« Dans les conditions actuelles, lever l’immunité du député Sonko pour des accusations fantaisistes, relève d’une forfaiture et de la haute trahison. On ne peut pas lever une immunité dans le cadre d’une plainte contre une personne non nommée, c’est absurde, insensé, illégal.
Le parquet himself reconnaît que le dossier est vide, après avoir examiné la plainte et enquêté autour, en long et en large de la Seule personne visée par la présumée victime, il a décidé d’ouvrir une information judiciaire, en langage procédural, cela veut dire clairement qu’il ne donne pas foi aux dires de la plaignante en ce qui concerne la personne qu’elle a identifié et visé comme étant l’auteur présumé des faits.
On ouvre une information judiciaire lorsqu’on ne connaît pas l’auteur de l’acte présumé. Tous les professionnels sérieux et véridiques vous diront la même chose. Dans cette affaire, la plainte contre X est devenue une voie de garage pour se sortir du pétrin sans perdre la face, parce qu’on ne peut plus revenir accuser Sonko dans ce cadre, sauf à provoquer l’annulation de la procédure pour plainte tardive, le procureur sait tout cela et ne s’aventurera pas dans cette voie.
Vous aurez remarqué aussi que l’instruction a été confiée au 8eme cabinet (très en bas de la hiérarchie des cabinets d’instruction du Tribunal de grande instance hors classe), on ne confie pas un dossier d’importance nationale au moins gradé des instructeurs. Comparez vous-même avec les autres mises à mort politico-judiciaires, qui était à la manoeuvre.
La plainte contre X est en réalité un enterrement de première classe de cette affaire. Seuls ceux qui veulent tenir un coupable absolument, continuent leur aveuglement volontaire à persister dans cette voie sans issue, mais une Assemblée Nationale honorable ne devrait pas cautionner cette farce ».
Le parquet himself reconnaît que le dossier est vide, après avoir examiné la plainte et enquêté autour, en long et en large de la Seule personne visée par la présumée victime, il a décidé d’ouvrir une information judiciaire, en langage procédural, cela veut dire clairement qu’il ne donne pas foi aux dires de la plaignante en ce qui concerne la personne qu’elle a identifié et visé comme étant l’auteur présumé des faits.
On ouvre une information judiciaire lorsqu’on ne connaît pas l’auteur de l’acte présumé. Tous les professionnels sérieux et véridiques vous diront la même chose. Dans cette affaire, la plainte contre X est devenue une voie de garage pour se sortir du pétrin sans perdre la face, parce qu’on ne peut plus revenir accuser Sonko dans ce cadre, sauf à provoquer l’annulation de la procédure pour plainte tardive, le procureur sait tout cela et ne s’aventurera pas dans cette voie.
Vous aurez remarqué aussi que l’instruction a été confiée au 8eme cabinet (très en bas de la hiérarchie des cabinets d’instruction du Tribunal de grande instance hors classe), on ne confie pas un dossier d’importance nationale au moins gradé des instructeurs. Comparez vous-même avec les autres mises à mort politico-judiciaires, qui était à la manoeuvre.
La plainte contre X est en réalité un enterrement de première classe de cette affaire. Seuls ceux qui veulent tenir un coupable absolument, continuent leur aveuglement volontaire à persister dans cette voie sans issue, mais une Assemblée Nationale honorable ne devrait pas cautionner cette farce ».