‘’Il est des moments où il faut s’arrêter et diagnostiquer sans complaisance sa corporation. Ce contexte de crise nous semble opportun. Ce faisant, la responsabilité est aussi imputable aux syndicats, plus précisément à certains d’entre eux’’, écrivent les militants de ce syndicat dans une déclaration remise aux journalistes, lors d’une conférence de presse.
‘’[…] La majorité des organisations syndicales regroupées dans le CUSE (Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement) a su apprécier correctement le contexte et a opté de suspendre son mot d’ordre à la veille des élections’’, lit-on dans le texte.
L’UES dénonce l’‘’opposition entre élèves et enseignants par une utilisation abusive du droit de grève au détriment du droit d’étudier et de préserver l’outil que constitue l’école publique surtout’’.
Elle estime qu’‘’il importe de tirer les enseignements [de la crise scolaire] en situant les responsabilités, puis préconiser des pistes pour stabiliser le front scolaire et ensuite lever le discrédit imputé à tort à la totalité des syndicats d’enseignants’’.
Les militants de ce syndicat disent souhaiter que ‘’la communauté éducative dans son ensemble se soit ressaisi […] pour sauver l’année scolaire’’.
Les cours ont repris dans plusieurs écoles, où les enseignants ont été en grève pendant plusieurs mois.
Il n’y aura pas d’année blanche, a assuré mercredi le ministre de l’Education nationale Ibrahima Sall, qui a annoncé plusieurs mesures pour permettre un réajustement du quantum horaire.
SOURCE:
FAC/ESF
‘’[…] La majorité des organisations syndicales regroupées dans le CUSE (Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement) a su apprécier correctement le contexte et a opté de suspendre son mot d’ordre à la veille des élections’’, lit-on dans le texte.
L’UES dénonce l’‘’opposition entre élèves et enseignants par une utilisation abusive du droit de grève au détriment du droit d’étudier et de préserver l’outil que constitue l’école publique surtout’’.
Elle estime qu’‘’il importe de tirer les enseignements [de la crise scolaire] en situant les responsabilités, puis préconiser des pistes pour stabiliser le front scolaire et ensuite lever le discrédit imputé à tort à la totalité des syndicats d’enseignants’’.
Les militants de ce syndicat disent souhaiter que ‘’la communauté éducative dans son ensemble se soit ressaisi […] pour sauver l’année scolaire’’.
Les cours ont repris dans plusieurs écoles, où les enseignants ont été en grève pendant plusieurs mois.
Il n’y aura pas d’année blanche, a assuré mercredi le ministre de l’Education nationale Ibrahima Sall, qui a annoncé plusieurs mesures pour permettre un réajustement du quantum horaire.
SOURCE:
FAC/ESF
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