Par entrées et sorties nous comprenons quelqu’un qui sort du PDS, y retourne, en ressort et y retourne….etc. .Faisant des va-et-vient qui finissent par incommoder ceux qui ne sortent pas ou ceux qui n’entrent pas, qui finit même par incommoder le concerné.
Par hésitations nous voyons l’image d’un Monsieur ayant de sérieux problèmes de choix entre entrer au PDS ou aller de lui-même avec son rewmi. Certains disent ne plus le supporter à cause de ses hésitations et de son inconstance.
Pourtant, aussi loin que remonte mes souvenirs ainsi que mes recherches (des documents audiovisuels et écrits existant à profusion) je ne vois nullement ou Idrissa SECK est sorti du PDS ; il en a été sorti. Il a été renvoyé du PDS. Ce qu’il n’a jamais accepté du reste. Se prévalant d’y être en réalité « l’actionnaire majoritaire ». Je ne vois non plus nullement ou il a donne l’impression de ne plus vouloir y retourner. Au contraire en 2007, le 04 Avril ne disait-il pas compter en premier sur la force que représente le PDS pour accéder à la magistrature suprême.
Un jour, s’étant résolu que Idrissa était incontournable pour la maison bleue, ceux qui l’avaient « sorti » ont abdiqué, et le monsieur est « rentré » pour réclamer ses Actions. Il est entré et n’en est plus ressorti depuis. Je ne vois nullement des vas- et- vient.
Bien entendu, qu’Il ait eu à rencontrer Wade à midi ou minuit, il le fallait bien pour certains réglages, cela va de soi.
Certains auraient voulu qu’il boude, refuse de retourner au pds, son parti, refuse la chance d’utiliser l’électorat du PDS, refuse de prouver qu’il y est l’actionnaire majoritaire et s’acharner à vouloir accéder a la présidence à partir de ses 14.92 % des dernières élections.
14.92 % est un pourcentage certes héroïque dans le contexte d’époque mais vraiment de très loin insuffisant pour faire accéder un candidat à la présidence. Faiseur de roi au deuxième tour ? Oui comme niasse en 2000. Mais pas roi ! Deuxième, Bravo mais pas premier, hors ici seul le premier gagne et tous les autres perdent.
Cela n’est point l’objectif d’Idrissa SECK. Il l’a clairement laissé entendre. Quatrième président du Sénégal le premier jour après Wade ! C’est cela son seul et unique projet devrai-je le rappeler. Bien qu’Idrissa Seck ne nous laisse aucune chance d’oublier son objectif principal.
Idrissa Seck était devenu a un moment (il le reste encore) tellement la seule alternative contre Wade, que les gens attendent-ils de lui du surhumain. Mieux que les 12 travaux d’hercule. Faire quelque chose qu’aucun homme politique sénégalais n’a encore réussi.
Tous les scissionnistes en politique on eu à faire un score honorable a la première élection a laquelle ils participent sombrant dans l’oubli collectif à la suivante et davantage aux suivantes.
Le mieux loti de tous, Moustapha Niasse a été faiseur de roi et s’est rapidement fait jeter comme un mouchoir usagé…ceci ne m’émeut guère, tel étant le sort toujours réservé aux faiseurs de roi.
Beaucoup ont quitte leur parti d’origine avec pratiquement la même trajectoire et fortune ; Ils se font très rapidement oublié ou obligé de rejoindre des coalitions (PS OU PDS) pour survivre politiquement. Les exemples foisonnent Fara ndiaye (PDS-PS) Ousmane Ngom (PDS-PLS-PS-PDS), Djibo KA (PS-URD,SOPI), Moustapha niasse (PS_AFP,BENNO), Abdoulaye Makhtar diop (PS-SUR- ?), Abdourakhim Agne (PS-PR-SOPI), Mamadou DIOP(PS-BDS), on pourrait citer, Madieyna Mbodj (AJ-BENNO), Decroix (AJ-AJ BIS-SOPI), Robert SAGNA(PS-PSA-BENNO) Idrissa Seck (PDS-MSIS-REWMI-PDS) et tant d’autres… Le dernier en date Macky Sall (PDS-APR-BENNO)
La seule exception à cette règle est l’exemple BDS-SFIO Senghor et lamine Gueye en 1948, ici les scissionnistes ont fini par gagner et absorber l’original. Mais cela est autre chose, Les Senghor, Dia et autres Abbass Gueye (toujours une coalition) n’ont triomphé que grâce au contexte exceptionnel ; nouveau vote paysan , Ndigel de Touba et changement d’affiliation politique en France. Si nous faisons focus sur les derniers exemples de l’histoire politique récente, nous avons Djibo ka, Moustapha niasse, Idrissa SECK et Macky Sall. Je passe sous silence certains scissionnistes n’ayant jamais eu a se présenter seul a des élections parce que trop réalistes.
