Rewmi Quotidien : Mme la Présidente, où en êtes-vous avec la «Green Muscle» dont on dit autant de bien ?
Mme Viviane Wade : La «Green Muscle» est aujourd’hui un véritable succès et, surtout, une arme redoutable contre les criquets pèlerins, les sautereaux et autres prédateurs qui ravagent les cultures en Afrique de l’Ouest, en Afrique de l’Est et en Afrique australe. Nous bénéficions du soutien total de la FAO et de l’empire du Japon, qui nous ont permis, aujourd’hui, d’atteindre nos objectifs. Si je prends l’exemple de l’Afrique australe, je dois avouer que ce pesticide chimique a permis, à ce jour, de sauver même des parcs zoologiques dans ces pays.
Vous avez également vulgarisé la spiruline. Qu’est-ce que c’est ce produit et quelle est son action ?
La spiruline permet de lutter contre la malnutrition. Elle permet de sauver une génération de mères malnutries, qui auraient pu avoir des carences chroniques. La spiruline me tient à cœur. Elle est d’ailleurs produite par notre fondation, avec le soutien de certains partenaires. Mon seul espoir est de la voir développée en quantité industrielle, afin de soulager le maximum de femmes malnutries.
Quel message adressez-vous aux Sénégalais, de manière générale, et aux femmes, en particulier, en ce début d’année ?
Ce que je souhaite vivement, c’est que le travail permette aux femmes de sortir de la pauvreté. Je m’investis beaucoup aux côtés des femmes rurales pour leur permettre d’avoir des activités génératrices de revenus. Je prends l’exemple des femmes de Missao qui, aujourd’hui, avec l’aide de la Fondation Education-Santé, cultivent plusieurs variétés et arrivent même à écouler leur production dès la fin du cycle. Il y a également les femmes de Nioro du Rip que j’ai initié à l’exploitation du Bisap, qui est devenu pratiquement un produit bio très demandé au-delà même de nos frontières, sans parler des femmes de Ninéfécha etc.
Tout le monde, Mme la Présidente, salue votre générosité et votre disponibilité à soulager les plus démunies. Comment faites-vous pour être aussi proche du Sénégalais des profondeurs ?
C’est avec le soutien de plusieurs partenaires qui ont compris ma démarche et qui m’accompagnent dans mes actions sociales. Parmi eux je peux citer, entre autres, mon ami Mbagnick Diop, président du Mouvement des Entreprises du Sénégal (Meds) qui, depuis plusieurs années, m’apporte son soutien résolu, m’accompagne et m’aide à mettre en œuvre beaucoup de mes projets.
Les sommes récoltées lors de la soirée des «Cauris d’Or» nous ont permis d’édifier un bâtiment de stockage à l’hôpital de Ninéfécha. Toujours grâce aux retombées de la soirée des «Cauris d’Or», avec son volet social et l’implication des pouvoirs publics pour appuyer mon action, nous avons construit un grand logement pour visiteurs dans la même structure de santé de Ninéfécha, sans parler de l’extension de l’hôpital, lui-même, toujours grâce à l’appui permanent du président Mbagnick Diop. Et d’autres projets sont en cours, sans compter les ambulances médicalisées, les appareils d’écographie, les lits d’hospitalisation, le matériel médical, les chaises pour handicapés et autres moustiquaires imprégnées.
Le mot de la fin, Mme la Présidente…
Je ne terminerai pas sans souhaiter une excellente année 2010 à toutes les Sénégalais et à tous les Sénégalais, dans la paix des cœurs et dans la concorde pour un Sénégal émergent. Je remercie sincèrement votre président, Mbagnick Diop, pour m’avoir offert l’occasion d’adresser ces quelques mots à nos compatriotes Sénégalais. DEWENATI !
rewmi
Mme Viviane Wade : La «Green Muscle» est aujourd’hui un véritable succès et, surtout, une arme redoutable contre les criquets pèlerins, les sautereaux et autres prédateurs qui ravagent les cultures en Afrique de l’Ouest, en Afrique de l’Est et en Afrique australe. Nous bénéficions du soutien total de la FAO et de l’empire du Japon, qui nous ont permis, aujourd’hui, d’atteindre nos objectifs. Si je prends l’exemple de l’Afrique australe, je dois avouer que ce pesticide chimique a permis, à ce jour, de sauver même des parcs zoologiques dans ces pays.
Vous avez également vulgarisé la spiruline. Qu’est-ce que c’est ce produit et quelle est son action ?
La spiruline permet de lutter contre la malnutrition. Elle permet de sauver une génération de mères malnutries, qui auraient pu avoir des carences chroniques. La spiruline me tient à cœur. Elle est d’ailleurs produite par notre fondation, avec le soutien de certains partenaires. Mon seul espoir est de la voir développée en quantité industrielle, afin de soulager le maximum de femmes malnutries.
Quel message adressez-vous aux Sénégalais, de manière générale, et aux femmes, en particulier, en ce début d’année ?
Ce que je souhaite vivement, c’est que le travail permette aux femmes de sortir de la pauvreté. Je m’investis beaucoup aux côtés des femmes rurales pour leur permettre d’avoir des activités génératrices de revenus. Je prends l’exemple des femmes de Missao qui, aujourd’hui, avec l’aide de la Fondation Education-Santé, cultivent plusieurs variétés et arrivent même à écouler leur production dès la fin du cycle. Il y a également les femmes de Nioro du Rip que j’ai initié à l’exploitation du Bisap, qui est devenu pratiquement un produit bio très demandé au-delà même de nos frontières, sans parler des femmes de Ninéfécha etc.
Tout le monde, Mme la Présidente, salue votre générosité et votre disponibilité à soulager les plus démunies. Comment faites-vous pour être aussi proche du Sénégalais des profondeurs ?
C’est avec le soutien de plusieurs partenaires qui ont compris ma démarche et qui m’accompagnent dans mes actions sociales. Parmi eux je peux citer, entre autres, mon ami Mbagnick Diop, président du Mouvement des Entreprises du Sénégal (Meds) qui, depuis plusieurs années, m’apporte son soutien résolu, m’accompagne et m’aide à mettre en œuvre beaucoup de mes projets.
Les sommes récoltées lors de la soirée des «Cauris d’Or» nous ont permis d’édifier un bâtiment de stockage à l’hôpital de Ninéfécha. Toujours grâce aux retombées de la soirée des «Cauris d’Or», avec son volet social et l’implication des pouvoirs publics pour appuyer mon action, nous avons construit un grand logement pour visiteurs dans la même structure de santé de Ninéfécha, sans parler de l’extension de l’hôpital, lui-même, toujours grâce à l’appui permanent du président Mbagnick Diop. Et d’autres projets sont en cours, sans compter les ambulances médicalisées, les appareils d’écographie, les lits d’hospitalisation, le matériel médical, les chaises pour handicapés et autres moustiquaires imprégnées.
Le mot de la fin, Mme la Présidente…
Je ne terminerai pas sans souhaiter une excellente année 2010 à toutes les Sénégalais et à tous les Sénégalais, dans la paix des cœurs et dans la concorde pour un Sénégal émergent. Je remercie sincèrement votre président, Mbagnick Diop, pour m’avoir offert l’occasion d’adresser ces quelques mots à nos compatriotes Sénégalais. DEWENATI !
rewmi