Une arrestation aux circonstances troublantes
Tout a commencé jeudi dernier, lorsque Omar Afric s'est rendu à la brigade de gendarmerie de Ouakam, pour suivre une affaire impliquant son frère. Sur place, un simple échange verbal avec l'auteur de la plainte a suffi pour qu'il soit accusé d'outrage à agent. Pourtant, selon ses proches, la discussion n'a donné lieu à aucune violence, insulte ou menace.
Malgré l'absence de faits graves, Omar Afric a été placé en garde-à-vue pendant quatre jours, privé de son droit à un avocat et de tout contact avec sa famille. Ce lundi, il a été déféré au tribunal et placé sous mandat de dépôt en vue d'un procès en flagrant délit.
Un abus de pouvoir dénoncé
La coalition Le Temps de la Jeunesse s'insurge contre ce qu'elle considère comme une instrumentalisation abusive de l'accusation d'«outrage à agent». Elle dénonce une pratique récurrente où certains agents en situation d'autorité utilisent cette infraction comme un moyen de réprimer toute contestation.
« Comment une affaire aussi insignifiante peut-elle justifier une privation de liberté ? », s'interrogent les membres du mouvement, dénonçant un climat de répression qui alimente la méfiance entre citoyens et forces de l'ordre. Ils rappellent également que les prisons du pays souffrent déjà d'une surpopulation critique et qu'il est inadmissible qu'un père de famille soit enfermé pour un échange verbal, alors que de véritables criminels restent en liberté.
Un appel à la libération immédiate
Face à cette situation jugée injuste, la coalition exige la libération immédiate d'Omar Afric, afin qu'il puisse retrouver sa famille et reprendre ses activités. Elle interpelle les autorités sur l'urgence de mettre fin à ces pratiques qui fragilisent la justice et les droits fondamentaux des citoyens.
L'affaire Omar Afric, désormais sous les feux de l'actualité, relance le débat sur la protection des libertés individuelles et l'utilisation abusive des délits d'opinion au Sénégal.
Tout a commencé jeudi dernier, lorsque Omar Afric s'est rendu à la brigade de gendarmerie de Ouakam, pour suivre une affaire impliquant son frère. Sur place, un simple échange verbal avec l'auteur de la plainte a suffi pour qu'il soit accusé d'outrage à agent. Pourtant, selon ses proches, la discussion n'a donné lieu à aucune violence, insulte ou menace.
Malgré l'absence de faits graves, Omar Afric a été placé en garde-à-vue pendant quatre jours, privé de son droit à un avocat et de tout contact avec sa famille. Ce lundi, il a été déféré au tribunal et placé sous mandat de dépôt en vue d'un procès en flagrant délit.
Un abus de pouvoir dénoncé
La coalition Le Temps de la Jeunesse s'insurge contre ce qu'elle considère comme une instrumentalisation abusive de l'accusation d'«outrage à agent». Elle dénonce une pratique récurrente où certains agents en situation d'autorité utilisent cette infraction comme un moyen de réprimer toute contestation.
« Comment une affaire aussi insignifiante peut-elle justifier une privation de liberté ? », s'interrogent les membres du mouvement, dénonçant un climat de répression qui alimente la méfiance entre citoyens et forces de l'ordre. Ils rappellent également que les prisons du pays souffrent déjà d'une surpopulation critique et qu'il est inadmissible qu'un père de famille soit enfermé pour un échange verbal, alors que de véritables criminels restent en liberté.
Un appel à la libération immédiate
Face à cette situation jugée injuste, la coalition exige la libération immédiate d'Omar Afric, afin qu'il puisse retrouver sa famille et reprendre ses activités. Elle interpelle les autorités sur l'urgence de mettre fin à ces pratiques qui fragilisent la justice et les droits fondamentaux des citoyens.
L'affaire Omar Afric, désormais sous les feux de l'actualité, relance le débat sur la protection des libertés individuelles et l'utilisation abusive des délits d'opinion au Sénégal.