- Djibo ka a eu 13.1 % en 1998 puis 7.1 % en 2000, réaliste il rejoint l’alliance SOPI (qu’il a combattu toute sa vie)
- Moustapha Niasse 16.8 % en 2000 puis 5.93 % en 2007, réaliste il rejoint L’alliance Benno (et le Ps de Ousmane Tanor Dieng qui était la cause de sa scission)
- Macky Sall lui très réaliste a préféré commencer directement dans la coalition BENNO (qu’il combattait des mois avant)
- Idrissa SECK 14.92 % en 2007 cherche à être le candidat du PDS ou il a toujours dit être majoritaire.
Ou est la trahison dans tout cela ? C EST UNE ATTITUDE LOGIQUE ET LEGITIME. L’inconstance aurait été pour lui d’aller rejoindre une autre coalition, de bouder son parti d’origine ou d’aller tout seul vers un effritement certain de son électorat comme le veut la règle.
La réalité politique au Sénégal est que les élections présidentielles sont gagne par le PS ou LE PDS. C’est un fait historique. Avec des variantes possibles, coalition, alliance SOPI ou BENNO. La constante est que ce sera le PS ou le PDS. Pas d’issue en dehors de ces deux partis ou des coalitions qu’ils créeront ou dans lesquelles ils se dissoudront. En France et en Italie c’est toujours la droite ou la gauche, en Angleterre c’est travaillistes ou conservateurs, aux USA c’est Républicain ou démocrates et au Sénégal c’est PS ou PDS. Ce n’est pas du fatalisme, il y a juste que ce sont ces deux partis seuls qui ont l’appareil électoral requis.
Le seul objectif qui vaille pour un politicien est de manœuvrer pour gagner des élections. C’est sa principale raison d’être. Pour cela il est capital d’être le capitaine d’une des deux principales barques politiques
L’objectivité et la raison veut qu’un candidat sérieux évite la jurisprudence DjiboNiasse : Le petit pic électoral avant le Grand Flop.
Le candidat est considéré comme le sauveur avant de sombrer. C est fou ce que la trajectoire de Macky et Gadio rappelle ceux de Djibo, Niasse et Idy.
L’histoire semble se répéter……..à la seule différence qu’Idrissa SECK a adopté une démarche très différente de ses prédécesseurs Ex-Futures-Dauphins déchus.
Aucun leader politique sénégalais ne cracherait sur la plus petite probabilité de conquérir une machine électorale comme le PDS ou le PS a fortiori Idrissa SECK.
Et nous voyons bien qu’il s’est attelé à cette tache avec sérieux et méthodologie. Avec opiniâtreté même, et manifestement cela ne plait pas à tout le monde.
Nous autres, partisans et inconditionnels d’idy sommes déjà a pied d’œuvre pour l’OPA qu’il a lance sur le PDS.
Does it make sens ?
Astacko Seck Angleterre
astacko@hotmail.com
Par hésitations nous voyons l’image d’un Monsieur ayant de sérieux problèmes de choix entre entrer au PDS ou aller de lui-même avec son rewmi. Certains disent ne plus le supporter à cause de ses hésitations et de son inconstance.
Pourtant, aussi loin que remonte mes souvenirs ainsi que mes recherches (des documents audiovisuels et écrits existant à profusion) je ne vois nullement ou Idrissa SECK est sorti du PDS ; il en a été sorti. Il a été renvoyé du PDS. Ce qu’il n’a jamais accepté du reste. Se prévalant d’y être en réalité « l’actionnaire majoritaire ». Je ne vois non plus nullement ou il a donne l’impression de ne plus vouloir y retourner. Au contraire en 2007, le 04 Avril ne disait-il pas compter en premier sur la force que représente le PDS pour accéder à la magistrature suprême.
Un jour, s’étant résolu que Idrissa était incontournable pour la maison bleue, ceux qui l’avaient « sorti » ont abdiqué, et le monsieur est « rentré » pour réclamer ses Actions. Il est entré et n’en est plus ressorti depuis. Je ne vois nullement des vas- et- vient.
Bien entendu, qu’Il ait eu à rencontrer Wade à midi ou minuit, il le fallait bien pour certains réglages, cela va de soi.
Certains auraient voulu qu’il boude, refuse de retourner au pds, son parti, refuse la chance d’utiliser l’électorat du PDS, refuse de prouver qu’il y est l’actionnaire majoritaire et s’acharner à vouloir accéder a la présidence à partir de ses 14.92 % des dernières élections.
14.92 % est un pourcentage certes héroïque dans le contexte d’époque mais vraiment de très loin insuffisant pour faire accéder un candidat à la présidence. Faiseur de roi au deuxième tour ? Oui comme niasse en 2000. Mais pas roi ! Deuxième, Bravo mais pas premier, hors ici seul le premier gagne et tous les autres perdent.
Cela n’est point l’objectif d’Idrissa SECK. Il l’a clairement laissé entendre. Quatrième président du Sénégal le premier jour après Wade ! C’est cela son seul et unique projet devrai-je le rappeler. Bien qu’Idrissa Seck ne nous laisse aucune chance d’oublier son objectif principal.
Idrissa Seck était devenu a un moment (il le reste encore) tellement la seule alternative contre Wade, que les gens attendent-ils de lui du surhumain. Mieux que les 12 travaux d’hercule. Faire quelque chose qu’aucun homme politique sénégalais n’a encore réussi.
