Sur le domaine énergétique, Samba Ndiaye soutient que «malgré la situation que nous vivons il y a bien de rappeler que le Président a la ferme volonté de donner un autre souffle à la politique énergétique du Sénégal. Les investissements qu’il a faits dans ce secteur le nombre éloquemment». Parce que selon Samba Ndiaye «le problème n’est pas un problème de montant mais de concrétisation d’une politique. Il faut voir ce qui a été fait sur le secteur de l’énergie. En 2000 lors que nous avons pris le pouvoir, il y avait en termes d’installation électrique une puissance de 300 Mgtw. Cette capacité de production tourne aujourd’hui, autour de 600 Mgtw. Donc, il ne faut pas voir seulement la politique énergétique en termes de montants investis mais plutôt l’impact de cet investissement dans le secteur et dans d’autres. Si on a pu mettre une telle puissance en terme de puissance et que les choses ne marchent pas, ça veut dire qu’il y a un problème d’orientation dans le secteur». C’est en ce sens que M. Ndiaye laisse entendre qu’il faut que l’Afrique investit dans le solaire, car aujourd’hui, 51% du potentiel du soleil se trouve en Afrique. «Je crois que les africains doivent prendre conscience que la seule issue pour sortir de la crise énergétique c’est d’investir le secteur solaire. Si nous entrons dans l’ère du solaire, le Sénégal pourra non seulement rassurer ses investissements mais se positionner en leader dans la sous région ou dans le continent avec d’autres pays comme le Maroc. Ce qui lui fait dire que «nous suggérons qu’un conseil présidentiel sur l’investissement se tienne sur la formation de l’énergie».
A propos de la gestion transparente des affaires publiques, Samba Ndiaye est d’avis que la mise en place de l’ARMP est un exemple à n’en plus douter qui montre que le Sénégal a aujourd’hui entrepris une démarche noble. Cependant, ajoute-t-il, «il faut que les gens reviennent à la raison. Car la gestion d’un Etat ne peut pas être portée sur la place publique. Dans tous les pays du monde, il y a ce qu’on appelle la raison d’Etat».
S’agissant de la corruption, le coordonnateur de la Convergence des cadres libéraux pour l’enracinement du Sopi, soutient que ce fléau est présent partout à travers le monde, il ne reste qu’à lutter contre. Au Sénégal, des mesures ont été prises. Maintenant, les comportements individuels des Sénégalais est un autre débat».
Sékou Dianko DIATTA
A propos de la gestion transparente des affaires publiques, Samba Ndiaye est d’avis que la mise en place de l’ARMP est un exemple à n’en plus douter qui montre que le Sénégal a aujourd’hui entrepris une démarche noble. Cependant, ajoute-t-il, «il faut que les gens reviennent à la raison. Car la gestion d’un Etat ne peut pas être portée sur la place publique. Dans tous les pays du monde, il y a ce qu’on appelle la raison d’Etat».
S’agissant de la corruption, le coordonnateur de la Convergence des cadres libéraux pour l’enracinement du Sopi, soutient que ce fléau est présent partout à travers le monde, il ne reste qu’à lutter contre. Au Sénégal, des mesures ont été prises. Maintenant, les comportements individuels des Sénégalais est un autre débat».
Sékou Dianko DIATTA