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Santé

Une personne efféminée est un homme qui ressemble à une femme dans sa manière de s'habiller, ses paroles et sa manière de marcher. Ce type de personne a été maudit par le Prophète (Psl) rapporte Ibn 'Abbâs, qu'Allah soit satisfait de lui, a rapporté : « Le Messager d'Allah () a maudit les hommes efféminés et les femmes aux manières hommasses. », rapporte (Boukhari), informe le site islamweb.net


Les hermaphrodites et les hommes efféminés : la position de l'Islam
Quant à l’hermaphrodite, il est de deux types : la personne qui possède à la fois un sexe de femme et un sexe d'homme et la personne qui ne possède aucun des deux sexes et ne possède qu'un orifice d'où elle urine et qui ne ressemble à aucun des deux sexes. Le premier type de personne hermaphrodite est jugé comme étant un homme ou une femme d'après plusieurs critères, dont les suivants :

L'urine : si la personne urine uniquement par son organe génital mâle, elle est alors un homme et si elle urine par son organe génital femelle, elle est une femme. Par contre, si elle urine par les deux, il faut alors observer lequel des deux organes urine en premier s'ils s'arrêtent d'uriner en même temps et lequel des deux organes s'arrête d'uriner en dernier s'ils commencent à uriner en même temps. Ainsi, si l’un des deux urine en premier et que le second s’arrête en dernier, le sexe correspond au premier. Enfin, s'ils commencent et s'arrêtent tous les deux d'uriner en même temps, la personne est alors un mélange des deux sexes et il faut attendre la puberté pour pouvoir faire la distinction.

L'écoulement de menstrues ou de sperme au moment opportun. Dans ce cas, si le sperme s'écoule du pénis, il s'agit alors d'un homme et si les menstrues surviennent, il s'agit alors d'une femme à condition que ces menstrues surviennent régulièrement.

Le penchant : ce signe est examiné lorsque les signes précédents sont inexistants. Dans ce cas, si la personne penche vers les hommes, elle est une femme et si elle penche vers les femmes, elle est un homme. Enfin, si elle penche vers les deux, elle est alors un mélange des deux.

Des nationaux, spécialistes des douleurs du coeur, ouvrent une clinique à Dakar. Le projet porté par des Sénégalais, dont le site doit bientôt être fonctionnel, dispose d’appareils de coronarographie, marque Générale électrique modèle Optima IGS 320, d’appareils d’échographie, marque Esaote modèle mylab X8, d’appareils d’épreuves d’efforts, marque schiller modèle. Il s’agit d’équipements adaptés pour un meilleur contrôle et suivi cardiologique.

L'evenement sera retransmis en direct sur Leral TV , Leral.net et Leral FM ( Dakar, Touba, Kaolack , Ziguinchor )


Photos/ Cardiologie : une clinique de nationaux, spécialistes du cœur, ouvre ses portes à Dakar ce 2 Mai 2022

Le directeur des statistiques démographiques sociales de l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), Samba Ndiaye, explique les causes de la baisse du taux de fécondité au Sénégal. D’après l’étude, ledit taux passe de 6,4 enfants par femme en 1986, à 4,7 en 2019.


Baisse du taux de fécondité : Les méthodes contraceptives et la scolarité, pointées du doigt
« Le taux d’utilisation des méthodes contraceptives augmente ces dernières décennies, remarque le chercheur. Les anciennes générations pouvaient ne pas les utiliser faute d’accès ou bien pouvaient avoir des réticences, ou bien même faute de connaissances.

Aujourd’hui, les générations que nous avons, ce sont des générations qui ont accès à l’information sur l’existence des méthodes, les avantages et les inconvénients pour pouvoir faire un choix. Et si je prends par exemple l’éducation : plus les filles vont rester à l’école, plus on aura tendance à une baisse de l’indice de fécondité.

