Sarah Kuteh, une infirmière qui a déjà 15 ans d’expérience, a été démise de ses fonctions en août dernier pour "mauvaise conduite grave", après que les patients qu’elle a soignés se soient plaints de sa «ferveur» religieuse.
Elle a fait appel, mais le comité de discipline a expliqué à son tour que la décision de renvoyer Mme Kuteh était « tout à fait appropriée ». En témoignant devant le tribunal, Mme Kuteh a nié avoir imposé sa religion aux patients.
Elle a dit: « Je suis sérieuse avec ma religion, mais je ne pense pas avoir imposé ma religion aux patients. J’aime les soins infirmiers, j’aime ce que je fais et j’adore parler aux patients. Ce que je voulais était de me donner l’occasion de montrer un changement ».
La travailleuse du SNS, Sarah Collins, qui a présidé la première audience disciplinaire de Mme Kuteh à Darent Valley Hospital à Dartford, Kent en Angleterre, n’était pas d’accord du verdict.
Elle a déclaré:
« Malgré qu’elle a été mise en garde contre un tel comportement à deux reprises, elle a persisté à interroger les patients sur des questions religieuses. L’affirmation de Mme Kuteh selon laquelle elle s’est sentie obligée de continuer à tenir des discussions religieuses avec des patients, me préoccupe ».
Au total, huit plaintes ont été déposées par des patients «extrêmement vulnérables», et impliqués dans une intervention chirurgicale. Une patiente a affirmé qu’elle passait plus de temps à parler de religion que de remplir un questionnaire préopératoire.
Par ailleurs, l’hôpital a nié l’avoir licenciée en raison de sa foi.
Au lieu de cela, Victoria Leivers-Carruth, qui a présidé l’audition de l’appel d’honneur de l’hôpital, a déclaré que le comité pensait que Mme Kuteh utilisait son temps avec les patients pour «leur imposer des croyances religieuses».
Le président du tribunal, Martin Kurrein, a ajourné son jugement à une date ultérieure.
Afrikmag
Elle a fait appel, mais le comité de discipline a expliqué à son tour que la décision de renvoyer Mme Kuteh était « tout à fait appropriée ». En témoignant devant le tribunal, Mme Kuteh a nié avoir imposé sa religion aux patients.
Elle a dit: « Je suis sérieuse avec ma religion, mais je ne pense pas avoir imposé ma religion aux patients. J’aime les soins infirmiers, j’aime ce que je fais et j’adore parler aux patients. Ce que je voulais était de me donner l’occasion de montrer un changement ».
La travailleuse du SNS, Sarah Collins, qui a présidé la première audience disciplinaire de Mme Kuteh à Darent Valley Hospital à Dartford, Kent en Angleterre, n’était pas d’accord du verdict.
Elle a déclaré:
« Malgré qu’elle a été mise en garde contre un tel comportement à deux reprises, elle a persisté à interroger les patients sur des questions religieuses. L’affirmation de Mme Kuteh selon laquelle elle s’est sentie obligée de continuer à tenir des discussions religieuses avec des patients, me préoccupe ».
Au total, huit plaintes ont été déposées par des patients «extrêmement vulnérables», et impliqués dans une intervention chirurgicale. Une patiente a affirmé qu’elle passait plus de temps à parler de religion que de remplir un questionnaire préopératoire.
Par ailleurs, l’hôpital a nié l’avoir licenciée en raison de sa foi.
Au lieu de cela, Victoria Leivers-Carruth, qui a présidé l’audition de l’appel d’honneur de l’hôpital, a déclaré que le comité pensait que Mme Kuteh utilisait son temps avec les patients pour «leur imposer des croyances religieuses».
Le président du tribunal, Martin Kurrein, a ajourné son jugement à une date ultérieure.
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