Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) alerte l’opinion publique sur la situation alarmante des universités publiques. Dans un communiqué, il constate que «malgré les efforts fournis par les enseignants pour rétablir une année académique normale, après les interruptions dues aux crises socio-politiques de 2021, 2023 et 2024, les universités restent en proie à de graves dysfonctionnements». Et parmi les problèmes soulevés, figurent «l’abandon de chantiers, des effectifs d’étudiants pléthoriques, ainsi que des ressources financières limitées, qui empêchent les institutions de fonctionner correctement».
Le Saes dénonce également «l’ouverture tardive des campus sociaux et la situation des bacheliers de 2024 qui frappent aux portes des universités publiques pour l’année 2024o-2025, au moment où l’essentiel des universités peinent à boucler le premier semestre de l’année dernière». Après avoir déploré les budgets «insuffisants» alloués aux universités, le syndicat appelle ses membres à une «mobilisation générale» et avertit le gouvernement contre tout retard dans le paiement des salaires, rapporte "Bes bi".
Le Saes dénonce également «l’ouverture tardive des campus sociaux et la situation des bacheliers de 2024 qui frappent aux portes des universités publiques pour l’année 2024o-2025, au moment où l’essentiel des universités peinent à boucler le premier semestre de l’année dernière». Après avoir déploré les budgets «insuffisants» alloués aux universités, le syndicat appelle ses membres à une «mobilisation générale» et avertit le gouvernement contre tout retard dans le paiement des salaires, rapporte "Bes bi".