Les taux de scolarisation de manière générale ont augmenté, mais aussi, partiellement, les taux de scolarisation des filles. D’une génération à une autre, l’âge d’entrée en maternité augmente. En plus de ça, quand la femme a des activités économiques, très souvent, cela peut avoir un effet sur ses choix pour la reproduction », a précisé Samba Ndiaye.


Pourquoi faire craquer ses articulations est loin d’être anodin
Il y a deux types de personnes : celles qui ont l'habitude de faire craquer les articulations de leurs mains et celles qui ne le peuvent pas… et qui sont souvent irritées par les premiers ! Qu'y a-t-il derrière cette petite manie ? Et pourquoi, d'ailleurs, se « faire craquer » ? D'où vient ce bruit si caractéristique ? Cette pratique est-elle dangereuse ? Les idées reçues sont légion.

Avant de poursuivre, il est important de noter que nous parlons dans cet article de personnes qui font craquer leurs propres articulations (doigts, cou, etc.). C'est ce qu'on appelle l'« automanipulation ». Lorsqu'un physiothérapeute ou un chiropraticien fait craquer (ou manipule) votre colonne vertébrale, l'origine des bruits est la même, mais les conséquences peuvent être très différentes de celles dont il est question ici. Bien qu'elle puisse agacer amis et famille, l'automanipulation de nos articulations n'est probablement ni utile ni nuisible directement pour l'individu.



Pourquoi faire craquer ses articulations ?

Tout simplement parce que nous nous sentons mieux, plus souples ou moins raides après coup (au niveau de l'articulation manipulée tout du moins). Le soulagement n'est toutefois que temporaire et ses effets s'estompent après une vingtaine de minutes, ce qui conduit généralement les « craqueurs » à récidiver.

Si le craquement des articulations peut sembler incompréhensible pour nous, les « non-craqueurs », nous avons des comportements similaires. Par exemple, la « pandiculation » (du latin s'étendre, s'allonger) : il s'agit de cet étirement presque universel que nous faisons après avoir été inactifs – même les chiens, les chats, les éléphants, les araignées ou les moutons à naître le font.

L'envie de « pandiculer » et ses effets transitoires sont similaires aux craquements des articulations. Cependant, on pense que la pandiculation a des effets positifs sur le corps en rétablissant et en réinitialisant l'équilibre structurel et fonctionnel. Il n'en va pas de même pour le craquement des articulations…

Qu'en est-il du risque d'arthrite ?
Presque tous ceux qui s'automanipulent ont eu droit à la remarque – généralement par un individu exaspéré par ce comportement – qu'il allait se provoquer de l'arthrite, voire de l'arthrose plus tard. Soyons honnêtes : la menace ne tient plus. Il est maintenant clair que ce n'est pas le cas.

Le médecin américain Donald Unger a fait craquer les articulations d'une seule de ses mains pendant plus de cinquante ans : la vérité est qu'il n'a constaté aucun signe d'augmentation de l'arthrite par rapport à l'autre main. Il a reçu pour cela le Prix Ig Nobel de médecine en 2009, une récompense pour des réalisations exceptionnelles dans le domaine de la recherche. Une autre étude menée chez deux groupes de personnes âgées, certaines s'étant fait craquer et les autres non, a également constaté que ce comportement n'augmentait pas l'incidence de l'arthrite. De même, elle n'était pas plus élevée dans les articulations qui avaient pu être fêlées suite à cette pratique.

Il existe bien quelques rapports de blessures dues au craquement des articulations, mais ces cas sont probablement trop mineurs et peu fréquents pour être très préoccupants. En bref, le craquement des articulations ne semble pas avoir d'effets négatifs importants.

Le nombre de cas de contaminations à Omicron ne cesse de décroître en France : - 44 % de nouveaux cas positifs par rapport à la semaine dernière en ce lundi 14 février. La sortie de crise semble se dessiner… à moins que de nouveaux variants plus contagieux ou plus dangereux ne surgissent. Un cas de Deltacron a été détecté au Royaume-Uni en fin de semaine dernière. De quoi s’agit-il ? Faut-il s’en inquiéter ?