Tous les scissionnistes en politique on eu à faire un score honorable a la première élection a laquelle ils participent sombrant dans l’oubli collectif à la suivante et davantage aux suivantes.
Le mieux loti de tous, Moustapha Niasse a été faiseur de roi et s’est rapidement fait jeter comme un mouchoir usagé…ceci ne m’émeut guère, tel étant le sort toujours réservé aux faiseurs de roi.
Beaucoup ont quitte leur parti d’origine avec pratiquement la même trajectoire et fortune ; Ils se font très rapidement oublié ou obligé de rejoindre des coalitions (PS OU PDS) pour survivre politiquement. Les exemples foisonnent Fara ndiaye (PDS-PS) Ousmane Ngom (PDS-PLS-PS-PDS), Djibo KA (PS-URD,SOPI), Moustapha niasse (PS_AFP,BENNO), Abdoulaye Makhtar diop (PS-SUR- ?), Abdourakhim Agne (PS-PR-SOPI), Mamadou DIOP(PS-BDS), on pourrait citer, Madieyna Mbodj (AJ-BENNO), Decroix (AJ-AJ BIS-SOPI), Robert SAGNA(PS-PSA-BENNO) Idrissa Seck (PDS-MSIS-REWMI-PDS) et tant d’autres… Le dernier en date Macky Sall (PDS-APR-BENNO)
La seule exception à cette règle est l’exemple BDS-SFIO Senghor et lamine Gueye en 1948, ici les scissionnistes ont fini par gagner et absorber l’original. Mais cela est autre chose, Les Senghor, Dia et autres Abbass Gueye (toujours une coalition) n’ont triomphé que grâce au contexte exceptionnel ; nouveau vote paysan , Ndigel de Touba et changement d’affiliation politique en France. Si nous faisons focus sur les derniers exemples de l’histoire politique récente, nous avons Djibo ka, Moustapha niasse, Idrissa SECK et Macky Sall. Je passe sous silence certains scissionnistes n’ayant jamais eu a se présenter seul a des élections parce que trop réalistes.
- Djibo ka a eu 13.1 % en 1998 puis 7.1 % en 2000, réaliste il rejoint l’alliance SOPI (qu’il a combattu toute sa vie)
- Moustapha Niasse 16.8 % en 2000 puis 5.93 % en 2007, réaliste il rejoint L’alliance Benno (et le Ps de Ousmane Tanor Dieng qui était la cause de sa scission)
- Macky Sall lui très réaliste a préféré commencer directement dans la coalition BENNO (qu’il combattait des mois avant)
- Idrissa SECK 14.92 % en 2007 cherche à être le candidat du PDS ou il a toujours dit être majoritaire.
Ou est la trahison dans tout cela ? C EST UNE ATTITUDE LOGIQUE ET LEGITIME. L’inconstance aurait été pour lui d’aller rejoindre une autre coalition, de bouder son parti d’origine ou d’aller tout seul vers un effritement certain de son électorat comme le veut la règle.
La réalité politique au Sénégal est que les élections présidentielles sont gagne par le PS ou LE PDS. C’est un fait historique. Avec des variantes possibles, coalition, alliance SOPI ou BENNO. La constante est que ce sera le PS ou le PDS. Pas d’issue en dehors de ces deux partis ou des coalitions qu’ils créeront ou dans lesquelles ils se dissoudront. En France et en Italie c’est toujours la droite ou la gauche, en Angleterre c’est travaillistes ou conservateurs, aux USA c’est Républicain ou démocrates et au Sénégal c’est PS ou PDS. Ce n’est pas du fatalisme, il y a juste que ce sont ces deux partis seuls qui ont l’appareil électoral requis.
Le seul objectif qui vaille pour un politicien est de manœuvrer pour gagner des élections. C’est sa principale raison d’être. Pour cela il est capital d’être le capitaine d’une des deux principales barques politiques
L’objectivité et la raison veut qu’un candidat sérieux évite la jurisprudence DjiboNiasse : Le petit pic électoral avant le Grand Flop.
Le candidat est considéré comme le sauveur avant de sombrer. C est fou ce que la trajectoire de Macky et Gadio rappelle ceux de Djibo, Niasse et Idy.
L’histoire semble se répéter……..à la seule différence qu’Idrissa SECK a adopté une démarche très différente de ses prédécesseurs Ex-Futures-Dauphins déchus.
Aucun leader politique sénégalais ne cracherait sur la plus petite probabilité de conquérir une machine électorale comme le PDS ou le PS a fortiori Idrissa SECK.
Et nous voyons bien qu’il s’est attelé à cette tache avec sérieux et méthodologie. Avec opiniâtreté même, et manifestement cela ne plait pas à tout le monde.
Nous autres, partisans et inconditionnels d’idy sommes déjà a pied d’œuvre pour l’OPA qu’il a lance sur le PDS.
Does it make sens ?
Astacko Seck Angleterre
astacko@hotmail.com