Cette réaction intervient 24 heures après la sortie d’Abdoulaye Wade et du Parti démocratique sénégalais (PDS), qui s’opposent à la levée de l’immunité parlementaire de l’ancien inspecteur des Impôts et Domaines.
« Le Bureau politique du Grand Parti (BP/GP) s’est réuni en visioconférence ce lundi 15 février 2021, pour examiner l’affaire opposant l’honorable député et président de Pastef-Les patriotes, M. Ousmane Sonko, à Mlle Adji Rabi Sarr. Après de larges échanges, le BP/GP a donné mandat aux députés, membres du Grand Parti, de voter contre la levée de l’immunité parlementaire du député Ousmane Sonko.
Par ailleurs, il exprime toute sa solidarité au Président de Pastef et demande à l’Assemblée nationale et à la justice de notre pays, de veiller au respect du principe de la présomption d’innocence et de ses droits constitutionnels », renseigne le communiqué partagé par «L’As».
Malick Gackou et ses partisans ont également lancé un appel à tous les citoyens du pays pour la préservation des acquis démocratiques du pays et de l’indépendance de la justice qui sont les fondements pour bâtir une société de paix, de concorde nationale et de progrès. Si l’on se fie à leur déclaration, la défense des intérêts supérieurs de la nation doit demeurer le pilier de la construction d’une République forte et solidaire.
Pour le journal, cette position du Grand Parti constitue visiblement une manière pour l’ancien ministre du Commerce et Cie, de se démarquer complètement du pouvoir et manifester clairement leur ancrage dans l’opposition.
Selon des informations de «L’As», cette position affichée du Grand Parti n’est pas une surprise. D’après une source, même si ce dernier était annoncé dans la mouvance présidentielle, avec à la clé un poste stratégique, il a fini par renoncer à toute idée de quitter l’opposition, car le patron de l’Alliance pour la République (Apr) n’a pas tenu les promesses qu’il lui avait faites.
Ainsi, après s’être longtemps emmuré dans un mutisme total malgré les multiples interrogations sur son supposé entrisme dans le gouvernent, Malick Gackou vient sans doute de donner la preuve qu’il a arrêté de flirter avec le pouvoir.
« Le Bureau politique du Grand Parti (BP/GP) s’est réuni en visioconférence ce lundi 15 février 2021, pour examiner l’affaire opposant l’honorable député et président de Pastef-Les patriotes, M. Ousmane Sonko, à Mlle Adji Rabi Sarr. Après de larges échanges, le BP/GP a donné mandat aux députés, membres du Grand Parti, de voter contre la levée de l’immunité parlementaire du député Ousmane Sonko.
Par ailleurs, il exprime toute sa solidarité au Président de Pastef et demande à l’Assemblée nationale et à la justice de notre pays, de veiller au respect du principe de la présomption d’innocence et de ses droits constitutionnels », renseigne le communiqué partagé par «L’As».
Malick Gackou et ses partisans ont également lancé un appel à tous les citoyens du pays pour la préservation des acquis démocratiques du pays et de l’indépendance de la justice qui sont les fondements pour bâtir une société de paix, de concorde nationale et de progrès. Si l’on se fie à leur déclaration, la défense des intérêts supérieurs de la nation doit demeurer le pilier de la construction d’une République forte et solidaire.
Pour le journal, cette position du Grand Parti constitue visiblement une manière pour l’ancien ministre du Commerce et Cie, de se démarquer complètement du pouvoir et manifester clairement leur ancrage dans l’opposition.
Selon des informations de «L’As», cette position affichée du Grand Parti n’est pas une surprise. D’après une source, même si ce dernier était annoncé dans la mouvance présidentielle, avec à la clé un poste stratégique, il a fini par renoncer à toute idée de quitter l’opposition, car le patron de l’Alliance pour la République (Apr) n’a pas tenu les promesses qu’il lui avait faites.
Ainsi, après s’être longtemps emmuré dans un mutisme total malgré les multiples interrogations sur son supposé entrisme dans le gouvernent, Malick Gackou vient sans doute de donner la preuve qu’il a arrêté de flirter avec le pouvoir.