Ce que l’on sait sur le premier cas du variant Deltacron détecté au Royaume-Uni
Le variant Deltacron avait déjà fait parler de lui début janvier. Il s’agirait d’un nouveau variant du coronavirus, résultant d’une recombinaison entre Delta et Omicron. Une équipe chypriote affirmait à ce moment-là avoir détecté 25 cas de Deltacron. Dès lors, des doutes sérieux avaient été émis quant à l’existence de ce variant. Des contaminations d’échantillons avaient été évoquées.

Ce vendredi 11 février, le variant Deltacron est revenu sur le devant de la scène : l’agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni a indiqué avoir détecté un premier cas d’infection hybride. Ce variant, sous la dénomination « Delta x Omicron recombinant », fait désormais partie de la liste des variants « sous surveillance » des autorités britanniques. Alors s’agit-il véritablement d’un nouveau variant ?

Un simple cas de co-infection ?

Avant de parler de nouveau variant, il faut éliminer les autres explications, notamment le cas d’une co-infection. Il faut savoir qu’une même cellule peut être infectée par deux virus en même temps. Des cas d’infections à la grippe et au SARS-CoV-2 ont été rapportés il y a peu. À ce moment-là, on avait très vite entendu parler de Flurona, contraction entre « flu » (la grippe) et coronavirus. Il ne s’agissait pourtant pas d’un nouveau virus ou d’un nouveau variant mais d’un patient ayant été infecté par les deux virus en même temps. Concernant le cas de Deltacron détecté en Grande-Bretagne, il est fort probable que le patient ait été infecté par le variant Delta et le variant Omicron du SARS-CoV-2 en même temps.

Hypertension artérielle, un tueur sous-estimé au Sénégal
C'est un ennemi pour la plupart du temps invisible. Elle ne se manifeste presque pas. L'hypertension artérielle fait pourtant des ravages au Sénégal.

C'est un secret de Polichinelle : le Sénégalais ne se rend à l'hôpital qu'en dernier recours. Une situation qui favorise les ravages causés par l'hypertension artérielle. En effet, cette maladie qui ne se manifeste que tardivement est un tueur en série au Sénégal au point que le ministère de la Santé et de l'Action sociale a lancé une campagne pour inciter les Sénégalais à se faire dépister.


Quelles sont les causes de l'hypertension artérielle ?
C'est une question difficile à répondre dans la mesure où elle n'a pas de symptômes visibles. L’apparition d’une hypertension artérielle n'a pas une cause certifiée. C’est pour cela qu’on parle d’hypertension artérielle « essentielle ». Néanmoins certains facteurs peuvent favoriser son développement. Une alimentation riche en sel, pauvre en fruits et légumes, une consommation excessive d’alcool et de tabac, le surpoids, le stress, etc. Voilà autant d'éléments d'une hygiène de vie qui favorise l'hypertension artérielle.

Avec l'âge, on est beaucoup plus exposé à l'hypertension artérielle. Généralement, les médecins conseillent à leurs patients de respecter certaines mesures hygiéno-diététiques : manger équilibré, limiter sa consommation de sel et d’alcool, faire du sport, arrêter des fumer. Si cela ne baisse pas la pression sanguine, prenez rendez-vous chez le médecin !


Les chiffres du Sénégal
Au Sénégal, une personne sur trois souffre de l'hypertension artérielle selon l'Oms qui estime que ce chiffre pourrait largement augmenter. L'hypertension artérielle est considérée comme l'un des premiers facteurs de risques cardiovasculaires comme l'accident vasculaire cérébral (AVC), l’infarctus ou encore, l'insuffisance cardiaque. Autant de soucis qu'on aimerait bien éviter. C'est dans cette optique qu'il faut analyser la loi anti-tabac voté en 2018.

Le combo Webcams femmes Jerkmate ne vous sauvera même pas. Par ailleurs, l'Oms recommande de limiter sa consommation de sel et de matières grasses et de pratiquer une activité sportive régulière. Il est aussi très important de surveiller son poids et de limiter sa consommation d'alcool, tout comme il est essentiel de consulter son médecin pour un bilan annuel complet afin de vérifier la tension, le niveau du cholestérol ou encore, le taux de cholestérol.

