Seydina Ababacar Bitèye, Coordonnateur de la Cellule de Communication et de Réflexion de de la Majorité Présidentielle élargie du département de Saint-Louis, donne la réplique à Mary Teuw Niane. L’ex-ministre avance, sans porter de gants, que le Président « …n’aurait pas dû, dans cette période, faire ces tournées-là… », et « …qu’il y a une crise de leadership à la fois, sur le plan politique, mais surtout étatique… ». Avant de terminer ses flèches, en ajoutant qu’il y a un affaiblissement du capital humain au niveau du leadership central dans beaucoup de ministères ou de structures au niveau de l’Etat.
Une pique bien dirigée vers Son Excellence le Président Macky Sall, en affirmant, à demi-mots, qu’il est le principal responsable de la recrudescence des contaminations au Civod-19.
Ainsi, la CREME fustige cette lâche attitude de Pr. Niane et apprend à ce dernier qu’en sa qualité de commandant en Chef de l’Etat sénégalais, le Président Macky Sall se devait d’être à l’avant-garde de la reprise économique, sollicitée par tous les acteurs, au point de solliciter et d’obtenir un plan de relance économique, validée par tous les citoyens sénégalais.
« La mise en œuvre de ce plan de relance exige, comme il l’avance lui-même, dans sa tirade contradictoire, que le Président a bien le devoir d’aller voir de ses yeux l’état d’avancement des programmes et projets politiques que les ministres sont en train de traduire en actes, notamment sur l’enseignement supérieur, et qu’il n’a jamais pu réaliser en tant que ministre.»
Qui plus est, il est clairement établi que la région de Dakar reste l’épicentre des contaminations du virus du Covid-19 et que les régions visitées par le Président à travers les tournées économiques que sont Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Podor et Matam, constituent les zones les moins touchées par ces cas de contaminations de la troisième vague de la pandémie.
Cette lâcheté manifeste du PCA de PETROSEN ne corrobore en rien ses obligations de s’aligner sur la solidarité gouvernementale et la ligne directrice du parti et de la coalition Benno Bokk Yakaar.
D’ailleurs, pour avoir occupé, pendant six (6) ans, le poste de Ministre de l’Enseignement Supérieur, Pr. Niane devait avoir la honte de constater que les programmes contenus dans la reforme de ce secteur, n’ont été mis en œuvre que deux (2) ans après son départ.
Une pique bien dirigée vers Son Excellence le Président Macky Sall, en affirmant, à demi-mots, qu’il est le principal responsable de la recrudescence des contaminations au Civod-19.
Ainsi, la CREME fustige cette lâche attitude de Pr. Niane et apprend à ce dernier qu’en sa qualité de commandant en Chef de l’Etat sénégalais, le Président Macky Sall se devait d’être à l’avant-garde de la reprise économique, sollicitée par tous les acteurs, au point de solliciter et d’obtenir un plan de relance économique, validée par tous les citoyens sénégalais.
« La mise en œuvre de ce plan de relance exige, comme il l’avance lui-même, dans sa tirade contradictoire, que le Président a bien le devoir d’aller voir de ses yeux l’état d’avancement des programmes et projets politiques que les ministres sont en train de traduire en actes, notamment sur l’enseignement supérieur, et qu’il n’a jamais pu réaliser en tant que ministre.»
Qui plus est, il est clairement établi que la région de Dakar reste l’épicentre des contaminations du virus du Covid-19 et que les régions visitées par le Président à travers les tournées économiques que sont Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Podor et Matam, constituent les zones les moins touchées par ces cas de contaminations de la troisième vague de la pandémie.
Cette lâcheté manifeste du PCA de PETROSEN ne corrobore en rien ses obligations de s’aligner sur la solidarité gouvernementale et la ligne directrice du parti et de la coalition Benno Bokk Yakaar.
D’ailleurs, pour avoir occupé, pendant six (6) ans, le poste de Ministre de l’Enseignement Supérieur, Pr. Niane devait avoir la honte de constater que les programmes contenus dans la reforme de ce secteur, n’ont été mis en œuvre que deux (2) ans après son départ.