l’Union africaine (Ua) consacrée à cette crise humanitaire, le chanteur sénégalais s’insurgeait contre le fait que « les chefs d’État africains pensent toujours pour des problèmes en Afrique, que c’est l’Occident qui doit décider. Or c’est tout à fait le contraire. C´est ça que je voudrais voir changer ». Avec Bono le musicien irlandais, Ndour organisera au Kenya en 2012 un concert afin de mobiliser et d’informer l’opinion publique sur les problèmes de faim dans la région. Il s’agit surtout pour ces deux chanteurs, déjà associés pour d’autres causes pour le Continent, de constituer une sorte d’avant-garde face à d’autres crises humanitaires dans les prochaines années. Baptisée « New Africa », cette opération s’inspirera selon ses initiateurs des idées de la jeunesse et associera les pays d’Afrique ainsi que les amis du Continent.Moussfa