Douze personnes contaminées par le variant Omicron du Covid-19 sont mortes et 104 sont hospitalisées au Royaume-Uni, confronté à une vague de contaminations suscitant des appels à de nouvelles restrictions, a déclaré lundi le vice-Premier ministre Dominic Raab.


Omicron: 104 hospitalisations et 12 morts au Royaume-Uni
Douze personnes contaminées par le variant Omicron du Covid-19 sont mortes et 104 sont hospitalisées au Royaume-Uni, confronté à une vague de contaminations suscitant des appels à de nouvelles restrictions, a déclaré lundi le vice-Premier ministre Dominic Raab. "Si nous observons Omicron, ce que nous savons c'est que ça se répand très rapidement. Nous avons actuellement 104 hospitalisations dues à Omicron, nous avons eu 12 décès. Mais il y a un décalage dans le temps en termes de données donc nous ne savons pas vraiment à quel point ça va être grave", a déclaré sur Times Radio M. Raab qui est aussi ministre de la Justice.

"La seule chose que nous savons, c'est que ceux qui reçoivent une piqûre de rappel bénéficient d'une protection efficace à plus de 70%", a-t-il ajouté, justifiant l'accélération de la campagne de rappel vaccinal décidée par le gouvernement il y a huit jours. Près de la moitié des plus de 12 ans ont reçu un rappel ou une troisième dose de vaccin anti- Covid au Royaume-Uni, frappé par une forte augmentation du nombre de cas (+82,886 enregistrés en 24 heures dimanche) attribuée au variant Omicron. Le pays est l'un des plus touchés par la pandémie en Europe avec plus de 147.000 morts.
Coronavirus : Un peu plus de 14.000 patients hospitalisés dans les hôpitaux français
La pression continue de monter sur les personnels de santé. Les hôpitaux français accueillent en effet de plus en plus de patients atteints du Covid-19, 14.050 exactement dimanche, selon les données quotidiennes de Santé publique France. Surtout, depuis fin octobre, le nombre d’admissions hospitalières liées au coronavirus grimpe quotidiennement.

Ces dernières 24 heures, 472 personnes atteintes du Covid-19 ont été admises dans les hôpitaux. Les services de soins critiques, qui traitent les cas les plus graves, ont accueilli 111 nouveaux patients par rapport à la veille. Au total, 2.602 malades y sont hospitalisés, un nombre supérieur à celui répertorié au sommet de la vague de cet été.

Une moyenne des contaminations en légère hausse

Entre samedi et dimanche, 48 malades sont décédés à l’hôpital des suites du Covid-19. Depuis le début de l’épidémie 120.431 personnes sont mortes de la maladie. Au cours des dernières 24 heures, 43.848 nouveaux cas de contamination ont été enregistrés. Sur sept jours, la moyenne de ces nouveaux cas quotidiens s’inscrit en légère hausse, à 48.775.

Côté vaccination, 52.289.589 personnes ont reçu au moins une injection (soit 77,6 % de la population totale) et 51.216.188 personnes sont entièrement vaccinées (76 %). Depuis le début de la campagne de rappel en septembre, 14.496.659 personnes ont reçu une dose de rappel.
Le président du parti Les Patriotes Florian Philippot a affirmé que les contaminations et les cas explosent à Singapour, malgré l'importante couverture vaccinale dans la cité-Etat. Qu'en est-il vraiment?



Source : https://www.bfmtv.com/sante/la-verif-l-epidemie-de...
Chaque samedi entre 13h et 14h, Jean-Baptiste Boursier décortique au travers d’un rappel des faits minutieux trois grands thèmes de l’info de la semaine, afin de "remettre les contextes dans les faits" accompagné par Céline Pitelet.



Source : https://www.bfmtv.com/sante/la-verif-les-enfants-s...
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