A en croire Moustapha Niasse et ses camarades, ‘’Me Abdoulaye Wade et ses affidés poursuivent leur course folle qui finira inéluctablement par engendrer une riposte populaire foudroyante.’’
L’Afp se fonde sur le discours délivré par le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade le 31 décembre dernier où il donnait ‘’l’impression qu’il se soumettait à une évaluation dont les résultats médiocres étaient connus d’avance.’’ La formation dirigée par Moustapha Niasse s’en prend encore au monument de la Renaissance africaine.
‘’L’horrible statue dite de la Renaissance africaine, dans sa conception, son mode de financement, comme dans sa réalisation, résume, à lui seul, la tragédie d’un homme à jamais marqué par un échec spectaculaire qui frappe le pouls du pays et les moindres pores de la Nation.’’, martèle l’Afp.
La formation que dirige Moustapha Niasse souligne qu’elle ‘’tient à rappeler aux tenants du pouvoir qu’un simple coup d’œil rapide sur les données en présence met à nu une situation catastrophique qui mène le Sénégal vers le chaos, si le peuple debout n’exerce pas son droit à la résistance. En effet, au fil du temps, le régime en place a méticuleusement détruit les principaux secteurs de l’économie nationale générateurs de richesses. L’incompétence, ajoutée à l’affairisme débridé, est rapidement arrivé à bout des principales unités industrielles de notre pays que sont la Sonacos, les Ics, la Sar et la Senelec. En plombant l’énergie, le pouvoir a hypothéqué durablement les capacités de production, la rentabilité, l’investissement et l’emploi.’’
L’Afp rappelle aussi les dures conditions dans lesquelles se trouve le monde rural. ‘’Face à un environnement profondément affecté par l’appauvrissement des sols, l’avancée du désert, le paysan sénégalais est pris dans l’étau de l’exode rural pour grossir dans les villes et les zones périurbaines les rangs déjà serrés des sans-emploi qui se livrent, au quotidien, à une lutte âpre pour la survie. Comme la plupart des Sénégalais honnêtes, ces victimes du système en place financent, par le calvaire subi, le train de vie arrogant d’un clan qui n’en a cure.’’, indiquent Niasse et ses camarades.
Pire, soutiennent-ils : ‘’Insensibles aux récriminations du peuple, le régime de Me Wade continue désespérément de tenter d’imposer une succession monarchique, en démantelant les acquis démocratiques.’’ Pour l’Afp, toutes les tensions répétées créées par le régime de Me Wade ‘’constituent une grave montée des périls d’autant plus inquiétante que la situation dans la sous-région est instable, qu’il s’agisse de la Guinée Conakry ou de la Guinée Bissau.’’
Sur ce plan également, l’Afp note que ‘’le manque de mesure des autorités sénégalaises a provoqué un isolement de notre pays qui consacre l’échec d’une diplomatie qui était, jusqu’en l’An 2000, citée en exemple, dans le monde entier. L’affaire Segura a donné le coup de grâce.’’
C’est pourquoi, les progressistes invitent le président de la République ‘’à prendre conscience de ses limites inquiétantes et du préjudice qu’il cause au Sénégal dans les actes qu’il pose et les déclarations malheureuses qu’il fait.’’
L’Afp se fonde sur le discours délivré par le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade le 31 décembre dernier où il donnait ‘’l’impression qu’il se soumettait à une évaluation dont les résultats médiocres étaient connus d’avance.’’ La formation dirigée par Moustapha Niasse s’en prend encore au monument de la Renaissance africaine.
‘’L’horrible statue dite de la Renaissance africaine, dans sa conception, son mode de financement, comme dans sa réalisation, résume, à lui seul, la tragédie d’un homme à jamais marqué par un échec spectaculaire qui frappe le pouls du pays et les moindres pores de la Nation.’’, martèle l’Afp.
La formation que dirige Moustapha Niasse souligne qu’elle ‘’tient à rappeler aux tenants du pouvoir qu’un simple coup d’œil rapide sur les données en présence met à nu une situation catastrophique qui mène le Sénégal vers le chaos, si le peuple debout n’exerce pas son droit à la résistance. En effet, au fil du temps, le régime en place a méticuleusement détruit les principaux secteurs de l’économie nationale générateurs de richesses. L’incompétence, ajoutée à l’affairisme débridé, est rapidement arrivé à bout des principales unités industrielles de notre pays que sont la Sonacos, les Ics, la Sar et la Senelec. En plombant l’énergie, le pouvoir a hypothéqué durablement les capacités de production, la rentabilité, l’investissement et l’emploi.’’
L’Afp rappelle aussi les dures conditions dans lesquelles se trouve le monde rural. ‘’Face à un environnement profondément affecté par l’appauvrissement des sols, l’avancée du désert, le paysan sénégalais est pris dans l’étau de l’exode rural pour grossir dans les villes et les zones périurbaines les rangs déjà serrés des sans-emploi qui se livrent, au quotidien, à une lutte âpre pour la survie. Comme la plupart des Sénégalais honnêtes, ces victimes du système en place financent, par le calvaire subi, le train de vie arrogant d’un clan qui n’en a cure.’’, indiquent Niasse et ses camarades.
Pire, soutiennent-ils : ‘’Insensibles aux récriminations du peuple, le régime de Me Wade continue désespérément de tenter d’imposer une succession monarchique, en démantelant les acquis démocratiques.’’ Pour l’Afp, toutes les tensions répétées créées par le régime de Me Wade ‘’constituent une grave montée des périls d’autant plus inquiétante que la situation dans la sous-région est instable, qu’il s’agisse de la Guinée Conakry ou de la Guinée Bissau.’’
Sur ce plan également, l’Afp note que ‘’le manque de mesure des autorités sénégalaises a provoqué un isolement de notre pays qui consacre l’échec d’une diplomatie qui était, jusqu’en l’An 2000, citée en exemple, dans le monde entier. L’affaire Segura a donné le coup de grâce.’’
C’est pourquoi, les progressistes invitent le président de la République ‘’à prendre conscience de ses limites inquiétantes et du préjudice qu’il cause au Sénégal dans les actes qu’il pose et les déclarations malheureuses qu’il fait.’’