Selon lui, le Président Macky Sall devait d’abord consulter l’Assemblée nationale pour solliciter son avis sur la question.
Revenant sur la prétendue brouille entre le Président Macky Sall et Mahmout Saleh, le député apériste dira sans ambages : « il n’y a aucun nuage entre le Président Macky Sall et Mahmout Saleh ». « De petites différences de vues peuvent ne pas manquer, mais fondamentalement il n’y a rien de grave entre eux. Mahmout Saleh est un membre fondateur de l’APR, il a sa place aux côtés du Président Macky Sall ».
Sur l’attaque de son domicile, il y a quelques mois, Moustapha Cissé Lô accuse la police d’être complice des faits. « Ma femme est allée voir le commissaire pour lui dire qu’on avait reçu des menaces. J’ai moi-même appelé pour avertir les autorités locales. Ils n’ont rien voulu faire », se plaint-il.
En ce qui concerne la CREI, Moustapha Cissé Lô déclare que la cour spéciale comporte des limites qu’il faut enlever comme l’impossibilité de recevoir un présent. Mais, soutient-il, ce n’est pas la cour qu’il faut réformer, mais la loi. Seulement, une réforme de cette loi après qu’elle a été activée dans sa forme actuelle contre Karim Wade, Abdoulaye Baldé et certainement d’autres encore, pourrait être interprétée comme un moyen détourné pour le Président Macky Sall de se soustraire de la CREI une fois qu’il aura quitté le pouvoir. Le député apériste ne le voit pas sous cet angle et croit savoir qu’une réforme est nécessaire quel que soit ce que les gens en diront.
Amadou Diouf Africa7
Revenant sur la prétendue brouille entre le Président Macky Sall et Mahmout Saleh, le député apériste dira sans ambages : « il n’y a aucun nuage entre le Président Macky Sall et Mahmout Saleh ». « De petites différences de vues peuvent ne pas manquer, mais fondamentalement il n’y a rien de grave entre eux. Mahmout Saleh est un membre fondateur de l’APR, il a sa place aux côtés du Président Macky Sall ».
Sur l’attaque de son domicile, il y a quelques mois, Moustapha Cissé Lô accuse la police d’être complice des faits. « Ma femme est allée voir le commissaire pour lui dire qu’on avait reçu des menaces. J’ai moi-même appelé pour avertir les autorités locales. Ils n’ont rien voulu faire », se plaint-il.
En ce qui concerne la CREI, Moustapha Cissé Lô déclare que la cour spéciale comporte des limites qu’il faut enlever comme l’impossibilité de recevoir un présent. Mais, soutient-il, ce n’est pas la cour qu’il faut réformer, mais la loi. Seulement, une réforme de cette loi après qu’elle a été activée dans sa forme actuelle contre Karim Wade, Abdoulaye Baldé et certainement d’autres encore, pourrait être interprétée comme un moyen détourné pour le Président Macky Sall de se soustraire de la CREI une fois qu’il aura quitté le pouvoir. Le député apériste ne le voit pas sous cet angle et croit savoir qu’une réforme est nécessaire quel que soit ce que les gens en diront.
Amadou Diouf Africa7