« Si c’est un exercice de communication, on peut comprendre qu’ils choisissent dans quel média ils veulent parler. Mais pour une rencontre comme celle-là, en vue du dialogue politique, ils n’ont pas le droit d’exclure la presse privée », s’est-il désolé, en substance, sur la RFM.
Il faut tout de même signaler qu’une telle pratique discriminatoire en faveur de la télévision nationale n’est pas une première dans l’espace médiatique sénégalais. Il est peut-être temps qui ce favoritisme qui ne dit pas son nom, cesse pour de bon.
Il faut tout de même signaler qu’une telle pratique discriminatoire en faveur de la télévision nationale n’est pas une première dans l’espace médiatique sénégalais. Il est peut-être temps qui ce favoritisme qui ne dit pas son nom, cesse pour de bon.