Les menaces physiques et diffamations concernant M. Pierre Atepa Goudiaby et le Collectif des cadres casamançais nous touchent au plus profond de nous-mêmes, puisqu’il s’agit d’abord de calomnies et ensuite parce qu’elles attentent à la paix en Casamance, ce que nous avons de plus cher.
Nous condamnons ainsi et avec la dernière énergie certains propos et actes que nous jugeons très graves et dangereux.
Devant de tels faits, nous demandons au Procureur de la République de s’autosaisir rapidement de ce dossier et de d’initier des poursuites judiciaires contre l’auteur de ces propos incendiaires Moustapha Bassène membre du comité des sages et ses accolytes.
Aussi, nous estimons que M. FARBA SENGHOR avec ses prises de positions demesurées et partisannes qui sont d'ailleurs contraires aux voeux de Monsieur le président de la République, s'est disqualifié tout seul dans sa mission de médiation et de facilitation.
En conséquence, le Président de la République M. Abdoulaye Wade se doit de le décharger expressément de cette mission qui exige naturellement une approche de rassemblement, de conciliation et de dialogue.
Nous mettons l’Etat du Sénégal face à ses responsabilités pour assurer la sécurité physique des personnes et des biens, particulièrement celle de Pierre Atepa Goudiaby et du collectif des cadres dont nous soutenons activement les initiatives en faveur de la paix.
Dans cette même perspective, nous exigeons que toute la lumière soit faite sur les assassinats du Préfet de Diouloulou, du Président du Conseil régional de Zinguichor Mamadou Lamine Badji et du Chérif Samedine Aïdara , l'ex conseiller du président de la république. Assez les crimes lâches contre les responsables casamançais et marre de voir les gens saboter les efforts de ceux qui s’activent pour le retour d’une paix durable.
Le problème casamançais ne doit pas être un fond de commerce ni un terrain de jeu pour les règlements de comptes politiciens. Cette fois ci l’Etat ne pourra pas dire « on ne savait pas » !
Nous appelons également tous les casamançais, de ne pas céder aux tentations de la violence gratuite et de rester vigilants face aux appels de mépris contre leurs frères.
Nos associations, comme à leur habitude, ne se laisseront pas divertir par certains comportement stériles et poursuivront leur double mission : l’apaisement des cœurs avec l’instauration de la paix et le développement de la Casamance.
ONT SIGNE :
Association de la société civile casamançaise en France (ASCCF)
SOS Casamance
Amicale des étudiants casamançais de France
Nous condamnons ainsi et avec la dernière énergie certains propos et actes que nous jugeons très graves et dangereux.
Devant de tels faits, nous demandons au Procureur de la République de s’autosaisir rapidement de ce dossier et de d’initier des poursuites judiciaires contre l’auteur de ces propos incendiaires Moustapha Bassène membre du comité des sages et ses accolytes.
Aussi, nous estimons que M. FARBA SENGHOR avec ses prises de positions demesurées et partisannes qui sont d'ailleurs contraires aux voeux de Monsieur le président de la République, s'est disqualifié tout seul dans sa mission de médiation et de facilitation.
En conséquence, le Président de la République M. Abdoulaye Wade se doit de le décharger expressément de cette mission qui exige naturellement une approche de rassemblement, de conciliation et de dialogue.
Nous mettons l’Etat du Sénégal face à ses responsabilités pour assurer la sécurité physique des personnes et des biens, particulièrement celle de Pierre Atepa Goudiaby et du collectif des cadres dont nous soutenons activement les initiatives en faveur de la paix.
Dans cette même perspective, nous exigeons que toute la lumière soit faite sur les assassinats du Préfet de Diouloulou, du Président du Conseil régional de Zinguichor Mamadou Lamine Badji et du Chérif Samedine Aïdara , l'ex conseiller du président de la république. Assez les crimes lâches contre les responsables casamançais et marre de voir les gens saboter les efforts de ceux qui s’activent pour le retour d’une paix durable.
Le problème casamançais ne doit pas être un fond de commerce ni un terrain de jeu pour les règlements de comptes politiciens. Cette fois ci l’Etat ne pourra pas dire « on ne savait pas » !
Nous appelons également tous les casamançais, de ne pas céder aux tentations de la violence gratuite et de rester vigilants face aux appels de mépris contre leurs frères.
Nos associations, comme à leur habitude, ne se laisseront pas divertir par certains comportement stériles et poursuivront leur double mission : l’apaisement des cœurs avec l’instauration de la paix et le développement de la Casamance.
ONT SIGNE :
Association de la société civile casamançaise en France (ASCCF)
SOS Casamance
Amicale des étudiants casamançais de France