À Ziguinchor, Cheikh Aïto Sané, un adolescent de 16 ans, a tragiquement perdu la vie à la suite d’une altercation avec un autre jeune de 17 ans. Ce dernier lui avait demandé de s’éloigner de l’entrée de sa maison, lors du passage du Kankourang, pendant la danse des feuilles, connue sous le nom de ‘Diambadong’.
L’incident s’est produit dans la nuit du 14 au 15 septembre 2024, dans le quartier Yamatogne, une zone à forte présence mandingue. Cheikh Aïto Sané, la victime, était un passionné de football et faisait partie de l’école de football Magloire Diaz, lit-on dans "Senenews".
« Cheikh ne participait même pas au Diambadong, ce n’était pas dans ses habitudes. Quand les jeunes accompagnant le Kankourang sont passés, l’un d’eux l’a sommé de rentrer chez lui, menaçant de le poignarder s’il refusait. Malheureusement, la menace a été mise à exécution. Il a été cruellement assassiné », a témoigné un proche de la famille.
L’auteur du crime a été interpellé et placé en garde-à-vue au commissariat de Yamatogne. Face à cette tragédie, une figure de l’administration territoriale de Ziguinchor a exprimé son indignation : « La suspension de ces Diambadong est imminente. Cet événement est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Ces jeunes dépassent les bornes. Nous prendrons des mesures la semaine prochaine, pour mettre un terme à ces excès».
L’incident s’est produit dans la nuit du 14 au 15 septembre 2024, dans le quartier Yamatogne, une zone à forte présence mandingue. Cheikh Aïto Sané, la victime, était un passionné de football et faisait partie de l’école de football Magloire Diaz, lit-on dans "Senenews".
« Cheikh ne participait même pas au Diambadong, ce n’était pas dans ses habitudes. Quand les jeunes accompagnant le Kankourang sont passés, l’un d’eux l’a sommé de rentrer chez lui, menaçant de le poignarder s’il refusait. Malheureusement, la menace a été mise à exécution. Il a été cruellement assassiné », a témoigné un proche de la famille.
L’auteur du crime a été interpellé et placé en garde-à-vue au commissariat de Yamatogne. Face à cette tragédie, une figure de l’administration territoriale de Ziguinchor a exprimé son indignation : « La suspension de ces Diambadong est imminente. Cet événement est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Ces jeunes dépassent les bornes. Nous prendrons des mesures la semaine prochaine, pour mettre un terme à ces excès».
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