C’en n’est pas une bonne nouvelle pour le président de la République.
«Mahmoud Saleh s’éloigne de Macky.» Et Le Quotidien a appris de sources proches de la Présidence que le ministre-conseiller ne serait pas le seul. Il se susurre que c’est une fronde redoutée qui se trame dans les couloirs de l’Alliance pour la République (Apr). Et des noms insoupçonnés circulent : le président du groupe parlementaire Benno bokk yaakaar (Bby), Moustapha Diakhaté, Mor Ngom, ancien ministre de l’Environnement, Thierno Alassane Sall, ancien ministre des Infrastructures. Certains mettent cette «rébellion» dans le compte des frustrations nées de la disgrâce des deux derniers nommés, après que le sabre présidentiel s’est abattu sur eux au lendemain de leur défaite dans leurs fiefs respectifs de Bambey et Thiès.
Alors que pour M. Diakhaté, de hauts responsables du parti n’hésite plus à le désavouer publiquement. On lui reprocherait de «dévier de la ligne politique du parti et de la majorité» sur certaines «questions de haute importance». Le journal L’observateur indiquait, en outre, que M. Saleh était dans une dynamique de rapprocher le chef de l’Etat de son ancien Premier ministre Aminata Touré qui, vraisemblablement, est dans une logique de se dresser contre son ancien mentor.
Les mêmes sources jurent que les relations entre Mimi et Macky «empruntent plus le chemin de l’éloignement que celui du rapprochement». Et que les tentatives de faire revenir la candidate perdante de la mairie de Grand-Yoff face à Khalifa Sall par des «propositions de postes» n’agréent pas le chef de l’Etat. Les «médiateurs» auraient même suggéré à Président de lui confier une «position sénior», comme le disait Jean Paul Dias. Et le fauteuil de Aminata Tall aurait été agité. Ce que le chef de l’Etat aurait refusé. Cette fronde serait la première crise interne pour Macky Sall, déjà affaibli par les résultats peu reluisants issus des Locales du 29 juin.
«Mahmoud Saleh s’éloigne de Macky.» Et Le Quotidien a appris de sources proches de la Présidence que le ministre-conseiller ne serait pas le seul. Il se susurre que c’est une fronde redoutée qui se trame dans les couloirs de l’Alliance pour la République (Apr). Et des noms insoupçonnés circulent : le président du groupe parlementaire Benno bokk yaakaar (Bby), Moustapha Diakhaté, Mor Ngom, ancien ministre de l’Environnement, Thierno Alassane Sall, ancien ministre des Infrastructures. Certains mettent cette «rébellion» dans le compte des frustrations nées de la disgrâce des deux derniers nommés, après que le sabre présidentiel s’est abattu sur eux au lendemain de leur défaite dans leurs fiefs respectifs de Bambey et Thiès.
Alors que pour M. Diakhaté, de hauts responsables du parti n’hésite plus à le désavouer publiquement. On lui reprocherait de «dévier de la ligne politique du parti et de la majorité» sur certaines «questions de haute importance». Le journal L’observateur indiquait, en outre, que M. Saleh était dans une dynamique de rapprocher le chef de l’Etat de son ancien Premier ministre Aminata Touré qui, vraisemblablement, est dans une logique de se dresser contre son ancien mentor.
Les mêmes sources jurent que les relations entre Mimi et Macky «empruntent plus le chemin de l’éloignement que celui du rapprochement». Et que les tentatives de faire revenir la candidate perdante de la mairie de Grand-Yoff face à Khalifa Sall par des «propositions de postes» n’agréent pas le chef de l’Etat. Les «médiateurs» auraient même suggéré à Président de lui confier une «position sénior», comme le disait Jean Paul Dias. Et le fauteuil de Aminata Tall aurait été agité. Ce que le chef de l’Etat aurait refusé. Cette fronde serait la première crise interne pour Macky Sall, déjà affaibli par les résultats peu reluisants issus des Locales du 29 juin.