‘’Le Sénégal a voté une loi sur la parité depuis 2010, mais nous avons vu qu’il y a des insuffisances sur son application. Il est donc du devoir de l’AJS de rappeler que la loi doit être respectée, appliquée et bien appliquée’’, a-t-elle notamment déclaré.
La présidente de l’AJS intervenait lors d’un panel portant sur le thème : ‘’L’effectivité de la loi sur la parité : Une exigence aux élections locales de 2022’’.
La juriste a expliqué que les femmes remplissaient toutes les conditions requises pour diriger une collectivité locale ou siéger à l’Assemblée nationale, en plus d’être apte à pleinement participer aux instances de prise de décisions dans toutes les structures nationales.
"Il faut que les autorités institutionnelles respectent cette loi par l’intermédiaire des députés à l’Assemblée nationale du Sénégal alors qu’elles ont ratifié des conventions internationales qui les obligent à la respecter", a laissé entendre Mme Diallo.
‘’Notre rôle est de rappeler l’obligation de respecter cette loi. C’est un idéal que nous sommes en train de poursuivre, afin d’avoir les 50 % de femmes au sortir d’élections locales ou législatives’’, a-t-elle insisté, en ajoutant qu’il faudrait pour cela une volonté politique et sociale.
L’adoption de la loi 2010-11 du 28 mai 2010 instituant la parité absolue Homme-Femme, exige une représentation égale des hommes et des femmes dans les instances électives et semi-électives.
La présidente de l’AJS intervenait lors d’un panel portant sur le thème : ‘’L’effectivité de la loi sur la parité : Une exigence aux élections locales de 2022’’.
La juriste a expliqué que les femmes remplissaient toutes les conditions requises pour diriger une collectivité locale ou siéger à l’Assemblée nationale, en plus d’être apte à pleinement participer aux instances de prise de décisions dans toutes les structures nationales.
"Il faut que les autorités institutionnelles respectent cette loi par l’intermédiaire des députés à l’Assemblée nationale du Sénégal alors qu’elles ont ratifié des conventions internationales qui les obligent à la respecter", a laissé entendre Mme Diallo.
‘’Notre rôle est de rappeler l’obligation de respecter cette loi. C’est un idéal que nous sommes en train de poursuivre, afin d’avoir les 50 % de femmes au sortir d’élections locales ou législatives’’, a-t-elle insisté, en ajoutant qu’il faudrait pour cela une volonté politique et sociale.
L’adoption de la loi 2010-11 du 28 mai 2010 instituant la parité absolue Homme-Femme, exige une représentation égale des hommes et des femmes dans les instances électives et semi-électives.